J'habite en province. Un gros bourg, pas vraiment une ville, mais un endroit sympa, où il y a tous les commerces, toutes les structures et équipements publics nécessaires à une vie agréable. Pour tout dire, les avantages de la ville sans les inconvénients, et les avantages de la campagne, toujours sans les inconvénients. Tout le monde (ou presque) se connait. Alors la convivialité règne, et quand c'est un peu calme au niveau boulot ou clientèle, il n'est pas rare d'aller faire la causette chez le voisin.
Mon voisin à moi est une voisine. Je devrais dire une accorte voisine, tant elle porte bien sa quarantaine naissante, Liliane.
Longtemps - pendant que j'étais un hétéro pur sucre - elle m'a fait flipper, et souvent, pendant que je rendais hommage à mon épouse, je m'imaginais -juste en fermant un peu les yeux- que c'était ma voisine que j'essayais de clouer sur le matelas. Maintenant que je suis bi, et bien que je la trouve toujours appétissante, je ne fantasme plus sur son compte. Pourtant il y aurait de quoi. Coté corps elle est balancée comme une nana bien plus jeune. Une taille fine, des fesses à attirer toutes les mains (même honnêtes), et une poitrine tout ce qu'il y a de sympathique. En plus de coté-là elle n'est pas avare, et en montre beaucoup. Ca doit aider, au niveau chiffre d'affaires...
Nous sommes en août, il fait une chaleur d'enfer. Pas un chat dans les rues. Pas un seul client potentiel à l'horizon.
Je passe la porte pour aller tailler une bavette avec Liliane. Il fait plus frais chez elle que chez moi, surtout au fond, dans son bureau. Mais il n'empêche, elle s'aère avec un magazine qu'elle agite comme un éventail. Elle aussi est seule dans son magasin. Après les salutations d'usage suivent de profonds commentaires sur la météo. D'évoquer cette température caniculaire semble lui donner encore plus chaud, et elle tire sur son chemisier pour l'éloigner de sa poitrine, et permettre ainsi à plus d'air de la rafraîchir. Par la même occasion elle élargit mon champ de vision, et m'offre le spectacle de sa poitrine nue sous son chemisier. Immédiatement je me remémore les moments "hot" passés avec elle, à l'époque de nos dix-huit ans. C'était déjà la plus belle poitrine du coin, et mes potes m'enviaient, de sortir une fille aussi canon. Malheureusement, à l'époque et dans notre province les principes étaient rois. On pouvait pousser les "flirts" assez loin, mais pas coucher. Et elle et moi on a tout fait, sauf ça.
Curieusement, d'y repenser me fait de l'effet, et je me sens naître une érection. J'en souris et elle s'en rend compte. Puis elle suit mon regard :
-Non mais je rêve, tu reluques mes seins !
-Et alors ? lls valent la peine d'être regardés, non ?
-Dis-donc, tu serais pas entrain de me faire du gringue, alors que ça fait vingt ans que tu ne m'as pas touchée ?
Ce début de marivaudage, dans ce calme et dans cette chaleur étouffante, me met dans un état bizarre. Moi qui ne suis plus porté du tout sur les femmes, qui ne fais l'amour à la mienne que très occasionnellement et sans entrain, je me sens tout émoustillé.
Liliane ne sait rien de mes préférences sexuelles actuelles, au contraire elle voit bien que je subis un certain trouble, que ma voix n'est plus la même, que mon attitude est devenue un peu fébrile. Elle connait les hommes, surtout depuis son divorce, et il se raconte qu'entre temps elle a bien compensé les manques "d'affection" de son ex-mari, trop souvent en déplacement.
Le souvenir des moments passés ensemble devient de plus en plus précis. Je me rappelle la fermeté de ses seins, qui ne tombaient pas d'un poil quand je lui dégrafais son soutien-gorge (elle en avait toujours de très beaux) pour me précipiter d'un sein à l'autre, et les lécher et les sucer goulûment.
-Ils se tiennent toujours aussi bien qu'à l'époque, on dirait...
-ma foi, si ça dure encore un peu comme çà je ne m'en plaindrai pas, répond-t-elle.
Je décide de vérifier la chose :
-tu permets que je me rende compte par moi-même?
-et puis quoi encore ?
Mais avant qu'elle n'aie fini de parler j'ai une main sous chaque sein. Leur volume, leur texture, leur fermeté me reportent immédiatement vingt ans en arrière. Je retrouve les gestes qui plaisaient à l'époque. Ils font toujours de l'effet, et étouffent très vite les protestations initiales qui se transforment en petits gémissements accompagnant une respiration de plus en plus haletante.
