bravo,Brigitte BARDOT tu n'as qui que la vérité -08/08/2003-

par BiBi   


dans son dernier livre j'ai appréçié quand elle a écrit.
-Je trouves dommage pour tous les homos que certains d'entre eux se marginalisent,en revendiquant des droits,en se ridiculisant et en parodiant lors des <> une préférence sexuelle qu'heureusement plus personne ne conteste.
-Cette manifestation,comme beaucoup d'autres,tourne parfois à l'outrance et à l'exhibition,laissant une mauvaise image public-.
Chacun fait ce qu'il veut ...
Mais point n'est besoin de nous en faire toute une tartine!
Parmi les 14000 lettres de soutien reçues à ce jour;beaucoup sont écrites par des homosexuels qui m'aiment ,m'embrassent..
Alors, mes potes et moi qui ne faisont par parties de ses homos styles le marais ,on dit encore Bravo à notre brigitte bardot que nous soutenons..
Et dans peu de temps il y aurat deux clans d'homosexuel ,nous en reparlerons dans quelques mois ,vous verrez..
Je vous embrasses mes chéries ,bouuuhhh va !!
aux folles du marais ,aux tafiolles, du plus jeune au plus vieux !!!vous vous la joueraient pas longtemps...
les temps vont devenirent dures pour cette catégories d'homos...
Hihihihihihi, je m'en rejouis déjà..





  Du même auteur :
    - des horreures et se sont les plus exigeant !!!

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Les réactions déjà en ligne  
08 mai 2008 du 23/04/2008

AH BB...Brigitte Bardot..oh pardon brigitte bardot...choke...espere que pour certains d entre vous...vous n avez aucun parents eloigné decoré pour hauts faits de guerre dans les années 40 car sur se retourne dans leurs tombes...ton sujet m interesse pas c surtout ta refrence et pourkoi pas dysney ou ramstein pendant que tu y es...j pense que tu te fringue chez HUMM et HUMM tu m etonne...sache que ta reference n en est plus une depuis longtemps...sache que ds l ombre...en secret on attend...sache que partout ds le monde et en allemagne les GCCO (toi pas connaitres) les spartakiste ca t aide...le bloc antifa tu comprend mieux ou il te faut lecon d histoire...Nous sommes la planques dans l ombre a attendre que tt ceux qui brandiront haut les couleurs du, pardon, des racismes de toutes sortes ou leurs icones, ceux qui se rassemble pour lever le bras, tag et casse...du different de soi...qui en appel a BB, disney (revoi tes classique) (il n en sont pas)et au lep...meg..et compagnie...nous veillons ds l ombre...il y aura toujours une rose blanche pres de toi qui s epanouira...jusqu a mourir pour defendre l amitie entre les peuples...toi qui fait appel a bb...nous faisons appel a Luxembourg, Zettkin, Pieck, Liebknecht et tant d autres pour combattre la bete qui par la peur, et l ignorance...veulent imposer une couleur...une idee...un empire...GLOIRE A NOS VAILLANT COMBATTANT MORT AUX CHAMPS D HONNEUR POUR NOTRE LIBERTE ET CELLES DES AUTRES...gloire a Sophie S VIVE la LIBERTE et la DIVERSITE...enfin pour les dubitatif...petite lecon d histoire le salut hitlerien est nez d une chose...hitler (sans maj svp) avait une couille qui se balladait et avait tendance a se ballader ds son corp et finissait sa ballade ds son poignet aussi levait il le bras en l air pour la remettre en place...seulement d autres on lever comme lui le bras en l air sauf que ceux la n avait pas de couille...SOPHIE S..die weiss Rose est morte pour la liberte de tous...contre la haine aveugle, ses horreurs, elle s appelait sophie c t une femme elle aussi n avait pas de couilles et elle n a jamais lever le bras...ha bon entendeur...LASST DAS LICHT DES FRIEDEN SCHEINEN!!!das die SONNE SCHÖN WIE NIE!!!

neptune1917


RECONNAISSANCE = EXIBITION ? du 06/09/2003

sommes nous obligés de s'exiber pour être reconnus ?
de plus, quant on regarde la gay pride, c une manifestation politique plus qu'autre chose, on voit plein de représentant de parti Politique, mais dès qu'il y a quelque chose de fait pour améliorer la vie de notre communauté cela fait un polémique monumentale, souvenez-vous du PACS
alors, la gay pride est elle utile pour notre RECONNAISSANCE
laisser moi en douter !!

