Du jours de notre rencontre, et de notre mésaventure d' avec JP et ses loubards, François et moi ne nous étions plus quitté...
Tout était prétexte pour nous retrouver et passer ensemble un maximum de temps...
Je n'avais jamais connu l' amour... Tout les moments chauds qui m' avaient troublés jusqu'à lors, me semblaient maintenant tellement futiles..
J'aimais François, cette fois j'en étai sur, j'avais trouvé mon ami, celui qui compterai vraiment...
De notre après midi de cauchemar, jamais personne ne fut au courrant, et si François avait nourrit quelques idées vengeresses bien compréhensibles, jamais nous n'avons fromenter le moindre plan pour faire "payer" le moment infernal que nous désirions tant oublier...
De temps à autre, bien sur, lors de nos sorties en ville, nous rencontrions l'un ou l'autre de nos bourreaux. Jamais aucun d'entre eux ne revint vers nous... Peut être après tout, nos lascars avaient-ils réellement une certaine honte de leur moment de mauvais plaisir.
Pourtant, à la fin de cet été là, sans que nous le cherchions, l'occasion allait nous être donné, à notre tour, de profiter quelques peu de ceux nous avaient privé de notre après midi-découverte...
A vous préciser ici : depuis un mois que nous nous connaissions, François et moi avions partagé bien des moments d'intimité, nos langues se connaissaient comme deux seurs, nos corps n'avaient plus de secrets pour l'autre, mais nous attendions l'instant de nous donner l'un a l'autre...
Cet instant qui gommerai à jamais l'idée de la main de JP sur le sexe de François... et les mains d'Olivier me mettant nu aux yeux de tous...
Cet instant là, nous l'ésperions un soir ou les parents de François étaient absent et ou ayant emmener avec eux le petit frère de mon ami, la villa n'était qu'à nous, pour notre première nuit ensemble...
Ce soir là, alors que fidel à notre habitude nous avions longuement marché François et moi, nous avions eu la surprise de croiser Jacques, le blouson déchiré, le jeans maculé de sable mouillé mais surtout le visage montrant des signes évident de coups...
Nous n' avions jamais cherché le moindre contact avec ce mec ; mais ce soir, son état nous obligeait à nous arrêter.
Il était temps qu'il croise quelqu'un de connaissance, car à peine ses yeux eurent ils croisé les nôtres, qu'il chancela, s'effondrant presque sur le trottoir...
Dans un geste reflexe, François et moi nous precipitions, et l'aidions à se tenir debout... Je lui pris le visage dans les mains, et verifiait ses blessures. Des coups bien placés certes, mais rien de bien méchant, il en serait quitte pour quelques marques durant la semaine à venir...
"- Qu'est ce qui t'es encore arrivé ?" lui demanda François.
Au lieu de répondre, Jacques tenta de se redresser mais un masque de douleur marqua son visage, tandis qu'une de ses mains se porta par réflexe dans son dos.
"- Tu étais seul ?, Explique toi..."
Là, Jacques lève vers nous un visage crispé, et nous montre d'un mouvement de tête une impasse à deux pas de là...
"- JP, il a pris sa raclée..."
François et moi echangeons un regard et, tandis que je reste prés de Jacques, mon ami s' avance dans la direction indiquée...
Au sursaut de mon compagnon, je comprends que ce qu'il découvre ne doit pas être beau à voir... Il s'enfonce de quelques mètres dans l'impasse, pour en ressortir quelques secondes plus tard, tirant deriere lui, ce qu'il est convenu d'appeler un paquet, tant la chose est en triste état...
Quand "le paquet" est enfin visible, il faut que je me rende compte que JP est là, devant nous, plus que nu, tous ses vêtements ont été lacérés au couteau... son jean est en lambeau, son tee-shirt ne tient qu'à la bordure doublé de son col, même son caleçon ne cache pratiquement rien de pourquoi il est censé être...
Mais plus que Jacques l'instant d'avant, JP ne semble pas réagir à notre présence...
La première réaction de François l'instant de surprise passé est de vouloir appelé les secours ; Là, quand même, JP se redresse et lui demande de n'en rien faire...
Au bout de quelques secondes, en effet, le cador déchu semble aller un peu mieu... Pourtant il n'est pas possible de les laisser seul là au milieu de la chaussée, heureusement déserte en cette heure avancée...