C'est à ce moment que tinte la sonnerie signalant l'ouverture de la porte du magasin. On se regarde, désappointés. Son chemisier est à moitié sorti de sa jupe, ses cheveux sont un peu en désordre, elle a les yeux brillants et le feu aux joues. Si on nous voit tous les deux ensemble, vu que mon état doit être proche du sien, on va alimenter pour un moment les conversations du patelin.
Je file par derrière, lui dis-je, pendant qu'elle remet un peu d'ordre dans sa tenue, et je passe par la porte de service qui donne sur la cour qui nous est commune.
Je retourne vers ma pharmacie avec une véritable matraque dans le futal. Heureusement que je suis passé par derrière. Heureusement ? Pas tout à fait, car si j'ai pu sortir sans problème de chez Liliane je ne peux rentrer chez moi. Pour des raisons de sécurité ma porte sur cour est toujours fermée à clé. Je l'avais un peu oublié...
Il faut que je repasse par où je suis venu.
Je reviens sur mes pas et pénètre dans le bureau, d'où j'entends la conversation en cours. Une voix d'homme demande des précisions sur le confort d'un canapé. Liliane sort le baratin habituel et un peu basique des marchands de meubles : ferme et souple à la fois, peut servir de lit d'appoint, etc... Le type répond que le coté lit d'appoint l'intéresse, vu qu'il vit seul, et que parfois, quand la chance lui sourit et qu'il peut ramener chez lui une conquête...Que donc si le canapé supportait...etc, etc...
Liliane glousse. Je me penche un peu pour mieux voir.
La garce ! Le mec est un beau blond dans le trentaine, assez baraqué, et elle lui fait le grand jeu. Elle est appuyée sur le dossier, donc penchée en avant. En plus elle a les bras assez serrés, ce qui fait bailler un maximum son chemisier. Le mec n'en perd pas une miette et a les yeux scotchés sur sa poitrine. Je suis sûr que de là où il est, il lui voit les tétons ! Il l'invite à venir s'asseoir à coté de lui "pour voir". Elle y va. Il se tourne vers elle, et je la vois frémir quand le genou du gars touche sa cuisse. Lui aussi se rend compte de quelque chose.
Cette garce est encore toute excitée de notre petit manège de tout à l'heure. Le type tâte (ou plutôt caresse) le tissu du siège, sa main dérape un peu sur la jupe de Liliane. Tiens ! C'est presque aussi doux que le tissu de votre jupe, vous permettez ? Et il retâte de plus belle, mais maintenant avec un geste appuyé et non équivoque. Un aller et retour montant assez haut sur la cuisse droite de Liliane qui ne pipe mot et qui a l'air de retenir sa respiration, puis sans hésitation il plonge la main SOUS la jupe et lui caresse la cuisse à même la peau. Là elle pousse un gémissement. Je suis sûr qu'elle vient d'inonder sa culotte à ce moment précis. Le type sent que c'est gagné, il l'attire vers lui et lui roule une pelle maison. Ils n'ont pas repris leur souffle qu'elle lui ouvre déjà le pantalon, et en extrait un gourdin de très belle allure. Il doit bien faire ses 18-19 cm, est épais en proportion, et peu poilu, ou rasé, je ne vois pas, d'où je suis. Je ne reconnais pas ma Lili. Elle lui saute carrément au paf, et l'engloutit tout entier dans sa bouche. Aaaah que je voudrais être à sa place! Il lui retrousse maintenant le chemisier, lui caresse le dos dénudé, pendant que ses seins nus s'écrasent sur ses cuisses. Puis la main du bonhomme descend, trousse la jupe, et s'introduit sous la culotte, entre les fesses rebondies de Liliane. Elle ondule de la croupe, sans doute pour faire aller la main fouineuse depuis ses fesses jusqu'à sa chatte.
Ca dure un petit moment puis le type se dégage de sa bouche, se lève et fait faire un demi-tour à Liliane. Elle a maintenant les genoux sur le siège, les coudes sur le dossier, et me tourne le dos. C'était couru : il la prend en levrette! Je vois aller et venir le cul du gars. Un beau cul aux fesses bien rondes, qui se creusent à chaque coup de boutoir. Gonflés ou inconscients, ces deux-là. faire ça en plein jour en plein magasin, dans un recoin soit, mais quand même! Moi je suis hypnotisé, fasciné, envoûté par les fesses du gars. Je ne peux plus détacher mon regard de ces deux globes clairs qui vont et viennent. Je m'approche, contourne des meubles. Je les vois maintenant de trois quarts. La queue du gars entre et sort de la chatte toute rouge et luisante.
J'ai l'impression que cette queue a doublé de volume depuis tout à l'heure.