guimauve32adpt95


D'accord...ou presque du 31/08/2003

Je suis un homo qui ne souhaite pas se dévoiler dans les autres milieux que celui que je considère comme le mien, le nôtre en quelque sorte. Mes préférences sexuelles ne regardent pas mes collègues de travail, pas plus que mes supérieurs ou mes relations de vacances, de club sportif etc....
Par contre, je laisse la liberté à ceux qui le souhaitent de se dévoiler. Mais, comme cela m'est déjà arrivé, je trouve lamentable d'être "dénoncé" par ceux-là. J'accepte leur choix, qu'ils acceptent le mien et qu'ils le respectent. Personnellement, je suis opposé aux manifestatons démonstratives de l'homosexualité faites en public et au prosélythisme homo en règle générale. C'est une question de pudeur, de décence et non pas de honte.
Je n'en ai pas moins d'estime et de gratitude envers ceux qui, du temps du "Général" ont participé à amener la nation à nous respecter et à nous reconnaître, efforts qui ont abouti lorsque Miterrand est arrivé au pouvoir.
Ils on eu un réel courage et ont fait de vrais sacrifices nous permettant le choix de nous dévoiler ou pas : auparavant, il fallait se cacher, un point c'est tout sous peine de ..... etc...
Alors Messieurs les redresseurs de torts qui nous traitez de "traîtres", ne cassez pas le travail de ces vrais homos que vous, vous n'êtes pas car vous vous comportez en lâches, en irresponsables, en mouchards et en et non en gens courageux et responsables.

Cordialement à vous

tutu


vive bardot !!! du 15/08/2003

Ce qui me sidère c'est qu'on loge DANS DES HOTELS des étrangers qui affluent par milliers chaque jour dans notre pays, alors qu'on ne trouve plus de chambre d'hôpital pour héberger les personnes âgées qui souffrent par ces temps de grosse canicule,
et qui décèdent chaque jour. Les étrangers on n'est pas allé les chercher,nos vieux il faut en prendre soin, ils ont travaillé pour payer nos retraites, et ce sont avant tout nos parents et grands-parents.

solange


pourquoi tant de bruit pour rien du 14/08/2003

BB ne represente qu elle meme personellement ses reactions sur les homos je m en tape comme je me tape de l oeil reprobateur de mon voisin....IL n 'y a pas deux categories d homos comme il n y apas deux ou x categories d heteros nous sommes tous diffrents des virils des folles des qui se croient virils on est toujours la folle de quelqu un d autre ....arretez de vous regarder vivez ce dont vous aves envie du mieux que vous pouvez......et si vraiment vous etes enfermes dans un schema dual de votre vie vous pouvez choisir d autres possibilites les cons les intelligents.lesbo les moches les barbus les imberbes .les tracasses les tranquilles de grace comprenez que nous sommes ce que nous sommes et que nous ne sommes heureux que quand nous l'acceptons pas quand nous nous rejetons dans la vision de l autre.

mecgardcho


des procès pour racisme dans les forums super!! du 12/08/2003




Le webmaster d'un site néonazi, SOS-Racaille, a été interpellé par les polices française et russe
LE MONDE | 08.08.03 | 13h17 • MIS A JOUR LE 08.08.03 | 15h04
C'est l'histoire d'une "cyberenquête" de dix-huit mois menée par une dizaine de passionnés d'informatique décidés à faire tomber le webmaster de SOS-Racaille, l'un des principaux sites néonazis jusqu'à sa disparition, en mars 2003. Une enquête qui a peut-être trouvé son dénouement à Moscou, le 15 juillet, avec l'arrestation par les polices française et russe d'un dénommé Joël Michel Sambuis.

A l'origine, il y a un webmaster, un chantre de la lutte anticensure qui fait de son site, SOS-Racaille, ouvert en mars 2001, le point de convergence des islamophobes et néonazis en tout genre. Le site détourne la petite main de SOS-Racisme, frappée d'un nouveau slogan -"Casse-toi mon pote !" -, raille ses dirigeants et ceux du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP), disserte sur "les bougnoules"...