"- On les embarque..."
Je reste interdit devant les derniers mots de François, celui ci me regarde, et continue...
"- On les embarque à la maison..."
Je ne sais pas ce que François a comme idée, mais sa determination est si forte qu'il est inutile d'essayer de le comprendre... Jacques et JP se regardent quelques secondes, puis baissent les yeux conscient que leur position du moment n'est pas la meilleure.
L'aidant a se relever, François a pris JP sous les aisselles et l'aide à avancer vers la maison heureusement toute proche... De mon côté, j'aide Jacques, nettement moins marqué par les coups, mais qui boitillent quand même quelque peu...
Durant les quelques mètres qui nous séparent de la villa de mon compagnon, je l'observe longuement, et les regards qu'il me lance me montre que ce n'est certainement pas par sympathie qu'il joue au secouristes des deux loubards.
Arrivé à destination, François fait entrer tout le monde par le garage en sous sol, et une fois la porte fermée, allume la lumière...
Je ne peux retenir un cri de stuppeur... JP n'est qu'un chiffon sale, ses vêtements n'existe plus, il est recouvert de sable de la tete au pied et le peu de peau effectivement visible, a l'air complètement en sang...
Jacque lui s'il est plus presentable, n'en est pas moins triste à voir... Ils se sont tous deux affalés sur deux sièges de sky trop heureux malgré tout que quelqu'un daigne s' occuper de leur sort...
Je regarde François, me demandant encore ses intentions, et si nous n' aurions pas mieux fait d'appeler les secours, comme nous l' avions d'abord envisagé.
Comme s'il comprenait mon inquietude, mon compagnon s' approcha de moi, et m' entourrant le coup de son bras me dit :
"- Elle est pas claire leur histoire, je veux savoir ce qu'il s'est passé..."
Puis s' adressant aux deux autres toujours sur leur siège, ordonna :
"- A poil, vous allez prendre une douche là haut, mais vu votre état, vous allez d'abord vous décrasser ici..."
Le ton est ferme, clair et décidé... les deux autres comprennent très vite que cette fois les rôles sont inversés, même si François et moi n'avons aucune intention agressive à leur encontre...
François prépare un tuyau d'arrosage enroulé dans un coin du garage, tandis que timidement presque, Jacques commence à se défaire des restes de son t-shirt... JP quand à lui a bien du mal a se débrouiller, et quand il a fait l'effort de se mettre torse nu, il semble exténué...
"- Allez, on va pas y passer la nuit, Jacques, s'il y arrive pas, tu le fou a poil ton pote, ensuite vous vous réchaufferez sous la douche..."
Effectivement, nous sommes en plein été, mais la nuit n'a rien de bien chaude quand même, et l'idée de la douche froide au jet qui les attend n'est pas la meilleure manière d'accelerer les gestes des deux compères.
Quand il est en calecon, jacques se décide à aider son compagnon d'infortune... Ses gestes sont hesitant, peut etre un peu trop protecteur... Pas vraiment à l'aise, JP se laisse quand même déshabiller du reste de ses vêtement, tout en nous lançant un regard qui n'a plus rien du loubard qu'il était il y a un mois...
Quand ils sont nus et debout tous les deux, François s' avance armé du tuyau d' arrosage et commence à faire couler l'eau froide sur les corps meurtris...
JP le regarde droit dans les yeux, tandis que François lève le tuyau au dessus de ses cheveux... JP qui avaient les mains en coquille autour de son sexe, est bien obligé de quitter cette pseudo protection pour débarrasser de sa tignasse le sable qui y est collé.
Sans le moindre mot échangé, le tuyau d' arrosage passe de JP à Jacques; lui n'a même pas pris la peine de cacher ses parties qui se soir n'ont réellement rien d' affriolentes... Et quand l'eau cesse de couler, je leur lance a chacun une sortie de bain afin de se sécher quelque peu pour traverser la maison....
Quittant le garage, les deux sbires complètement nu, la sortie de bain sur les épaules, suivent François dans l'escalier afin de retrouver la salle de bain de la maison.
Là, JP emprunte la douche privée de François, tandis que nous escortons Jacques dans la sale de bain familiale...
