Enquête & documentaire ( peut-être) -08/04/2006-

par zan31   


Bonjour à tous !

Voilà, je suis homo et comme beaucoup d'entre nous ( homos), je cherche un mec bien viril ! lol
Je me suis donc rabattu sur les hétéro & j'ai passé tte mon adolescence à monter des stratagèmes pour faire tomber les hétéros que je voulais dans mes griffes.
Bref, mon enquête consiste à essayer de comprendre grâce à plusieur témoignages, avis...etc comment les hommes ( homos ou hétéro) peuvent désirer qq1.
Et pourquoi pas, si j'ai assez de messages et de commentaires, répondre à la question : Comment faire douter un hétéro ! lol
Peut etre que vous qui me lisez faites ça couramment et j'aimerais vraiment avoir votre avis sur la question, histoire que votre expérience puisse servir à d'autre !
Merci d'avance !
Mon adresse e-mail : ggauthier8@msn.com


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Détournement de majeurs 2 du 24/07/2006


Je voudrais revenir sur l'enquête de Gauthier
avoir du sexe avec un hétéro.

Si vous allez sur Men on the net, motnes.com/Straight guys gay sex, vous trouverez 682 histoires hardsur le thème. C'est du porno pur, corrigé par le comité de rédaction. Toutefois, la grande majorité des histoires narrent la scène du côté de l'homo. J'en ai lu quelques-unes du début de l'alphabet, mais je ne crois pas qu'il y en a beaucoup qui décrivent la scène dans la perspectivedu novice hétéro, si la transgression est vécue comme un trauma ou comme une libération.De toute manière, on ne fait pas dans la psychologie.
Mais soyons francs, est-ce que nous faisons, nous-même, dans la psychologie, dans les combats intérieurs, dans l'analyse de la situation et de ce qu'il en adviendra ? Je pense qu'en matière du désir et de son accomplissement, nous ne sommes pas dans la réflexion, mais dans l'action, mon action se fait elle-même et je ne la dirige pas. Essayez de faire publier un roman érotique gay – l'éditeur vous rétorquera toujours que votre personnage manque de profondeur, qi'il est plat, quelconque. Mais tous, ne le sommes-nous pas dans la réalité vécue. J'ai toujours constaté, au Maghreb, que le sexe est un non-pensé, que le souvenir d'un acte réside dans la mémoire (et s'estompe lentement) comme un non-pensé, comme un non-dit. c'est une image, le souvenir d'une odeur, d'un contact. Un ami m'a dit un jour, en parlant justement de nos relations coupables : "vous les Blancs, vous mettez de mots sur les choses, vous en parlez. Nous, on fait seulement."
Je pense avoir trouvé là une explication au harcèlement discret et persistant, et du consentement fréquent à l'acte homosexuel dans des sociétés où l'acte sexuel hors mariage et celui "contre nature" est rigoureusement proscrit comme une abomination par la religion, la culture traditionnelle et par le code pénal. Vous avez fait du tourisme en Egypte, seul, blond, bien roulé ? Ce n'est pas en France où tout est permis que des lycéens vous siffleront après.

Autre point de vue : à vrai dire, toutes les histoires First time / Ma première fois, tous les récits de séduction illustrent le détournement du hétéroque nous sommes censés être de naissance.Mais encore l'idée du camarade : on ne porte pas l'étiquette, mais on se livre au stupre, aux actes, de manière plus ou moins exclusive. L'essentiel, c'est toujours le Désir et son assouvissement.