Sur les forums dits "restreints" on discute des moyens d'amener la France à la guerre civile, alors que sur les autres les appels à tuer "Ben Shirak"sont légion. Des internautes, choqués, sont traités de "trotsko-UMPistes" et deviennent les cibles privilégiées du site qui, outre les insultes d'usage, usurpe leurs identités et les fait passer pour des pédophiles.

Les plaintes des victimes de harcèlement sur le Net - le mailbombing - n'aboutissant jamais du fait de l'anonymat des auteurs, une dizaine de "cybercibles", des experts en informatique, se promettent d'identifier eux-mêmes leur diffamateur. Fin 2001, un groupe de travail, baptisé V8, se constitue. Il tient régulièrement au courant l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC).

Les policiers ne prêtent guère attention aux "cyberenquêteurs", jusqu'à la tentative de meurtre du néonazi Maxime Brunerie sur Jacques Chirac, le 14 juillet 2002. A la fin de janvier 2002, V8 remet aux policiers ses premières conclusions. Une synthèse dont la version grand public a servi de fondement au rapport rédigé par le MRAP, publié le 16 juillet 2003 : "La naissance d'une nouvelle extrême droite sur Internet" (Le Monde du 18 juillet).

Dans la synthèse donnée aux policiers, V8 détaille une "filière russe" de SOS-Racaille. Ces informaticiens ont réussi à identifier un intervenant, qu'ils appellent "notre ami russe", disposant des codes d'accès de serveurs, et réalisant des usurpations d'identité à partir de Russie. "Alors qu'on l'avait déjà repéré comme étant le webmaster malgré ces différentes identités -même numéro de compte à l'Université libre de Berlin-, il a fait une erreur : une usurpation d'identité depuis son propre compte, sans utiliser un remailer -un intermédiaire- qui efface les provenances", explique un membre du V8 souhaitant conserver l'anonymat par crainte de représailles. Une fois le compte d'accès identifié, V8 obtient les heures et dates de connexion du "corbeau".

En mars, SOS-Racaille disparaît soudainement. "Sur les forums, certains commençaient à se douter que derrière Pascal B., David Osborne..., il n'y avait qu'une seule et même personne qui commandait le réseau, se rappelle un enquêteur du V8. Avec le fournisseur d'accès, les dates et les heures de connexion qu'on a fournis à l'OCLCTIC, ce n'était pas difficile d'obtenir l'identité de l'auteur des messages."

De fait, le 15 juillet à 19 heures, la veille de la publication du rapport du MRAP -"certainement pas un hasard", selon V8 -, la police criminelle et la cyberpolice russes interpellent à Moscou, avenue Bolchoï Grouzinskoï, Joël Michel Sambuis. Les policiers russes sont accompagnés, comme l'a indiqué au Monde la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) française, de Jean-Gustave Paulmier, ex-patron du RAID, attaché de la police française à Moscou depuis un an, "qui a beaucoup travaillé avec les Russes sur cette affaire".

Joël Michel Sambuis, 43 ans, est décrit par l'officier russe qui dirigeait l'opération, Dimitri Tcheptchougov, comme un "dangereux escroc international", recherché depuis trois ans par la police française après une condamnation à quatre ans par contumace - par le tribunal de Grenoble - pour des escroqueries au paiement électronique estimées à 12 millions d'euros. La police moscovite explique que "les enquêteurs français ont des raisons de penser qu'il a financé des groupes extrémistes". Elle affirme également que la police française a localisé il y a trois mois M. Sambuis en Russie via sa correspondance sur Internet avec des complices français, et a aussitôt demandé à Interpol de le faire interpeller.

"Il y a bien une affaire Sambuis, reconnaît la DCPJ. Ça fait très longtemps qu'on le recherche pour escroquerie, mais tout s'est accéléré ces trois derniers mois avec des soupçons de cybercriminalité s'ajoutant aux accusations d'escroquerie. On suppose qu'il fait partie de la mouvance de SOS-Racaille." M. Sambuis est pour l'heure détenu en Russie pour détention d'un faux passeport au nom de Joël Pascal Boduin - Pascal B. était l'une des identités du webmaster -, et entrée illégale en territoire russe. "Si c'est possible, je porterai plainte", lance déjà un des membres de V8. Pour que justice soit faite, et que leur "cyberenquête" soit de l'histoire ancienne.

