Je suis là, dans la cour de la concession, à attendre.
Je suis venu récupérer mon 4x4 après quelques travaux de carrosserie consécutifs à un accrochage, et le chef d'atelier (d'après son badge il s'appelle Yves) tenait absolument à m'expliquer tout ce qui avait été fait sur ma voiture.
Par correction je l'attends. Je me fiche éperdument de la façon dont ma voiture a été retapée, du moment que c'est bien fait, mais ce garçon, en plus d'être très beau est aussi très sympa, alors je ne vais pas le froisser pour si peu.
En y repensant c'est vrai qu'il est sympa. Je me suis chaque fois étonné de sa gentillesse et de sa disponibilité à mon égard, alors que je n'en suis qu'à ma première voiture dans cette marque.
Je le vois enfin arriver, un grand sourire aux lèvres.
-Excusez-moi d'avoir été un peu long, me dit-il, mais une petite jeune dame n'en finissait plus de me poser des questions.
-Mais je comprends très bien, si c'est la femme que j'ai entrevu tout-à-l'heure il est tout à fait logique que vous ayez pris votre temps, elle est "canon".
-Oh moi les f... commence-t-il, avant de se taire soudainement et de piquer un fard digne d'un gamin de quinze ans.
Il s'en suit un moment de gêne, un instant de silence lourd.
Voilà donc les raisons de l'amabilité de ce garçon !
Pour détendre l'atmosphère je prends les devants, et commence à tâter ostensiblement la carrosserie dans les zônes où elle a été réparée.
-C'est du bon boulot, lui dis-je. On ne voit rien du tout.
On passe tous les deux une main sur cette peinture toute neuve, et à un moment nos mains se touchent. Je ne bouge pas et guette une réaction, elle ne vient pas, alors je détourne mon regard de la carrosserie pour le regarder lui. Il est complètement cramoisi, mais me fixe droit dans les yeux.
Je comprends en une fraction de seconde que ce garçon a envie de moi autant que j'ai envie de lui.
Il est très mince, blond, les cheveux très courts. Il a un visage à la fois sensuel et viril, des traits à la fois masculins et fragiles. Sans en venir aux clichés éculés et évoquer des statues d'éphèbes grecs ou romains, c'est quand même assez à cela qu'il fait penser.
Nos mains se touchent toujours, et je perçois maintenant une accélération dans sa respiration.
Qu'est-ce qu'il peut bien me trouver? Moi je suis nettement plus âgé que lui, plutôt enrobé, avec une barbe (courte) poivre et sel, et on me prête souvent un air "sévère". Mais je ne vais pas bouder ma chance, et je phosphore à tout va pour trouver quelque chose.
-Au fait, Yves -vous permettez que je vous appelle Yves?- j'avais oublié, en vous amenant la voiture, de vous parler d'un petit bruit agaçant, vous auriez cinq minutes?
-Bien sûr, me répond-t-il avec un large sourire, nous essayons toujours les voitures avant de les rendre à nos clients, si vous voulez on peut le faire ensemble...
Je n'en espérais pas tant. Je lui tends les clés et vais m'asseoir coté passager.
Quelques centaines de mètres plus loin nous sommes sur la départementale. Evidemment on n'entend pas le moindre bruit anormal. Il va falloir que je trouve vite quelque chose. Prenez donc un chemin forestier, lui dis-je, c'est en général sur les routes cahoteuses que cela se produit.
Encore quelques centaines de mètres, quelques ornières et quelques virages plus loin toujours rien. Je prends mon air le plus affligé et pose une main sur son épaule:
-Désolé Yves, ça ne veut pas faire ce satané bruit.
Pendant que je lui parle il ralentit, puis arrête la voiture, se tourne vers moi, et d'un geste très naturel met une main sur la mienne qui est toujours sur son épaule.
-Ce n' est pas grave, ça nous aura permis de faire un peu mieux connaissance me dit-il d'un air angélique.
La voiture est maintenant arrêtée à plusieurs centaines de mètres de la route, sur un chemin presque recouvert d'herbe, signe d'une fréquentation très épisodique, et donc gage d'une certaine tranquillité.
