Une longue coque blanche, de 43 pieds de long (en gros 13 mètres, pour les profanes).
Nous l'admirons, mes cinq équipiers et moi, et c'est toujours le même plaisir pour des fans de voile, d'arriver après une nuit de route, dans la lumière rosée du jour naissant et le calme du port encore endormi, devant une belle carène élégante et racée.
Nous trouvons la clé à l'endroit convenu avec le loueur, et montons à bord.
A l'intérieur ça sent encore le neuf, tout est nickel. Notre croisière en Corse s'annonce sous les meilleurs auspices.
Je répartis mon équipage dans les différentes cabines, et garde avec moi Arnaud. c'est avec lui que je partagerai ma couchette double. C'est un grand brun solidement bati, qui va sur ses quarante ans. Il ne fait pas partie des "anciens" équipiers, mais est néanmoins déjà venu plusieurs fois. Evidemment les autres plaisantent au sujet de sa "promotion" de voisin de couchette du capitaine.
Normal. On est entre mecs, on a tous des métiers très prenants, et on se dépêche de décompresser. Et il n'y a rien de mieux que de déconner pour décompresser.
A neuf heures arrive l'équipe du loueur, pour l'inventaire et les quelques explications nécessaires. La moitié de l'équipage est partie aux provisions dans la supérette proche de la marina, l'autre moitié écoute et observe. Dans les bateaux neufs il y a toujours un instrument ou un équipement qu'on ne connaît pas, ou dont on maîtrise encore mal le fonctionnement.
Nous quittons le quai deux heures plus tard, cap au 110, sous le soleil, toutes formalités accomplies et bateau approvisionné. La mer est calme, le vent est portant et ne lève qu'une petite houle ne perturbant pas le confort du bord.
L'après-midi se déroule sereinement. Certains bullent ou lisent, pendant que les puristes peaufinent inlassablement les réglages de voiles.
De temps en temps une plaisanterie bien grasse déclenche rires et commentaires salaces. C'est fou ce que des mecs lâchés dans la nature peuvent très vite "déraper". Je me demande si c'est pareil chez les nanas...
La nuit tombe. J'organise les quarts. Ca ne va pas être trop dur. On ressent la fatigue du voyage, mais cette nuit de septembre est douce et tiède. Comme le vent a un peu forci j'ai fait réduire la toile. C'est plus confortable et on n'est pas pressés.
Le problème avec les voiliers de location, c'est qu'ils sont davantage conçus pour le confort au port que pour la navigation en haute mer. Les couchettes doubles, par exemple, c'est très bien au mouillage ou à quai, mais en mer quand le bateau gîte on est plaqué l'un contre l'autre.
Vers la fin de la nuit je me réveille le dos collé à Arnaud. La houle est devenue plus forte. Plus sèche aussi, comme souvent en Méditerranée. Non seulement je suis plaqué contre mon équipier, mais à chaque vague une poussée latérale vient accentuer la pression. Quelque chose à dû tomber d'un équipet (étagère), parce que je sens un truc dur coincé entre lui et moi. J'essaie de le dégager, mais je comprends immédiatement que ce n'est pas un objet, mais une grosse érection d'Arnaud. Son état est-il dû à un rêve, ou au contact répété de nos corps ? En tous cas c'est une très belle érection, je m'en rends compte en tâtant précautionneusement sa queue. C'est qu'il nous présente un beau calibre, le bougre, bien dans les 18cm ! Et dessous un paquet bien rempli complète l'équipement.
Je ne suis pas sûr, mais j'ai l'impression que mes tâtonnements exploratoires lui font de l'effet. Son engin durcit encore, et tressaille sous l'effet de mes attouchements répétés. Le bonhomme lui, jusque là immobile et coincé contre la coque, se met à bouger. En même temps que je retire ma main je sens la sienne venir explorer mon entrejambes. Il m'était déjà arrivé une fois qu'un équipier - en plein rêve érotique- vienne chercher chez moi ce qu'il pensait être la chatte de sa femme, mais là nous en sommes à la première nuit, c'est un peu tôt pour des rêves de ce genre. Comme je ne suis pas en manque ma queue est au repos, mais très vite prend forme. Il est vrai qu'Arnaud me palpe dans tous les sens, en dépit des perturbations dues aux mouvements du bateau. Très vite je réalise que du fait de la précision de ses gestes il n'est plus possible qu'il dorme.