Yann Laurent

yann


Internationale et apparemment immatérielle, la Toile a la réputation d'être en dehors des lois. C'est faux, nous explique Michel Friedman, journaliste, écrivain, consultant et enseignant. Les sites sont soumis aux lois que ce soit en matière de civile, pénale... ou de droits d'auteurs. L'impunité peut être dans les faits mais elle n'est jamais dans les lois. du 11/08/2003

Internationale et apparemment immatérielle, la Toile a la réputation d'être en dehors des lois. C'est faux, nous explique Michel Friedman, journaliste, écrivain, consultant et enseignant. Les sites sont soumis aux lois que ce soit en matière de civile, pénale... ou de droits d'auteurs. L'impunité peut être dans les faits mais elle n'est jamais dans les lois.

Dix mille francs d'amende pour avoir écrit plusieurs fois le terme de «bougnoules», telle est la condamnation prononcée à la fin de l'été dernier par le tribunal correctionnel de Strasbourg. Elle pourrait hélas sembler banale si le jeune délinquant ainsi sanctionné n'avait commis sa «provocation à la discrimination raciale» lors d'un forum sur Internet. Et si le plaignant n'avait été la fameuse société Infonie : son propre fournisseur d'accès !
«Les professionnels commencent enfin à faire le ménage sur le réseau des réseaux, en concluent aujourd'hui les juristes. Et plus seulement en prônant verbalement une vertueuse autodiscipline, mais en recourant normalement à la police et à la justice pour faire appliquer les lois en vigueur...».
Ce changement d'attitude marque l'agonie d'un mythe étonnant, celui du prétendu vide juridique qui a trop longtemps passé pour entourer le multimédia. Pour comprendre la lenteur de la disparition de cette légende, il ne suffit pas de remonter à ses mystérieuses origines : il faut en outre rappeler l'extraordinaire concours de naïvetés et de roueries qui en ont assuré la propagation.

Une idéologie anarchiste de droite

Au départ, la naissance du Web s'est trouvé marquée par le secret militaire. Son embryon a en effet été conçu dès 1969 sous le nom de code d'Arpanet qui reflétait sa création par l'Advanced Research Project Agency, filiale du puissant ministère américain de la Défense - traditionnellement assez peu soucieux de légalité. En l'occurrence, son objectif était de développer un circuit de communication stratégique qui ne puisse jamais se trouver coupé par aucune frappe ennemie parce qu'il serait constitué d'un nombre suffisant de mailles juxtaposées pour que la rupture de l'une d'entre elles ne puisse interrompre la circulation des informations par les voies parallèles.
Comme le système ne pouvait se confirmer efficace que dans la mesure où il s'étalerait au maximum, son extension aux usages civils a été entreprise environ dix ans plus tard. Et les militaires ont habilement choisi de le mettre par priorité à la disposition des scientifiques et universitaires internationaux. De 1983 à 1995, le réseau s'est ainsi trouvé apparemment placé sous la houlette de sympathiques intellectuels, généralement plus férus de généreuses idées pacifistes et cosmopolites que d'arguties juridiques. Ce sont eux qui ont commencé à populariser les candides discours sur la pseudo «ouverture de nouveaux espaces de liberté...»
Les arguments avancés n'étaient de nature à convaincre que des non juristes. Ils prétendaient que les auteurs de textes, d'images ou de sons sur les autoroutes de l'information ne pourraient jamais être poursuivis, d'abord parce qu'il demeurerait toujours impossible de constater officiellement leurs fugitives infractions éventuelles; ensuite puisqu'ils ne diffusaient rien à proprement parler, se contentant d'agir à titre privé sur des sites que les tiers prenaient seuls la responsabilité de venir consulter. Pour les mêmes raisons, ils soutenaient que les hébergeurs de sites et les fournisseurs d'accès ne pourraient pas davantage être poursuivis et ceci d'autant moins qu'il leur serait pratiquement impossible de surveiller les millions d'informations gérées par leurs soins. Ils ajoutaient plus hypocritement qu'il serait toujours impossible de sanctionner aucun auteur d'infraction commise hors des frontières nationales et auquel il demeurerait toujours possible de transférer ou de faire refléter son site depuis des pays étrangers.
De tels discours reflétaient en fait surtout l'idéologie anarchiste de droite en vogue dans le milieu «libéral» des affaires américain. Industriels, commerçants et financiers surtout représentés par le parti républicain et attachés à grignoter les pouvoirs de contrôle de l'Etat fédéral espéraient bien pouvoir investir dans le nouveau domaine sans avoir à y tenir compte des droits d'aucun tiers. Ils ont donc préposé leurs influents médias à exalter le caractère hors-la-loi de telles activités pionnières.
En France, paradoxalement, les journaux gauchisants - mais de même inspiration libertaire - ont si bien pris le relais qu'ils ont fait de la vacuité juridique du multimédia l'un des poncifs de la «pensée unique». Ils ont ainsi contribué à intoxiquer les pouvoirs politiques et les autorités judiciaires, peu pressées de donner le signal de répressions que les médias ne manqueraient pas de dénoncer auprès du public comme atteintes aux libertés. Leurs hésitations et atermoiements, du même coup, contribuaient à accréditer le mythe de l'absence de droit...