Imperceptiblement, tout en parlant, sa main s'est mise à caresser la mienne. Ca s'est fait tout naturellement, et sans que je sache pourquoi, ce geste tendre a fait tomber tout ce qui pouvait subsister de barrières entre nous. Comme si nous étions de vieux amants, sans concertation, nos visages se sont rapprochés, nos bouches se sont rapprochées, nos lèvres se sont jointes puis nos langues se sont mêlées en un baiser d'abord doux et langoureux, puis de plus en plus enflammé.
Quand ma main est allée s'égarer sur sa cuisse je l'ai senti frémir, et il est venu très vite s'occuper de la ceinture de mon pantalon.
Je me suis un peu levé du siège pour qu'il puisse le faire glisser sur mes jambes, avant d'en faire autant de son coté.
Il a une très belle queue, pas énorme, juste dans les moyennes, mais vraiment très belle, avec un gland bien lisse et proéminent, d'une belle couleur pêche-abricot. Je le caresse voluptueusement avec la ferme intention de le prendre en bouche, mais il me devance, se penche par dessus la console centrale, et engloutit d'un coup ma queue en poussant un grand soupir de contentement.
Sa bouche chaude, sa langue douce, ses savantes succions me mettent dans un état indescriptible et je suis très vite au bord de l'explosion.
Il sent mes contractions, se retire, puis de deux ou trois caresses manuelles me fait jouir. Dès que le jaillissement se produit il cesse son mouvement pour venir plaquer sa joue contre mon sexe. Par la douceur de ce contact il provoque mes ultimes giclées, qui vont contre sa peau. Son visage, ma queue, mon ventre sont pleins de sperme chaud et gluant qu'il continue d'étaler par ses va et vient, jusqu'à ce que je demande grâce. Il se redresse, non sans avoir déposé un baiser sur le bout de ma queue.
Je le remercie en l'embrassant goulûment , et en récupérant au passage quelques gouttes de mon sperme, ce que j'adore.
L'heure avance et il faut qu'il retourne au garage, mais pour son plaisir et pour le mien je ne veux pas le laisser repartir dans cet état.
Je me penche à mon tour sur lui, et l'absorbe petit à petit, jusqu'à l'avoir tout entier dans la bouche, puis je recule, en pinçant, en mordillant, en léchant, et je recommence et recommence encore. A chaque passage mes lèvres se régalent au contact de la peau incroyablement douce de son sexe, dépourvu de toute pilosité, comme je les aime. De la main gauche je remonte le long du torse, jusqu'à sa poitrine dont je caresse les tétons, et de la main droite je lui caresse les couilles, tout aussi lisses que la queue. Ah que je voudrais être sur un lit, pouvoir le retourner, lui caresser le dos en l'effleurant de mes lèvres, puis descendre, de plus en plus bas, pour enfin lui lécher les fesses, m'insinuer dans son sillon, introduire ma langue dans son petit trou... Rien que d'y penser je sens ma queue reprendre du volume.
De temps en temps ma main remplace ma bouche, pendant que mon visage remonte vers le sien, en frôlant de mes lèvres son ventre, puis sa poitrine, pour aller l'embrasser. J'adore passer de la queue à la bouche de mes partenaires, c'est une chose qui m'excite énormément, et apparemment cela lui fait le même effet si j'en juge à sa respiration qui devient de plus en plus haletante. Maintenant que j'ai joui, que je suis -au moins pour un moment- libéré de toute "tension", je peux profiter pleinement et en toute lucidité des charmes de ce garçon. A priori il apprécie, et ne se prive pas de commenter ce qu'il ressent, voire de temps en temps "d'orienter" mon intervention par des "plus vite" ou "plus fort", et je m'exécute jusqu'à tant que lui aussi trouve enfin l'apaisement.
Sur le trajet du retour je lui dis combien j'ai envie de me faire baiser par lui.
Nous prenons rendez-vous pour le même soir, chez lui.
------
C'est dans un bel immeuble que loge mon petit garagiste. Situé dans un quartier "bourge", dans une rue en impasse donnant sur un square, il est plutôt cossu, avec du marbre et des plantes vertes à profusion dans le hall d'entrée. Yves habite au 3e étage, et m'attend derrière sa porte entrebaillée. Il porte un peignoir blanc, largement ouvert sur sa poitrine. Sa tenue, et ses cheveux encore humides m'indiquent qu'il sort de la douche. Il m'accueille d'une bise sur la bouche, qu'il achève par un coup de langue prometteur sur mes lèvres, puis m'invite à entrer. Une fois dans son couloir j'entends des voix, provenant de ce que je devine être le salon.