-Mais qu'est-ce que tu fous ? je lui demande,
-Ben la même chose que toi, me répond-t-il.
-Ah bon, alors tu aimes çà ?
-Comme toi, si j'en crois tes réactions, me dit-il encore, en passant progressivement du tâtonnement exploratoire à un lent mais régulier va-et-vient très efficace.
Le premier moment de surprise passé je profite pleinement de cette caresse aussi agréable qu'inattendue, avant de reprendre à mon tour à pleine main la queue d'Arnaud maintenant encore plus raide.
-Tu aimes être sucé ?
C'est une des choses que je préfère, et je le lui dis clair et net.
On bouge un peu sur la couchette, pour qu'il puisse se mettre en position, et il me prodigue une fellation d'expert.
-Dis-donc t'es vachement bon, lui dis-je,
-J'adore les pipes, répond-t-il. Autant les faire que les recevoir, alors surtout ne te gênes pas...
Moi aussi j'adore sucer des queues, et non seulement celle qui est à ma portée est de belle taille, mais en plus elle est rasée, comme ses couilles, et çà, ça me fait un effet d'enfer. On s'installe tête-bêche, calés contre la coque, et j'enfourne la longue bite d'Arnaud. Le contact sur mes lèvres de ce mélange de fermeté et de douceur caractéristique de la peau des queues me fait toujours flipper, et je bande de plus belle.
J'ai un truc qui fait de l'effet à beaucoup de mecs. Je commence par recouvrir autant que possible le gland par le prépuce, serre les lèvres sur celui-ci, puis engouffre d'un coup en gardant une pression maximale. Pour le trajet retour c'est au contraire : petit relâchement des lèvres, mais succion maxi. Effet gonflant garanti ! Lui aussi a l'air d'apprécier ! tant et si bien qu'il copie mon truc pour me l'appliquer en retour.
On se savoure comme ça pendant de longues minutes, et les cahots répétés dus à la houle, loin de nous gêner, rajoutent du piquant à notre séance. Parfois un coup de gîte plus brutal que les autres éjecte de ma bouche la queue d'Arnaud, et je la rattrape, toute chaude et frémissante, toute mouillée de ma salive.
J'ai de plus en plus envie de me laisser aller à jouir, mais je résiste encore un moment. Apparemment Arnaud n'est pas aussi "avancé" que moi, mais ça ne dure pas. Je sens bientôt des sursauts convulsifs annonciateurs de la chose, et je reprends la main pour l'amener à la jouissance.
Autant pour limiter les dégâts au niveau taches, que pour mon plaisir et le sien, je recouvre son gland de mes doigts au moment ou il explose. Tout son sperme me jaillit dans le creux de la main, la lubrifie, et je continue de le branler de plus belle, à même le gland, jusqu'à ce que son long râle étouffé par l'oreiller s'arrête, et le laisse haletant. Fantastique, l'effet de cette branle "lubrifiée" laissant le prépuce en arrière. J'ai -par la force des choses- étalé son sperme sur toute la longueur de sa queue, ainsi que sur ses couilles, et n'ai pas encore retiré ma main. Nous restons immobiles pendant un long moment, et ça commence à sécher, donc à coller sur les bords, et le moindre mouvement -aussi minime soit il- provoque un spasme qu'il n'arrive pas à dominer.
Je vais faire un brin de toilette, me rhabille et sors en griller une.
Dans le cockpit l'équipe de quart ne s'est rendue compte de rien. On avance à bonne allure, et le bruit de la mer qui cogne contre la coque, en sus du chuintement puissant du vent dans les voiles, empêchent de percevoir quoi que ce soit provenant de l'intérieur du bateau.
Franck est à la barre, Manu est quasi allongé sur une des banquettes de cockpit, une tasse fumante à la main.