Les tribunaux appliquent le droit

Une absence de droit qui, bien sûr, n'existait pas plus en France qu'aux Etats-Unis, comme n'ont jamais manqué de le souligner les honnêtes rapports officiels répétitivement commandés aux juristes par des gouvernements successifs surtout préoccupés de gagner du temps. En fait de vacuité, il y avait plutôt trop-plein : le droit de la publication s'appliquait presque aussi bien aux réseaux qu'à la presse ou à l'audiovisuel; le droit d'auteur recouvrait sans grande difficulté les activités multimédia; le droit à l'image et à la protection de la vie privée trouvait dans le sillage de l'informatique ses meilleures occasions de s'affirmer.
Au demeurant, les particuliers - eux - n'avaient pas attendu pour saisir la justice de leurs litiges. Depuis le début de la décennie, bon gré mal gré, les tribunaux ont donc dû trancher !
Parmi les premières actions engagées en justice à propos d'affichages sur Internet - et qui visaient curieusement déjà la sanction d'inscriptions racistes - la plupart ont échoué pour de simples erreurs de procédures. D'autres, comme la dénonciation d'agissements d'une banque publique contre les intérêts d'un riche industriel, se sont vite terminées par des arrangements. Certaines, à l'instar du piratage de chansons par un très jeune étudiant sur le site de son école, ont débouché sur d'indulgentes sanctions à caractère surtout symbolique. Mais dans davantage de cas, par exemple dans la mise à la disposition par un industriel sur son site du chargement gratuit d'un logiciel ne lui appartenant pas, les condamnations ont atteint les centaines de milliers de francs prévus par les lois...
Un cas a même spécialement mobilisé l'attention des syndicats de la CFDT : celui des journalistes de la presse écrite et télévisée dont les employeurs prétendaient s'approprier gratuitement le travail pour l'exploiter par voie de multimédia. Les condamnations obtenues ont obligé un peu partout des négociations à s'entamer...
Les prétendues impossibilités juridiques soulevées naguère n'ont naturellement pas réellement embarrassé les juges. Comme pour les exploitants du Minitel, ils ont logiquement considéré que les professionnels engageaient leurs responsabilités. Et que la fuite à l'étranger n'était ni plus ni moins nuisible sur le Web que par voiture, train ou avion... Ils traitent donc désormais une moyenne d'une affaire par semaine, non plus seulement devant les tribunaux de Paris, Nanterre et Versailles, mais dans un nombre croissant d'autres régions.