Quand ils sont tous les deux sous l'eau chaude, François prépare quelques serviettes, et de quoi penser quelque peu les blessures de JP.
Jacques et le premier à nous rejoindre, nettement plus présentable, il semble avoir retrouvé la quasi totalité de son potentiel... Quand il entre dans le salon ou nous l'attendons, il ne prononce pas un mot et s'assied dans un fauteuil face au canapé dans lequel François et moi avions pris place...
"- Bon alors maintenant tu m' expliques..."
Le mème ton ferme, décidé, et sans appel.
François à les yeux plantés dans ceux de Jacques, et très vite, celui ci tente d' échapper à ce regard...
"- Qu'est ce qu'il s'est passé Jacques, c'est pas toi qui l'a démonté comme ça, alors dis moi..."
Jacques nous regarde François et moi, et baissant la tête, il nous avoue que JP avait remarqué deux mecs dans une voiture....
" - Il a voulu recommencer comme il y a un mois... mais ça c'est pas passé pareil..."
" - Comment ça ?"
J'avais peur de comprendre, ma question était idiote, et c'est François qui me posa une main sur un genoux :
" - Tout le monde ne s'appelle pas François et David. Ils sont tombé sur plus fort qu'eux..."
Un lourd silence s'est abattu sur la pièce, Jacques a baissé les yeux, tandis qu'au fond de moi je ressentais une boule de rage, incapable de réagir...
J'avais en face de moi, un casseur de pd, c'etait alors ce que je comprenais...
Je venais de tendre la main à celui qui avait violé ma plus belle journée il y a un mois...
Je ressentais comme un goût de cendre dans la bouche... Quelque chose de sale, d'incompréhensible...
Il y a des gestes que l'on ne s'explique pas, ou que l'on analyse bien après les avoir fait... Ce soir là, je me suis levé, et courant presque, je me suis précipité dans la chambre de François... JP etait toujours dans la douche, mais l'eau ne coulait plus, il était comme hagard, le drap de bain noué autour de la taille... Sans lui laisser le temps de reflechir, je le poussais devant moi, et le ramenais dans le salon... Je lui fis face, à lui qui m'avait fait si peur et si mal...
De rage je retirai la serviette qui lui ceignait la taille et lui demandai des explications sur sa soirée...
Pour toute réponse, il se protégea le visage à deux mains, se méprisant sur mon accés de colère...
Puis son regard se porta sur Jacques qui, comme dépassé par la tournure des évènements, n' éssayait même pas de cacher deux larmes qui coulèrent le long de ses joues...
François ne disait pas un mot, se contentant de fixer JP pitoyable, le corps marqué de bleu et de rouge, nu au milieu de la pièce.
C'est alors qu'un nouveau coup de tonnerre intervint...
Jacques se leva, repris la seviette que j'avais jeté à terre, et en rhabilla JP...
" - Pourquoi JP ? Tu m' avais dit que tu voulais voir, seulement voir...."
François et moi encore une fois sursautions en entendant ces mots.
L'instant d'une seconde, les images de ce que nous avait fait vivre le quatuor me revinrent en mémoire, et comme une alarme les mots de JP me traversèrent l'esprit... "voire ! je veux le voire ! je veux qu'il s'occupe de son pote devant nous !"
Mais plus encore, Jacques maintenant en larme, s'approcha de JP ses bras ettreignirent doucement le corp blessé, le collant doucement au sien...
"- Dis leur JP, lâche toi, c'est pas parce que tu vas admettre ce que tu es que demain tu auras un panneau collé dans ton dos...
Alors là, si je vous dis scotché, je suis loin du compte... JP a relevé la tête, a essayé de nous regarder François et moi, puis son regard s'est détourné ses deux bras à leur tour ont ettreind le corp de Jacques, puis sa tête s'est enfouie dans l'épaule de son compagnon, pleurant a chaude larmes....
Doucement, je sentis la main de François me serrer l'épaule, je reculais d'un pas, contemplant sans comprendre encore, le tableau de ces deux garçons quasi nu, pleurant dans les bras l'un de l'autre...
" - JP, c'est pas le moment de chialer, explique toi...."
le visage ravagé par les coups et les larmes se releva...
" - Pardon les mecs, je sais pas ce qu'il s'est passé, j'etais depassé, je sais pas comment dire que j' aime les mecs moi aussi... "
Il ne peut en dire plus, les larmes ont repris le dessus tandis que Jacques doucement, l'installe dans un fauteuil...