-Tu as de la visite ? lui demandé-je
-Non, non, c'est la télé, m'a-t-il répondu.
Arrivé dans le salon je découvre un superbe écran plasma sur lequel passe une vidéo gay. Un type à quatre pattes sur un canapé est en train de se faire enculer (je préfère le terme "enculer" à celui de "sodomiser" se faire enculer implique pour moi une acceptation pleine et entière (allez savoir pourquoi) alors que le terme "sodomiser" je l'interprète comme une contrainte). Donc il se fait "enculer" par un autre à genoux derrière lui, pendant qu'il suce la queue énorme d'un troisième gars couché sur ce même canapé. J'arrive manifestement pile pour une séquence "hot" du film, et reste un instant accaparé par l'image.
-Tu aimes les films X ? me demande-t-il,
-J'adore, et surtout ce que je vois là, ai-je répondu,
J'aime plus que tout les "séances" à plusieurs, et je le lui dis clairement.
On s'installe sur le canapé, face à la télé. Il me propose un verre, que j'accepte, puis vient s'asseoir à coté de moi. Ce faisant un pan de son peignoir glisse, découvre une cuisse sur laquelle je pose une main très vite baladeuse.
-Il faut que tu patientes un peu, Malek va venir d'une minute à l'autre;
-Malek?
-Oui, c'est le gars qui m'a prêté le film que tu regardes, il m'a appelé tout à l'heure pour me dire qu'il passait -juste en coup de vent- le récupérer.
Bon. Patienter devant une chouette vidéo ce n'est pas désagréable, d'autant que sans entrer vraiment "dans le vif du sujet" on se fait quand même quelques câlins et papouilles.
.....
Le coup de sonnette vient à point. L'ambiance était de plus en plus chaude et il devenait très difficile de se contenir.
Yves revient dans le salon avec Malek et fait les présentations. C'est un superbe beur, dans les 25-30 ans, grand, bien bâti, cheveux presque ras, une peau très lisse, un sourire rendu éclatant par la blancheur de ses dents contrastant avec le foncé de la peau. J'en ferais bien mon premier (beur).
-Vous regardiez mon DVD ? demande-t-il malgré l'évidence de la chose, avant de rajouter :
-Peut-être même que vous ne faisiez pas que regarder, et sans manières il attrape le peignoir d'Yves et l'écarte.
-C'est bien ce que je pensais, tu as une trique d'enfer.
Yves, loin d'être gêné, sourit. Il doit y avoir entre eux des rapports ou une complicité que je commence à deviner. Malek ne s'arrête pas là. Sans doute motivé par la belle érection que lui dévoile le peignoir entrouvert d'Yves ainsi que par la partouze en train de se dérouler à l'écran, il entreprend de saisir à pleine main la queue émergente et de lui prodiguer un lent mouvement masturbatoire, et lui roule une pelle.
Je ne vois plus le film, mon regard est scotché sur cette main brune caressant ce pieu de chair claire.
Yves le remarque et s'en amuse.
-Il n'est pas mal mon pote, hein ? me demande-t-il, narquois.
-Je commence effectivement à le trouver sympa, dis-je en me levant. Et je me glisse derrière Malek, lui caresse les hanches, puis avance mes mains, monte vers ses pecs que je caresse aussi, et sens ses tétons durcir rapidement en roulant sous mes doigts. Lui, qui n'a qu'une main d'occupée à caresser la queue d'Yves, insère son autre main entre nous, et vient s'introduire dans ma braguette. Le contact de sa peau sur la peau soigneusement rasée de mon pubis m'électrise. Il extrait ma queue de mon pantalon, et commence à doucement me branler moi aussi.
Pour Yves comme pour moi les lents va-et-vient prodigués par Malek sont plus des gestes sensuels que de vraies masturbations. Mais cette lenteur est très excitante, et très frustrante aussi, parce qu'on sent bien qu'à cette allure on ne va pas y arriver. Je n'en peux plus de ce régime. Je défais la ceinture de Malek, lui tire avec une certaine violence son pantalon sur les chevilles, pour découvrir un string ficelle, dont la partie avant est si petite que son gland et la moitié de sa queue en émergent. Je crois que je n'ai jamais connu de moment d'une telle intensité érotique. Je le fais légèrement pivoter et me laisse tomber sur mes genoux devant lui. Je tire légèrement sur une des ficelles pour dégager son sexe de la poche en résille, si petite qu'elle est plus faite pour montrer que pour contenir, et vois enfin apparaître "ma" première bite de beur. Circoncise, bien sûr, donc avec un gland bien dégagé, bien foncé. 18 cm environ, et sûrement plus de 5 cm de diamètre, le tout surmontant un beau paquet. Le pubis est garni de poils noirs, drus et crépus, très courts, rasés à partir de la naissance de la verge. Tout ça se tient fièrement, au point que je dois même légèrement me relever pour le prendre en bouche !