L'affaire des photos

Malgré les pressions de gros annonceurs, la presse française a fini par se faire l'écho de telles affaires. Récemment, stupéfaite de trouver démentie ses positions antérieures, elle a même entouré une affaire d'une publicité peut-être excessive.
Il s'agissait de l'affichage par une particulier sur son site Internet d'une vingtaine de photographies déshabillées d'un mannequin appartenant à une famille célèbre. Au nom de son droit à l'image, la jeune femme avait précédemment obtenu la condamnation de plusieurs magazines imprimés ayant publié sans son autorisation les mêmes clichés. Faute d'indication légale du nom et de l'adresse du responsable sur le Web, ses avocats ont assigné l'hébergeur du site. Celui-ci n'a fermé le site incriminé qu'entre la première audience et l'appel. Il a prétendu qu'il ignorait le nom et l'adresse du locataire du site concerné. Et il ne semble donc nullement stupéfiant que la cour l'ait lourdement condamné, au mois de juin dernier. Le PDG de l'AFP est reconnu directeur de publication et donc responsable des millions de signes que l'agence diffuse chaque jour, il est donc logique qu'il en soit de même pour un hébergeur de sites (responsabilité sans faute).
Le résultat de cette affaire a dépassé toute attente. Car, à la faveur de son retentissement, un député socialiste de Paris a aussitôt déposé un amendement imprévu à la loi Trautman sur l'audiovisuel. Sous prétexte de mettre de l'ordre dans les responsabilités des différents intervenants de toute affaire de ce type, il instituait une responsabilité exposant à des peines de prison ou d'amende les professionnels qui ne pouvaient jusque là être poursuivis que par les voies civiles et donc tout au plus être sanctionnés par des dommages et intérêts !

La loi, garante de la liberté

Cet ahurissant épisode témoigne assez de la confusion qui subsiste dans les esprits. Il se trouve encore des internautes pour plaider l'absence de droit et réclamer des institutions d'autorégulation au milieu d'une pluie de condamnations de leurs semblables. Il est donc plus que temps qu'au moins les professionnels s'initient aux prescriptions des lois et règlements qui les concernent et apprennent à les respecter. Contre la propagande de nos amis américains, il est temps qu'ils se souviennent que, selon la conception française de la démocratie, la loi ne doit pas être l'ennemie de la liberté, mais son garant.

Michel Friedman

michel


Brigitte Bardot et les gendarmes de Saint-Tropez du 11/08/2003

Brigitte Bardot et les gendarmes de Saint-Tropez



PARIS (AFP) - Brigitte Bardot devrait remettre début septembre aux gendarmes de la brigade de Saint-Tropez (Var) un exemplaire d'une brochure consacrée à la réglementation du transport des animaux, a annoncé à l'AFP Ghislain Zuccolo, directeur de l'association française Protection Mondiale des Animaux de Ferme (PMAF).

Cette brochure d'une soixantaine de pages - ainsi qu'un dépliant -, destinée à 4.000 brigades de gendarmerie, a été éditée grâce à l'aide de la Fondation Brigitte Bardot, souligne le directeur de la PMAF.

L'ancienne actrice, grande protectrice des animaux depuis le milieu des années 70 et son combat en faveur des bébés-phoques au Canada, et résidente de Saint-Tropez, a choisi la brigade de Saint-Tropez, pour lancer la campagne nationale, un clin d'oeil à la célèbre série de films mettant en scène Louis de Funès, relève M. Zuccolo.