Abasourdi par ce qui vient de nous être révélé, François et moi nous sommes assis dans le canapé. Malgré ce que nous connaissions des deux qui nous faisaient face, le changement soudain de situation ; la tendresse évidente de Jacques pour son compagnon avait quelque chose de tellement vrai, que nous nous sentions obligé de la respecter...
Il s'était assis sur le bras du fauteuil ou reposait JP, et sans retenue, la tête de celui-ci s' était calée dans son flanc... Parcouru de frisson, je me rapprochai de François. Celui-ci me passa un bras autour des épaules, et m'embrassa sur une joue... Devant nous, JP ne se retenait plus, et pleurait tout son soul...
Quand au bout de quelques minutes la tention se fut un peu calmée, quand les larmes de son compagnon eurent quelque peu cessées, Jacques se saisit des cotons serviettes et crème préparé par François, et se mit à soigner le corp meurtri de son ami...
Pour se faire, nous leur laissions le canapé ou, sans fausse pudeur, JP s' allongea nu aux yeux de tous...
Pour la premère fois, je m'autaurisait a détailler ce corp...
Bien dessiné, la douche lui avait fait un bien évident... le torse et le visage avait le plus souffert, quelques contusions aussi sur le haut des jambes... Il etait certain que pour les jours avenir, JP aurait matière à méditer sur les choses de la vie...
Jacques avait enduit le torse de son ami d'un décontractant, et sa main glissait sur les pecs et les abdos, massant les marques rouges et qui déjà s'assombrissaient...
François comme moi, contemplions en silence ce tableau de tendresse...
Nous étions interdit, ne sachant quelle attitude adopter...
Leur ayant laissé le canapé, nous avions trouvé refuge dans le fauteuil qu'ils occupaient l'instant d'avant. Sans manière, François m' avait offert l'un de ses genoux, et sans penser à la provocation possible, je m' y étais installé...
François passa ses deux bras autour de mon coup, se serra à moi en posant son menton sur mon épaule...
"- Quels cons quand même... En plus ils seraient presque craquant tous les deux..."
JP l'a entendu, et de son visage tuméfié il hésite à nous adresser un sourire...
"- Oui, insite François, deux cons... Tu crois pas que tu aurai mieu fait de te faire masser par ton mec, plutôt qu'en mater un autre ce soir ???"
Jacques pouffe d'un sourire quand François l'appelle Le mec... Tandis que la discussion continue, lui ne se prive pas de caresser le torse de JP. Le massage est devenu plus câlin, et Jacques s'est maintenant assis prés de son pote... JP a posé l'un de ses bras sur ses genoux et leur regards semblent maintenant soudés...
De notre côté, François m'a doucement obligé a tourner la tête, et nos langues jouent entre elles ce balais qu'elle connaissent déjà si bien... nos bouches se soudent de longues minutes nos yeux se ferment, et un baiser profond s' en suit...
Quand nous ré ouvrons les yeux, JP et Jacques sont front contre front... Ils semblent nous avoir oublier, et leur lèvres en de petits baisers rapide semblent jouer a celui qui le premier cédera... Contre toute attente, c'est JP qui le premier a desserré les mâchoires ; immédiatement la langue de Jacques est allée chercher ce qu'elle attendait sûrement depuis longtemps... JP n'a aucune hésitation, et répond à son compagnon de la plus belle manière qui soit...
Le spectacle qui nous est offert ne laisse pas mon compagnon indifférent, l'une de ses mains s'est glissée sous mon tee-shirt, tandis que toujours assis sur ses genoux, je n'ai pas été sans remarquer un changement dans son anatomie qui me laisse à penser que la soirée risque d'être encore bien longue...
Face à nous, les choses évoluent elles aussi... sous les assaux de la langue de Jacques, combinées à ses caresses, le corp de JP lui aussi a commencé a reprendre vie.. Mais l'impudeur a ses limites, et Jacques a recouvert le corps de son ami de sa sortie de bain...
C'est le moment que choisi François pour envoyer tout le monde au lit...
JP et Jacques sont conduit à la chambre d' ami que la maman de François m' avait gentiment préparée, et que j' étais censé occuper cette nuit. Tandis que de notre côté nous retrouvons la chambre de mon compagnon...