Pour revenir sur Men on the Net, vous allez entrer en jurant sur l'honneur
que vous avez plus de 18 ans. Vous y trouverez 14850 histoire reparties en quelques 50 spécialités et 28 langues, dont 201 /In French. J'en ai fait supprimer quelques-unes écrites par des Canadiens parce que c'étaient des crimes contre la langue française (je ne dis pas que les Canadiens écrivent mal, mais qu'il y en a parmi eux qui pensent en Anglais ou qui utilisent un robot de traduction.) Et le gens de Fort Lauderdale, la rédaction de Men on the net, ne savent corriger que les texte en américain et en Espagnol, mais ni le Français ni le Catalan, le macédonien ou le tagalog.J'ai obtenu aussi qu'on supprime plusieurs histoires irréalistes et bêtement racistes localisées au Maroc et en Afrique noire. Fait intéressant, les textes sur les concitoyens afro-américains, franchement cochons comme tous les autres, me paraissent morally incorrect but policically correct. Bien sûr, il y a la fascination par la prestance physique, la perfection de la peau, la culture, bien sûr le délicieux viol (secrètement souhaité et consensuel) par un homeboy black vulgaire et méchant.Les invectives racistes du black , souvent un hétéro qui se sert de sa bite pour exprimer sa profonde rancune contre toute la gent blanche, font bander de joie le petit maso blanc : l'inverse est impensable.

Enfin, pour conclure : nous savons qui est l'homo, ce qui se passe en lui; mais qui est l'autre, l'hétéro qui entre dans le jeu ?

Paul


Détournement de majeurs du 22/07/2006

Le camarade l'a bien dit : laissons les étiquettes et disons ce qui est - le désir.
D'abord la devise universelle :

ANY BOY CAN

Retenez bien, any boy can.
le sexe avec un hétéro peut être bien plus fascinant qu'avec un pédé aguerri et routinier : d'abord tu as ce que tu veux, un mâle en rut te serra dans ses bras et te fourre comme un dingue, ou tu le suces à fond, ou tu pénètres lentement après lui avoir ôté la blockade. Mon neveu disait toujours : un trou est un trou, et tout le reste c'est du décorum.
Donc tu jouis, mais, l'autre facteur, tu es excité par l'autre, comment vit-il la situation, son coeur, son adrénaline doivent battre la chamade : ton excitation se trouve renforcée par la sienne, toute autre : c*est l'aventure exaltante de la transgression qui aboutit toujours à ce constat : "C'est tellement simple, l'amour." dit Garance dans "Les enfants du Paradis"; j'ai vu ce film plus de 12 fois, rien que pour cette phrase.
Donc, thrill du sexe contre le thrill complexedu mec qui agit comme un homo sans un être un.

Très important : toi, la salope, tu n'as aucun problème. Mais pense à l'autre
comment va-t-il gérer la nouvelle donne.Faut l'aider, fais lui comprendreque c'est une affaire banale qui ne tire pas à conséquence, et que le respectes plein-plein. Il aura une sacré trouille de te rencontrer en public : va sur lui, salue le calmement comme le facteur, et ne fais jamais allusion, même pas avec un clin d'oeil, à ce qui s'est passé. S'il ne veut pas oublierc'est à lui de prendre l'initiative. Détourner un hétéro, abuser de lui quand il a bu, c'est dangereux, cela peut être un traumatisme descructeur, ou un petit souvenir coquin. Mais la honte du type qui s'est laissé tout faire, qui a livré toute son intimité, peut tourner en agression, à la raclée et au mugging et pire. Comment Pasolini est-il mort, comment Sabu est-il mort ?
C'est pour le même risque de déstabilisation que nous autres salopes respectueuse et responsables approuvons s approuvons pleinement la protection des mineurs contre nos approches lubriques..