B B


avec modération... du 11/08/2003

Même si je suis d'accord sur le principe que CERTAINS homo donnent PARFOIS une mauvaise image du milieu, notament par des pratiques sexuelles dangereuses et pourtant revendiquées, on ne peut s'empecher de penser que notre Brigitte Bardot ai bien fait son temps et kil s'agisse désormais d'une figure d'une autre époque, sympathisante du Front National:
"Brigitte Bardot, après avoir été condamnée à trois reprises suite à des plaintes du Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié des Peuples, pour ses propos racistes , récidive avec son dernier livre "Un cri dans le Silence". Ce livre, d'une vulgarité consternante, se situe dans la pure tradition de la propagande du IIIe Reich. Brigitte Bardot y revendique haut et fort son racisme viscéral, son homophobie, etc.
Dans ce torchon haineux, Brigitte Bardot regrette la pureté raciale qui est prétendument mise en oeuvre de façon naturelle chez les animaux et qui est absente chez les êtres humains. Elle compare les enfants nés du métissage à des « bâtards ». Elle s'en prend également aux martiniquais, aux infirmières espagnoles recrutées dans les hôpitaux français, aux réfugiés (qu'elle appelle des « gueux »), à l'Islam, aux homosexuel(le)s, aux femmes en politique, aux handicapés, aux associations de défense des droits de l'homme, aux fonctionnaires. Seuls les animaux semblent être épargnés dans ce torrent de boue et de haine." _extrait d'un commentaire disponible sur le site du MRAP_
Visiblement, les personnes en accord avec ce genre d'écrits ne connaissent pas la notion de solidarité et préfèrent une division de leur communauté, de manière à marquer distinctement leur rejet haineux de certains de leurs "camarades de galère", au mépris de tous les efforts qui ont été fait jusqu'à présent en vue de présenter et préserver une certaine unité communautaire auprès des politiques, unité motrice dans les revendications en particulier pour le pacs.
Il est toutefois certain que certains participants à la Gay Pride éxagèrent parfois un peu trop mais il ne s'agit là que le fait d'individus isolés et trop peu nombreux pour que l'on puisse les prendre en compte politiquement et communautairement. Sinon, nous n'aurions qu'à supprimer la Gay Pride, le symbole même du recul de l'homophobie, car c'est grâce à cet évenement que l'homosexualité a pu cesser d'être un taboo.
En clair, non au schisme de la communauté homo, non aux comportements provocateurs et irrespectueux, non aux propos d'extreme droite d'une ancienne actrice de cinéma qui n'y connait rien en politique; oui à la solidarité, à l'ouverture d'esprit, et à la TOLERANCE

azakurayoh63


amnesty international à le gay pride! du 11/08/2003

par Catherine HOURS

Des dizaines de milliers de personnes ont battu samedi le pavé parisien au rythme de la techno ou du musette, pour la désormais traditionnelle Gay pride, qui cette année dénonçait une homophobie toujours d'actualité.

Ils étaient, selon les organisateurs, 250.000 gays, lesbiennes, amis, sympathisants de la cause homosexuelle, à rallier la Bastille sous un ciel menaçant. La police donnait quant à elle un chiffre de 100.000 manifestants, auxquels s'ajoutaient 100.000 à 130.000 badauds.

Du candidat PS à la mairie de Paris, Bertrand Delanoë, au député-maire PC de Bobigny, Bernard Birsinger, en passant par le Vert Yves Contassot, la majorité plurielle était largement représentée dans le carré des personnalités, de même que des proches de Philippe Séguin, comme le vice-président du groupe RPR de la région Ile-de-France, Jean-Luc Roméro.

Tous avaient pris place derrière une banderole de tête proclamant "l'homophobie, fléau social", clin d'oeil à une loi de 1960 qui se référait en ces mêmes termes à l'homosexualité.

Le thème était ainsi décliné dans le cortège, Amnesty International dénonçant "l'homophobie, fléau mondial".

Les 55 associations organisatrices ont réclamé, chacune à leur manière, une politique anti-discriminatoire forte, se félicitant de l'intention du gouvernement, annoncée jeudi, d'inscrire au code du travail l'orientation sexuelle comme motif de discrimination.

Les militants de l'Association franco-maghrébine des gays et lesbiennes avaient revêtu un voile qu'ils comptaient abandonner à la fin de la manifestation, évoquant "la difficulté d'être gay du fait de la pression familiale et religieuse", selon Hayette, leur vice-présidente.

go-go dancers et pom-pom boys
Un peu plus loin, les parents et futurs parents gays et lesbiens revendiquaient le droit à l'adoption et l'accès à la procréation médicalement assistée. "C'est l'amour qui fait une famille, pas les gènes," affirmait une pancarte.

Act-Up et ses "fières d'en mettre" tenaient eux à rappeler les dangers du sida, qui a fait 25.000 morts parmi les homosexuels en France, alors que la prudence tend à se relâcher dans les pratiques sexuelles, selon la présidente Emmanuelle Cosse. Sur le char, la photo d'un canon de pistolet braqué sur la foule.

Mais comme à l'accoutumée depuis l'organisation de la Gay Pride à Paris, en 1986, c'est la fête qui a prévalu, dans une débauche de drapeaux arc-en-ciel, ballons et confettis.

"Il reste des choses à faire mais la situation s'est améliorée par rapport à l'époque de mes 15 ans", dit Jean, 60 ans, déguisé en somptueuse mariée. Et l'homme, "ravi de fêter le PACS", d'embrasser à l'envi, à la grande joie des photographes, son promis d'un jour, André, 30 ans.