A peine la porte fermée, François me fait face, et retire son tee-shirt, comprenant ou il a décidé de m' emmener, je fais de même, et il ne nous faut pas deux minutes pour être tous les deux en tenu d' adam...
Sans attendre d' invitation, je me laisse glisser sur le grand lit... Immédiatement suivi par celui qu'il est convenu d'appeler maintenant, mon amant...
Nos corps se soudent, nos lèvres se joignent et se dévorent, nos jambes s' emmêlent, tandis que nos verges dressées réclament bien plus que ce que nous leur avons donné jusque là....
A force de caresse, la main de François a fini par se poser sur mon membre... Même si nous nous étions caressé mutuellement depuis prés d'un mois, je ne pus retenir un tressaillement ; sa main était sur ma verge, ses lèvres sur mon corp, et j' étais abandonné...
Quand son corp s'est glissé tête bêche contre le mien, j'ai compris combien lui aussi attendait ce moment... Son membre tendu a l' extrême était impressionnant de beauté...
Quand je le pris en main, je savais déjà que ma bouche aimerai ce morceau de chair tendu d'amour...
L' habillant de latex, je sentais son muscle battre au creux de ma main, impatient de la caresse qu'il attendait... Et à en croire la pose qu'il fit dans ses caresses pour nous regarder quand je l' avalais, les yeux dans les yeux je l'ai mené une première fois a l' explosion de sa sève.
Quand il voulut me rendre ma caresse, je lui souriais, et sans un mot, je me glissais sur le ventre, espérant ainsi qu'il comprenne mon attente...
Il n' eut pas besoin d' autres explications... Son corp vint s' allonger sur le mien, et instantanément, le contact de sa barre chaude collée a l'entrée de mes reins m'electrisa...
Sans que je puisse me contrôler, mes jambes se sont ouvertes,
Sans concertation, mon bassin s'est levé quand il a voulu m'aider d'un oreiller...
Sans un mot, le coeur battant, la tête calée dans le traversin j'ai senti sa langue là ou aucune autre n' était jamais venue...
J'ai senti sa chair qui me paraissait d'abord bien trop énorme, puis millimètre par millimètre, je le sentais venir en moi, attentif à la moindre de mes douleurs, sachant attendre quand il se sentait trop pressé... enfin, il fut en moi... Mon amant était en moi, il était à moi...
Longuement il resta figé sans bouger, attentif a mon plaisir, puis il se retira doucement pour mieux revenir... Il se retint longuement avant de se laisser aller ;
Quand il se retira, je l' attirais à moi, lui ôtait moi même le préservatif qu'il avait enfilé, et reprenait sa bouche pour un long et puissant baiser....
Pas un seul mot ne fut échanger cette nuit là, nous n'en avions pas besoin...
L' amour le vrai était au rendez vous...
Geste d'amour aussi quand nus tous les deux, mains dans la main, nous avons été vérifié le sommeil de nos deux protégés... Ils dormaient tous deux à poings fermés, JP la tête posé sur le torse de Jacques, ce dernier un bras protecteur entourant les épaules de son compagnon...
Merci !
Ton récit est magnifique ! Il reflette la Vie dans sa tendresse, sa cruauté, sa générosité et sa méchanceté : c'est l' Amour vécu avec toutes ses facettes et le Bonheur qui enfin gagne et se propage ....
Continue Domfun tu es un grand écrivain plein de coeur !
Je ne trouve pas les mots pour te dire combien ton récit est magnifique, eppoustouflant,... tout!! J'ai lu pas mal d'histoires sur le site (et meme sur d'autres sites) mais celle là est de loin, bien loin la meilleure que j'ai jamais lu. J'ai 19ans, peut etre je ne suis pas "literrairement" mature mais je pense que celui qui a écrit ce chef-d'oeuvre (et il mérite ce titre) a sa place parmi les grands écrivains (et meme scénaristes pourquoi pas)
Bravo à toi beau conteur, dans le rêve de retrouver ton livre en librairie ou ton film au ciné et surtout j'espère que tu ne t'arrêteras pas juste au stade de l'ecriture dans une rubrique d'un site.
Encore félicitations pour ton histoire et à bientôt j'espère.