Il m'avait contacté sur un site de rencontre. Il avait quarante ans et était originaire du Maroc ; mais vivait depuis de nombreuses années en France. Il était venu faire une stage pas loin de chez moi. La photo qu'il avait mise sur le site où il m'avait contacté était assez approximative. J'avais juste soixante ans à l'époque et il me felicita de ce que j'étais assez bien conservé. Il n'était pas le premier à me le dire. J'habite du côté belge et nous nous donc fixé rendez-vous à la gare de Mons, lieu le plus proche de l'endroit où il était en stage. J'étais suivant mon habitude bien en avance à mon rendez-vous. Quand je le vis sortir de sa voiture, je lui trouvai tout de suite belle allure. Il était nettement plus grand que moi (ce n'est pas difficile car je ne mesure que 1 m 67)... C'était tout à fait le type d'homme qui me plaisait. Nous nous sommes assis dans sa voiture et nous avons un peu discuté. Il me fait part de la bonne impression que je lui faisais et je lui réciproquai sans difficulté le compliment. Nous avons donc de commun accord décidé de nous rendre à mon domicile. Là, sans faire trop de façon, nous nous sommes dirigés promptement vers ma chambre, où nous avons échangé notre premier baiser. Puis nous nous sommes embrassés avec passion tout en nous déshabillant. Je suis passif, lui est actif, donc tout était fait pour que ça se passe bien. Il me fit l'amour dans toutes les positions. Et il acheva la nuit chez moi. Mais ce n'était qu'un avant-goût des bons moments que nous allions passer ensemble. Nous avons repris rendez-vous et quand il est arrivé, nous n'avons pas attendu d'être dans la chambre - au risque d'être surpris par mes colocataires, tous hétéros, et ignorant tout de me sexualité. - J'avais été marié et n'avais découvert ou admis ma sexualité qu'après la séparation d'avec ma femme.
Cette fois,mon amant me mis sur le ventre et me pénétra, puis il me lima pendant un temps assez provoquant mon plaisir et le sien. A un moment donné, je sentis qu'il allait venir et je remuais mes petites fesses pour augmenter son plaisir qui vint, sans aucun doute, vu que ses gémissements se changèrent en petits cris. Il se coucha sur moi de tout son long en m'embrassant dans la nuque et sur les épaules et en me caressant. Mais très étrange, il ne déculait pas et je ne sentais pas son sexe dégonfler. Après quelques minutes de repos, je sentis qu'il se relevait et je pensais que c'était terminé, qu'il allait se retirer de mon petit trou qu'il appréciait (m'ayant dit à plusieurs reprises il aimait qu'il soit si serré) Mais au lieu de cela, il se remis à me limer de plus belle. C'était un vrai festival, il était aussi fougueux que dans la première partie de cette étreinte. Quel souvenir. Malheureusement, son stage s'est terminé et il est reparti vers le sud de la France