Derrière, c'est le ballet continu d'énormes semi-remorques équipés de sonos surpuissantes et promenant go-go dancers, pom-pom boys, diablotins, drag-queens ou militants "en civil", le tout aux couleurs d'associations mais aussi d'entreprises gaies, cafés ou discothèques.

Au total 60 chars, du poids lourd à la camionnette, ont défilé pour cette manifestation que des entreprises plus traditionnelles n'hésitent plus à parrainer.

"C'est tellement gai ici", remarque Gisèle Le Bérichel, 70 ans, venue de Malakoff (Hauts-de-Seine) pour sa première Gay Pride. "Des amis ont un fils homosexuel, ça ne pose aucun problème," dit-elle. "J'aime mieux voir des gens qui s'aiment que des gens qui se battent", renchérit son compagnon, Jacques Gilet, 70 ans.

Prochain rendez-vous pour les manifestants : la World Gay Pride, organisée le 8 juillet à Rome à l'occasion de l'an 2000

jean


POURQUOI ??? du 11/08/2003

pourquoi tant de haine ?
le monde est déjà si trsite, si mal en point, qu'il n'est pas nécessaire d'en rajouter !
tu ne connais pas la tolérance mec, chacun est libre , et cette liberté a été acquise par des millions d'hommes morts pour que nous puissions la savourer ! alors ne jete pas en pâture le droit à la différence ok ?
ne juge pas mec, qui es-tu pour faire cela ? si tu n'aimes pas ces mecs, c'est ton droit, mais ne lance ton venin à la face du monde !
salut

pourquoipas


j'allais oublier du 10/08/2003

citation "" Mais point n'est besoin de nous en faire toute une tartine! ""

et la connerie qu'ose nous pondre madame bardot y'en a pas besoin d'en faire une tartine non plus

gwaihir seigneur des vents


là tu pousses du 10/08/2003

Ton message sur le livre de Brigitte Bardot est consternant. Je ne critique pas ton opinion, comme toute opinion elle mérite d'être écoutée mais je regrette ton manque de tolérance envers les homos qui veulent se faire reconnaitre, avoir des droits comme tout autre français, avoir des enfants, pouvoir se promener dans le rue en tenant son copain par la main sans l'oeil inquisisteur des bien pensants. Si on veut que cela change, on doit montrer qu'on existe, que nous sommes une population à part entière, pas une sous population. et je préfère voir un défilé de la gay pride plutot qu'un défilé du Front National, d'ailleurs parti recevant les faveurs de Brigitte Bardot. IL y a deux façons de vivre son appartenance au monde homo: discrètement ou en public. Il faut respecter ses deux façons de vivre. En se faisant voir, on aide aussi les jeunes homos à s'assumer, à leur montrer qu'il n'y a aucune honte à être homo. Et je ne suis pas sûr que le livre de BB aide en cela. voila c'est tout ce que j'avais à dire.

setsuna71


mdr du 10/08/2003

1- en tout cas madame bardot faisait un peu moins la maligne sur le plateau de fogiel je n'aime pas forcement ce presentateur mais la il lui en a foutu plein la gueule bien fait pour elle
bien joue mr fogiel

2- je ne fais pas parti de ces homos la mais je les respecte cela s'apelle la tolerance ce dont apparament tu dois ignorer le sens comme celle que tu defends a savoir madame bardot

3-oui les temps vont devenir dur pour ces homos la avec des cons et des intolerants de ton espece

en tout cas moi je me rejouis de ta connerie cela me fait bien marrer hihihihihi
dommage que je ne puisse pas rigoler tout les jours comme ca de la connerie des autres

gwaihir



bravo du 10/08/2003

je suis d'accord avec toi. Il y en a marre de cette Gaypride où on ne voit que des fofolles, hommes habillés en femmes, travelo, trans, drogués....
comment des couples homos pouront obtenir le droit d'avoir des enfants avec une telle image?
comment rassurer la france conservatrice avec une telle manifestation?
non les homos ne doivent pas se cacher!! mais un homme restera à jamais un homme malgré l'habillement!!!!

salutation aux homos responsables.

ed91

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