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Mon YANNICK -18/07/2001- par cryopsezjc
un soir je suis aller au night-club:"le 18" à bordeaux, j'e m'était habiller d'un jean délavé, d'une chemise aux motifs écossais et chapeauté d'un "vigneron" (casquete dont la trame de couleurs est code des vignerons); tu étai las avec ton mec; je te regarde, et, ho divin' éphebe que fait tu avec un gros et vieux "laideron" qui pourrait etre ton père, qui se comporte au regard de tous comme un pourceau, trimballant son "trophé"?
Nos regard balaye la piste de dance se croisent puis comme scotchés l'un a l'autre... nous marchons à notre rencontre, on se sourit, se dit bonsoir, et... ne pouvant plus resister plus longtemps, une main deriere ma nuque tu m'embrasse comme si nous etions amant depuis des lustre; enocre un sourir s'échappe de nos levres et tu m'avoue avoir un flash sur les mecs qui porte le "vigneron" et tu ajoute qu'en plus mes yeux te font litéralement craquer.
je regarde ton ignioble Jean-Paul Z... qui se pretend etre ton mec et qui, je le vois bien, n'a aucun amour pour toi, à ce momant je t'exprime malgré mon desir mon refus d'aller plus loin "car ton mec est là" dis je(au fond de moi je vois bien que tu ne l'aime pas ou plu); en tes yeux je devine soudain la tristesse et le désaroi de ma décision.
Ne pouvant supporter de voir en tes yeux de secretes larmes de tristesse alor que tu allait partir, je te regarde et de la tete te fait comprendre: "vien je vais aux wc", tu me suis, m'embrasse a nouveau et me demande mes coordonnés pour garder au moins le contacte, je te donne mon prenom mon nom et mon n° de tèl; sans savoir que j'allait te revoir bien plus tot que je l'aurait esperer.
Bien plus tard dans la nuit... tu sonnes chez moi, en caleçon et torce nu j'ouvre et decouvre "mon yannick" en larme, completement "éfondré" le "moralometre"
à zéro "je me suis engueulé avec JP" m'as tu dis, il est 3h45 du mat' et je n'ai pas le coeur à te laisser toi mon adonis a la rue; " il est tard viens te coucher mais mettons nous d'accord comme tu as un mec (si je peu ainsi dire) pas question de sexe entre nou!
C'étais compter sans l'incandecence de ton charme, sous les draps tu me provoque,m'atise,me stimule par le contacte de ta peau, chuchote à mon oreille et... Je crâââââque!!! je laisse libre cours à mes désirs(ce n'ai vraiment pas sage ça); le lendemain matin je t'avoue que on aurait pas du faire l'amour meme si je veu que cela ne cesse jammais.
un soir tu m'avoue que il y a 5ans il t'a sorti de la merde et que c'est en remerciement que tu restes avec lui mais que tu prefere etre avec un mec plus jeune, tu m'avoue egalement qu'il te garde pres de lui comme on garde un gode dans un tiroir; dans ma tete je me dit "quel ordure ce mec c'est vraiment un dechet,un pourceau".
quelques jours plus tard tu debarque chez moi avec "armes et bagages" en m'expliquant que JP.Z t'as envoyer "chier", ça m'enmerde et en meme temp ça me remplis de joie, car... je n'en ai pas encore conscience mais j'eprouve quelque chose de fulgurant pour toi; je te decouvre fan' de CURE au point que tu te coiffe comme lui, t'habille comme lui, et le soir meme alor que je suis décoloré en blond tu me coiffe en cure = yahououououououou.... ça me donne un look de tous les diables.
le lendemain JP vien chez moi foutre le bordel pour te récupérer, je te conseil de le lui avouer si entre vous s'est FINIS, et c'est paaaaaaartiiiiiii... voila que pendant un mois ton ex vien foutre le bordel devant chez moi... là, je finis per craquer,
à contre coeur, je te fait tes bagages et (la mor dans l'âme) je te signifie que puisque tu n'a pas le courage de lui dire= "jp entre nous s'est finis" retourne chez lui moi je ne peu continuer a vivre avec ton ex qui vien boulversé mes nuits; tu me replique = "ça va j'ai compris tu ne m'aime pas, c'etais juste pour le sexe si tu m'as accueillis".
Dans les jours qui suivent je veu t'acrire une letre alor je m'atable a mon bureau et commance par ecrire ton prenom, puis cherchant mes mots, inconciement, je réécrit ton prénom encore et encore... quand je renonce par ce que je ne parviens pas à trouver ce que je pourrait te dire je me rend compte que je viend de couvire 14 pages de ton prénom; là je fond litéralement en larme... hoooooo merde, je prend concience que ce "quelque chose de fulgurant" était en fait de l'AMOUR oui je te vouait déja de l'AMOUR, ho merde yannick, si ça ce n'est pas de l'amour que de couvrire 14 pages du prenom de quelqu'un alor qu'est ce ?
peu apres je sombre majistralement dans une depression nerveuse au point que je suis obliger d'etre hospitaliser à JEAN-VILLARS ou je subit une cure de someil 30 jours durant, entre mes crises de larmes et mes deflagrations nerveuses... j'arrive quand meme a metre par ecrit mes sentiments trahis par mon yannick; et voila ci dessous les couleurs de mon chagrin d'amour qui à ce jour laisse encore entrevoir en mon coeur une béantes plaie qui jammais ne se refermera.
Mon YANNICK
C'est un ptit bout de bonheur,
à lui tout seul il est un théatre,
un théatre de rires avec un coeur et une âme,
sans attache il a pourtant une amarre,
de derriere ces yeux que j'aime,
raisonne de l'amour en musique,
libres tel le cosmos,
qui cherche à s'emprisoné d'amour,
un regard leger tel l'envol d'une palombe,
le souffle plus electrique qu'un eclair d'orage,
la voie plus douce que le chant d'un ruisseau forestier,
ses chants endiablé à en faire peur à ORCHÜS,
son look parait si agressif,
mais on ne lui accorde que douceur,
pareil a la fraicheur d'un ruisseau,
ce n'est qu'un jeune mec,
mais pour moi il est bien plus,
il est plus qu'un mec aux millieux de tantd'autres,
il est...YANNICK,
MON YANNICK,
mon petit loup plein de fougue,
et moi en sa presence,
et bien moi je suis mordu de ce ptit loup,
mordu du beaume qu'il m'a contaminé,
ce jeune fauve m'as donné une bonne excuse,
un argument de choix pour continuer:
...LUI,
marcher a cotê du chemin,
vivre autrement que pour plaire aux autres,
mon ptit loup,
cela sufit à enchainer mon coeur,
à me decider de lui plaire à tout prix,
pour YANNICK je suis pret à tout perdre,
il ressemble trop au BONHEUR,
pour qu'enfin je le laisse m'echapper.
31 MAI1990
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