Gauthier demande : comment ?
Il y a la curiosité
Brigitt, un artiste français qui donnait des spectacles de travesti dans tout l'Ouest africain, m'a dit : "Il suffit de dire que tu es pédé. Dans le taxi qui me mène de l'aéroport au centre, je fais quelques remarques sur un joli mec dans la rue, je fais la folle sur un ton viril, "matter of fact" et si le type comprend, il va poser des question. Et souvent, je l'avais le soir même dans mon lit.
On venait de loin, de Belgique et deRhénanie même, au Mgr Nolens Park de Maastricht, au bord de la Meuse, sur les vieux remparts devant lesquels le Capitaine d'Artagnan est tombé au combat.
Il y a avait les coins, les massifs d'arbustes qui signalaient le genre d'action, de la rapide branlette à l'action totale, le pantalon aux chevilles et penché sur le vieux canon de bronze. Il y avait les tranches horaires. Et après la "frantic hour" où il fallait s'empresser à trouver encore un complice, le parc était vide sauf quelques vieux désespérés dont personne n'avait voulu.
Or, il passait dans la soiré, vers minuit, toujours des bandes de jeunes ivres qui braillaient qu'ils allaientt casser du pédé; quand on les entendait de loin, on allait vite déguerpir, on avait entendu parler de chaines de vélo. Mais plus d'une fois, vers les 5 heures du matin, un de ces minets, du genre apprenti boulanger ou lycéen, complètement bourré, revenait seul et attendait, immobile, le regard fixé au loin, qu'on l'abordat. Une main sur sa poitrine pour sentir le coeur qui battait à rompre, et l'autre main dans sa braguette. Il faisait toujours la statue de marbre, toujoursnles yeux fixés au loin, pas un mot, et il se laissait tout faire et prêtait même son petit cul blanc. Les copains avaient donné l'adresse du coin où des vieux dévergondés guettaient les jeunes normaux pour leur infliger des souillures. Comment cela fait quand ils le font avec la bouche... ?quand Il eut éjaculé, il prit aussitôt la fuite, avec un rauque "bedankt".

Paul


enquete de gauthier du 31/05/2006

moi aussi je tombe souvent amoureux de mecs heteros. JE pense que tout hetero daujourdhui peut avoir une experience homo comme ca pour voir cest tendance non? ON peut profiter de certaines occaz fin de soiree arrosesetc mais on ne les rendra pas homo pour autant sauf si cest latent. ET si on laissait tomber les etiquettes? HOmo hetero ce sont des mots recents ds lhistoire de lhumanite si on parlait que de desir.... CESt bcp plus interessant. si qn veut avoir dautres temoignages plus perso
yan

yanek


ah ben ça alors ! du 19/05/2006

Messire Grandsurcaen, z'êtes prié de ne pas me piquer totalement la réaction première que je comptais faire à ce ggauthier, non mais !!!

(J'espérais être "original" après un ou deux tours du monde, la grand-paternité etc etc - et vlan, ce Grandsurcaen me casse la baraque !)

Pour lever un hétéro, prendre une tartine de désir sexuel à peine rissolée, la beurrer de tendresse mâle, la saupoudrer de bourrades rieuses; laisser mijoter un certain temps (comme les chaussettes chez les militaires) avec une pincée de sincérité désespérée et un doigt (encore que...) de connivence attentive. Servir avec un alcool fort ou, si l'heure est tardive et estivale, une invitation à "se mettre à l'aise". L'utilisation de la main (sur l'épaule) ne met pas hors jeu.

Certains préfèrent les battements de cil, les éclats de rire et les crises de larmes, les "je me jette à tes pieds"; le ridicule n'étant pas plus meurtrier désormais que les plumes au cul ou le rouge à lèvres pour pétassons, on la réservera aux émules même jeunes de Priscilla folle du Désert.

D'autres prônent l'attaque frontale du copain, genre "viens, on baise" : tactique réservée aux karatékas expérimentés. Elle n'est pas recommandée dans un lieu public, ni à la table familiale.
(Et les préliminaires, bordel ?).

Au fait, on feuzé comment pourdraguer les nénettes ? Euh... pareil.

mursoft



suite à tes interrogations... du 12/04/2006

salut,
moi, j'ai été hétéro ( marié, 1 enfant ), puis bi., divorcé, et maintenant totalement homo. Pourquoi ? Bin, j'ai de plus en plus été attiré par les mecs et parallèlement, de moins en moins attiré par les femmes. Les mecs me ressemblent, ont les mêmes envies que moi, les mêmes plaisirs.... On sait ce qu'attend l'autre, pas d'interrogation. En plus, je préfère de beaucoup les corps de mecs... Leur fesses, leur torse, leur queue...

grandmecacaen

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