Ils n'ont rien entendu et je suis tout près d'eux, à les toucher. J'entends ahaner le gars, et gémir Liliane. Je ne peux pas retenir ma main. Elle va -comme d'elle-même- vers ce cul si tentateur. Le type est tellement absorbé qu'il ne se rend pas compte de suite qu'il y a un intrus. mais au bout d'un moment quelque chose doit lui dire qu'il ne peut s'agir de la main de Liliane. Il a comme une petite hésitation, perd la cadence, tourne la tête et me découvre. J'ai déjà mon index sur la bouche pour lui faire signe de se taire. N'empêche, la surprise est de taille et il "déjante". Un début de plainte se fait entendre de la part de Liliane, alors je m'empresse. Je saisis la queue, la réoriente dans la bonne direction, et aide à sa réintroduction en prenant un peu mon temps et en esquissant une "allée et venue" manuelle. Le contact de ma main avec cette chair douce et ferme à la fois m'électrise, et une fois la queue remise dans la chatte je scrute le mec pour voir sa réaction. Il pige tout en une fraction de seconde, et me sourit. Mieux : il avance son visage vers moi. Je n'ose comprendre : il me tend sa bouche !
Mon incrédulité ne dure qu'une seconde, puis nos langues se mêlent, nos dents s'entrechoquent, car il s'est remis à pilonner Liliane avec ardeur. Que c'est donc bon ! D'une main je lui caresse les reins, de l'autre je lui empoigne les couilles. Il est rasé ! J'adore ça ! Ma langue redouble de vitesse à cette découverte. Puis je me baisse, derrière lui, à hauteur de sa raie. Chaque fois qu'il revient en arrière la pointe de ma langue lui touche son petit trou fermé, et se dépêche d'en faire le tour. Manifestement il aime ça, parce qu'il accélère la cadence, et je sens qu'il n'est pas loin du but. Je ne veux pas passer à coté de ça. Je me relève, et du doigt je désigne alternativement ma bouche et sa queue. Il comprend et me sourit, me roule une nouvelle pelle, et pendant ce temps quitte la chatte trempée de Liliane, où il remplace son sexe par deux doigts, et après avoir "humecté" son pouce l'introduit juste au desssus, dans les fesses, provoquant un nouveau gémissement.
J'ai ce spectacle à la hauteur de mes yeux, quand j'engloutis à mon tour la queue toute entière et hyper gluante dans ma bouche. Que c'est bon ! Elle bute au fond à chaque poussée, puis je recule, et quand elle a presque quitté ma bouche je resserre les lèvres, rapproche un tout petit peu les dents, et l'aspire. A chaque mouvement il pousse un gémissement qui va croissant. Liliane, elle, commence à émettre un feulement rauque et rythmé. Elle n'a toujours pas remarqué ma présence. Son feulement se transforme en un long cri puis elle s'effondre sur le canapé. C'est là qu'elle nous fait face. Mais le souffle encore haletant par le pied géant qu'elle vient de prendre elle reste immobile, et ne dit rien. Au bout de quelques instants elle descend toutefois du canapé et rampe vers nous. Elle me retire de la bouche la queue du gars, et la met dans la sienne. Elle a l'air d'être complètement dans les vapes, comme soûle ou dans un état second. Assez lucide néanmoins pour empoigner ma queue et commencer à me branler. Moi, à avoir tant sucé l'autre, j'ai une trique d'enfer, et profite bien de ma voisine, mais je ne veux pas en rester là.
Je reprends à mon tour la queue de l'autre en bouche, mais très vite, au bout de quelques mouvements, surexcité par les allées et venues d'une bouche dans l'autre, et en poussant un rugissement, notre partenaire explose. Une succession de jets chauds et puissants percutent mon palais avec une violence insoupçonnée, pendant qu'il râle de plaisir et sursaute à chaque spasme. J'en ai la bouche pleine, ça coule à la commissure de mes lèvres. C'est doux, c'est chaud, c'est suave et onctueux. Puis il s'apaise, sort doucement de ma bouche, se penche vers moi, et avec une douceur infinie m'embrasse, et de sa langue vient reprendre ce qu'il m'a donné.
Liliane n'a rien perdu du spectacle. Elle se caresse doucement la chatte d'une main, et de l'autre me branle, penchée sur ma queue. J'ai explosé sur son visage alors que mon partenaire finissait de m'embrasser...
Une heure plus tard le canapé était vendu, et Jérémie (entretemps on a quand même appris son prénom) nous a promis de revenir, acheter un par un les fauteuils, puis la table basse, puis la lampe, puis...
Vous voulez que je vous dise ? Liliane n'a pas protesté ! Pire ! Elle m'a montré un peu plus tard le miroir qui lui faisait face, et grâce auquel elle avait tout vu depuis le début !
Que ce soit du fantasme ou pas, vous n'êtes pas très tolérant les mecs ! En plus, qui n'a jamais fantasmé sur un hétéro.... en tout cas, moi ils me font bander les hétéros et s'ils viennent sur des sites homos, soyons plus acceuillant en leur démontrant notre esprit de tolérance....