Un coup d'oeil vers le haut, et je les vois en train de se rouler une nouvelle méga-pelle. Ca décuple mes envies et je suce comme un fou. Puis, sentant qu'il y prend de plus en plus de plaisir, je serre les lèvres au maximum et ne bouge plus. Là c'est lui qui s'agite, et de plus en plus vite. Il doit avoir l'impression de me violer la bouche et ça à l'air de lui faire un effet féroce !
Il est temps de calmer un peu le jeu, et j'ai envie de goûter à autre chose. Je me relève, attrape Malek par le cou, et l'embrasse fiévreusement, avant de passer de sa bouche à celle d'Yves. Malek, apparemment décidé à me rendre la pareille, se met à son tour à genoux devant moi, et je sens sa bouche me happer. Il est très doué. C'est une vraie pompe et je le lui dis. Yves que je caresse un peu distraitement me demande ce que j'en pense.
-Pour juger sérieusement il faudrait pouvoir comparer.
Le message passe. Yves s'agenouille à coté de Malek qui lui passe ma queue, puis la reprend, puis la repasse. Difficile de les départager. Yves suce avec plus de douceur et de sensualité, alors que Malek fait preuve de plus de "conviction". Quand mes gémissements atteignent un tempo révélateur ils me prennent en main, et me font jouir en s'aspergeant le visage et le buste de mes abondantes giclées.
Ma jouissance a été d'une intensité rare, et pour les en remercier je leur roule à tour de rôle une pelle comme je les aime, en récupérant à petits coups de langue gourmands un peu de mon foutre autour de leur bouche.
Je suis un peu haletant, les pieds sur du coton, tellement j'ai joui intensément, alors je me rassieds sur le canapé. Les deux autres, toujours debout, se caressent et se bécotent. Malek me tourne le dos. Je le tire un peu vers moi, attiré par les deux globes bruns qu'il me présente. Il est très beau de dos. Sous le creux de sa colonne vertébrale s'amorce sa raie, séparant deux fesses magnifiquement pommées, et surmontant des cuisses agréablement fuselées. Le tout dans une belle couleur de pain doré. Je ne résiste pas à mes envies, et ma langue va s'insinuer entre ces belles chairs, déclenchant un grognement approbateur. Puis Malek se penche sur la queue d'Yves, me présentant par la même occasion un cul plus ouvert, plus réceptif, me permettant aussi d'atteindre son petit trou tout bordé de rose. D'une main passée entre ses cuisses je lui caresse les couilles, de l'autre je le branle doucement.
Je n'y tiens plus :
-Malek, j'ai envie que tu me baises !
Il se retourne, me regarde un court instant avec des yeux fiévreux, me fait mettre à quatre pattes sur le canapé et se glisse derrière moi. Aussitôt je sens sa langue venir à son tour me lécher, depuis les couilles jusqu'en haut de la raie, avec un ralentissement et une pression marquée à l'endroit stratégique.
Yves, qui ne veut pas être oublié, me tend sa queue à sucer. Je suis juste à la bonne hauteur et le déguste avec une avidité accrue par l'effet provoqué par les coups de langue de Malek.
