Comme à l?habitude ma profession m?oblige à me déplacer pour de longues périodes. Périodes pouvant s?étendre sur un an. Cette année je me trouvais près de Besançon pour environ quatre mois dans une usine de production industrielle.
Vers le milieu de ce séjour j?avais sympathisé avec beaucoup de personnels de fabrication et d?entretien. Plus particulièrement avec un gars du service maintenance prénommé Philippe. Garçon très souriant, de moins de trente ans environ, brun, de taille moyenne, et assez fin. Ma mission consiste, entre autres, de former le personnel de maintenance sur les machines robotisées nouvellement fournies. Philippe, très doué, assimilait très vite si bien qu?il devenait mon assistant. Nos relations professionnelles s?étendaient jusqu?à devenir amicales.
Il ne se passait pas une semaine sans que nous allions boire un verre deux ou trois fois après le travail. Ces instants nous permettaient de mieux nous connaître et de devenir de bons amis. Un soir, à la fin de mon séjour, il m?invite à prendre le repas chez lui. Il vit avec une amie et aimerait me la présenter car depuis le temps qu?il lui parle de moi elle aimerait voir « la bête rare » !
Le soir arrive, je passe à mon hôtel pour faire ma toilette et me rends chez Philippe avec un bouquet de fleurs. C?est elle qui vient m?ouvrir, suivie de près par Philippe. Ravissante petite femme, brune, souriante elle aussi, vêtue d?un chemisier blanc et d?une jupe courte droite vert clair. Comme c?était l?été elle ne portait pas de collant. Confuse mais flattée de recevoir les fleurs elle m?embrasse. Nous passons dans leur living pour prendre l?apéritif. Sylvie s?empresse de nous servir. J?étais assis dans un petit fauteuil en face du canapé où mes deux tourtereaux étaient installés. J?ai eu la chance, à plusieurs reprises, d?apercevoir un peu de sa petite culotte blanche à chaque mouvement de ses jambes ! J?arrivais à me demander si elle ne le faisait pas exprès ! Puis le repas suivit et la soirée fut très agréable. Dans leur living la lumière tamisée créait une ambiance douce et intime. Ils me proposèrent de m?asseoir à côté d?eux sur le canapé. Je ne pouvais plus admirer l?entre cuisse de Sylvie ! Philippe à mon côté appuyait sa jambe contre la mienne. Je me laissais faire. Sylvie nous servit quelques rasades d?alcool mais la nui avançait et je devais rentrer. Philippe me dit :
- Tu ne vas pas rentrer maintenant ? Etonné je lui répondis :
- Si, pourquoi ?
- Avec tout l?alcool que tu as pris ce soir, tu ne vas pas conduire ! Non, non ! Tu restes coucher là ce soir !
- Mais? !
- Il n?y a pas de mais ! Surenchérit Sylvie ! On ouvre le canapé ! Voilà, c?est tout simple !
Tenté de passer la nuit chez eux, j?accepte ! Je les aide à préparer le canapé, on se souhaite une bonne nuit et après un passage à la salle de bains je vais me coucher. Naturellement j?avais gardé mon slip sur moi. Leur chambre donnait sur le living où je couchais, mais en éteignant ma lumière je remarquais qu?ils avaient laissé leur porte de chambre ouverte ! D?où j?étais je ne pouvais rien voir mais je distinguais une légère pénombre venant de leur chambre. J?étais long à m?endormir du fait de l?alcool et de les sentir si près ! En pensant à eux je me caressais le sexe raidi par le désir. J?entendais des murmures puis un petit silence et des bruits de draps que l?on froisse avec des petits halètements. Je portais une oreille attentive et je distinguais clairement ces bruits, ils faisaient l?amour ! Mais s?ils n?ont pas fermé leur porte c?est qu?ils me provoquent ! Sans trop me poser de questions (quand un homme bande, il ne pense plus ) je sors du lit et arrive doucement dans l?entrebâillement de leur porte de chambre. La lueur de leur petite lampe de chevet me permettait qu?effectivement je ne m?étais pas trompé ! Philippe tout nu chevauchait Sylvie nue également, et n?osant pas rentrer tout de suite je les regardais faire. Sylvie tenait un godemichet dans la main qu?elle enfonçait dans l?anus de son ami ! Sylvie m?aperçut, ne semblait pas gênée, bien au contraire puisque de l?autre main elle me fit signe d?approcher ! Philippe devinant ma présence tournât la tête dans ma direction et sans s?arrêter me dit : « Viens t?amuser avec nous ! ». Une invitation pareille ne se refuse pas ! Otant mon slip j?arrivais au bord du lit la queue à la bonne hauteur. Sylvie changeât de main pour tenir le gode et vint me masturber pour m?approcher encore plus. J?avançais jusqu?à ce qu?elle puisse me sucer. Je donnais ma queue à brouter. Elle fit cela à merveille. De mes mains je caressais le dos de Philippe, puis elle sortit ma verge de sa bouche pour l?offrir à lui ! Elle me dit : « Depuis le temps qu?il en a envie ! » Philippe se tournait pour mieux me piper. Alors je me mis à genoux sur le lit à leur côté pour que la gâterie de Philippe soit encore meilleure. Sylvie retirait le godemichet et il se retirât de sa minette. Je me mis en soixante neuf pour m?amuser avec eux. Philippe me pompait avec une ardeur à faire jouir trop vite, je léchais vigoureusement la chatte de Sylvie en titillant bien son clitoris. Je dois être doué pour cet exercice car elle se mit à jouir très rapidement. Elle se tortillait, se cambrait, tournait la tête de droite à gauche en poussant de petits cris. Puis rassasiée elle restât les cuisses offertes, alors je pris la verge de Philippe et me mis à lui faire une pipe bien soignée. J?ai toujours aimé sucer une queue mais celle de Philippe me comblait encore plus. Alors désireux de le recevoir en pleine bouche et sur le visage j?activais à mon tour mes succions en faisant volontairement du bruit. Ce ne fut pas long ! Il se mit à pousser comme un grognement sans quitter ma bite et, gourmand, je recevais dans ma bouche les premières giclées de son sperme. Cette chaleur, ce goût me firent jouir à mon tour. Egalement il me gardait en bouche. Je lâchais tout mon suc en plusieurs saccades.
De son côté je m?amusais à diriger sa queue sur mon visage pour avoir son nectar sur la figure ! Sylvie nous regardait faire en souriant, une main contre sa chatte. Une fois que Philippe s?était bien vidé sur ma figure et que je lui avais bien rempli le palais je lui dis : « Viens me donner sur le visage toute ma crème que tu as gardé au chaud ! ». Ce jeu lui plût, alors il remontât vers moi, vit son sperme sur mes joues, mes lèvres, le cou, le front, vint déposer sous forme de baisers mon propre sperme sur le torse.
Après quelques instants de repos on allait, Philippe et moi, à la salle de bains nous « démaquiller » ! Encore quelques caresses et ? au dodo !
Cette fois je m?endormis rapidement, eux également aussi. Le réveil sonnât vers six heures. Philippe nu vint vers moi et me réveillât par de douces caresses. Il était déjà prêt ! J?allais à la salle de bains prendre une douche. En sortant je croisais Sylvie vêtue d?une adorable petite nuisette rouge. Son corps était encore plus désirable. Sa petite fourrure noire ressortait encore plus belle ! On s?embrassât puis j?allais prendre mon petit déjeuner avec mon nouvel amant. Philippe souhaitait que je revienne tous les soirs ! Cette invitation me tentait mais je voulais préserver leur intimité. L?habitude se serait installée et le désir se serait émoussé. A suivre ?.