Puis la langue s'éloigne. J'entends le bruit caractéristique de l'emballage de préservatif qu'on déchire. Je devine que "CA" va arriver, et en effet je sens une forme que je juge énorme s'introduire entre mes fesses, les écarter par sa seule poussée, venir en butée devant mon petit trou, qui, bien préparé, s'ouvre en grand à mon vif étonnement, et accueille cette grosse bite dont je sens la chaleur et le volume m'envahir profondément. Je ne sais pas si c'est le fait que j'ai joui déjà 2 fois aujourd'hui qui me fait çà, mais comme je suis maintenant relativement "relax", je ressens cette pénétration de façon moins sexuelle et plus "cérébrale" que d'habitude. Je suis plus à même d'analyser chaque mouvement, chaque sensation, alors qu'ordinairement j'ai l'esprit troublé et omnubilé par un vrai délire érotique. Là, je peux quasiment "voir" cette grosse queue se présenter devant mes fesses, avancer en les écartant sans aucune aide, venir buter contre mon trou, bien mouillé de salive mais encore fermé, puis ce pilon, d'une poussée douce mais ferme, forcer le passage, agrandir cette rondelle, pénétrer dans cet orifice si sensible, et s'y enfoncer lentement jusqu'en butée.
Alors que d'habitude je ressens systématiquement une douleur quand une queue de ce gabarit vient tout au fond, aujourd'hui c'est un pur bonheur. Un plaisir absolu, sans doute dû à "l'ambiance" très chaude, et aux préliminaires intenses. Je profite comme jamais auparavant des mes deux partenaires. Au bout d'un moment Malek se retire en douceur et annonce à Yves que ça va être son tour. Le temps de changer de préso pour lui, et pour moi de céder ma place, et je suis aux premières loges pour le spectacle.
Je ne pense même plus au film qui défile toujours, vu que c'est du "X" live qui se déroule maintenant devant moi. Je pose une main sur chaque fesse d'Yves, les écarte et vois ainsi le pilon de Malek entrer et sortir du cul. Malek est moite, la sueur perle sur son front et coule entre ses pecs. Je m'arrache à ma contemplation et lui roule une nouvelle pelle, tout en lui caressant son cul à lui, que je n'avais jusqu'ici exploré qu'avec ma langue. J'y introduis un doigt, puis deux. Ca rentre facile, il doit aimer "prendre", lui aussi. L'action combinée de la sodo qu'il administre à Yves et de mes doigts fureteurs provoque une accélération des va-et vient, ainsi qu'une augmentation de leur amplitude, le tout s'accompagnant de grognements et de gémissements de plus en plus rapprochés, jusqu'au déchainement final accompagné d'une plainte ininterrompue.
Quelques minutes plus tard nous nous retrouvons tous les trois sur le canapé, Malek au milieu, cajolé par les deux gars qu'il a si bien baisés.
A l'écran, devant nous, les trois gars ont eux aussi fini leur affaire, et s'installent -comme nous- sur le canapé pour récupérer devant un coca. Cette image, parfait miroir de notre propre situation, déchaine chez nous une franche rigolade. Yves recule de quelques chapitres sur le DVD, histoire de nous garder un fond sonore et une "ambiance" appropriés. Là Malek attire notre attention sur le blond du trio : vous avez vu comment il est monté ? On dirait mon petit frère ! Et de nous expliquer que le frangin en question, 18 ans tout juste est doté d'une queue, mais d'une queue.... et que si on voulait... vu qu'il avait beaucoup aimé le moment passé avec nous... et que son petit frère et lui partageaient les mêmes goûts...
Bref, on a fixé une date, pour une rencontre à quatre. Ca promet....
hé, les mecs,
on vient là pour lire des histoires "croustillantes", pas pour militer, et surtout pas avec des termes aussi brutaux et aussi vulgaires.
Pour notre plaisir à tous merci de rester "Zen"
Ca n'empêche pas d'avoir des opinions, mais ici ce n'est pas l'endroit adéquat pour les exprimer.
Merci donc de rester "pondéré" et de ne pas casser l'ambiance....
Faut savoir qu'un 4*4 équipé au GPL pollue 250 fois moins qu'une Citroën C2 au diesel qui rejette du monoxyde d'azote tant et plus dans l'atmosphère et que le fameux FAP ne retient pas grand chose si ce n'est l'argent de votre portefeuilles, pauvres débiles d'écolos que vous êtes. Si tout le monde était écolo, y'aurait 10 000 000 de chômeurs en plus en France, tu serais pas sur internet car t'aurais du courant une journée sur quatre (sans polluer ni centrale nucléaire) et dans 20 ans on retournerait vivre dans des cavernes.
tu as surement raison pour certains 4/4, mais les bûcherons? les pompiers?, les entrepreneurs? etc...
Et après ça tu prétends "penser" ! ! !
N'oublies pas que pour penser faut être équipé, et en avoir un minimum dans la cervelle, ce qui ne semble pas être ton cas...