La mer prend cette couleur plombée caractéristique des petits matins, juste avant que le soleil ne se lève.
Je redescends vers la table à cartes, relève sur le GPS du bord notre position, et la consigne dans le journal. Nous avons bien avancé, et devrions bientôt être en vue du Cap Corse.
C'est l'heure la plus froide, je me fais un café et y verse une rasade de scotch. Ca secoue et ça réchauffe. En plus ça exhale un parfum sympathique qui réveille les occupants du triangle avant.
Quelques minutes plus tard tout le monde est dans le cockpit à tremper des petits gâteaux dans du café en discutant bruyamment. Foutue, la poésie du petit matin !
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Trois jours que nous sommes en Corse.
Au mouillage dans une petite crique aux eaux transparentes, entre le cap Rosso et Cargèse, nous ne sommes plus que trois à bord. Le zodiac du club voisin est venu chercher les autres ce matin, pour une journée de plongée. Un peu après onze heures nous gagnons la rive avec l'annexe, et je ramasse du bois flotté pour faire du feu. Le gamin (Manu a 15 ans de moins que nous) a attrapé hier trois belles daurades. Avec des patates aux herbes cuites sous la cendre et le blanc de Patrimonio acheté sur place ça va être la fête, avec en prime un petit coté Robinson apporté par le décor !
Bon, ça a été laborieux pour les patates. Un peu grosses il a fallu attendre la cuisson assez longtemps, au point que Manu a dû retourner à bord chercher une autre bouteille. L'ambiance s'en est évidemment trouvée "détendue", et après le repas nous sommes allés nous rafraîchir dans la grande bleue. J'ai laissé mon maillot sur les galets, Arnaud a fait de même, bientôt imité par Manu, après un petit temps d'hésitation. C'est en sortant de l'eau que j'ai perçu la gêne du gamin. Il fuyait nos regards.
-Ben qu'est ce que tu as ? tu n'as jamais vu de mecs à poil ? lui demande Arnaud,
-Ben si, mais c'est vos queues...
-Quoi, nos queues ?
-Justement, elles sont sans poils...
Bon. On se sèche, on se remet sur nos draps de bain et on bronze.
Moi, quand je me fais dorer nu, la chaleur du soleil me fait de l'effet. Pas vraiment une érection, mais un gonflement quand même assez perceptible.
Au bout d'un moment j'ouvre un oeil, et vois Manu, couché sur le coté et appuyé sur un coude, me fixer l'entrejambes. Son air préoccupé me fait éclater de rire, ce qui réveille Arnaud, qui demande ce qui se passe. C'est Manu, je lui réponds. Il est complètement fasciné par nos queues rasées. Mais non, proteste l'autre en bafouillant, je me demandais juste comment ça fait. Et bien touche ! lui ai-je lancé avec un éclat de rire, face à son air offusqué.
Et ben quoi, tu n'as jamais touché une queue de mec ? lui demande alors Arnaud, et comme pour l'encourager il m'empoigne le paquet. Tu vois, ajoute-t-il, on y survit. Puis il me passe la main -en forme de coupe- sous les testicules, les soulève légèrement et les présente ainsi à Manu. Celui-ci, l'oeil encore un peu brumeux des vapeurs du Patrimonio avance une main hésitante, et vient me tâter le pubis sans réelle conviction..
Manifestement il n'a eu jusqu'ici que des relations hétéro.
Ces hésitations, cette pudibonderie m'agacent un peu. Je lui attrape le poignet et lui colle la main sur ma queue.
Il ne proteste pas, et ne résiste que très brièvement quand je promène sa main de mes couilles à mon gland, allant même jusqu'à pousser un petit gémissement au contact de ce dernier. Ca devient prometteur !
Arnaud n'a évidemment rien perdu de la scène :
-Mais on à l'air d'aimer çà ! dit-il, et aussitôt il lui saisit la queue et commence des va-et-vient.
Manu, progressivement, et consciemment ou non, a calqué ses mouvements sur ceux d'Arnaud, et me branle maintenant avec une vigueur et un rythme croissants. Il semble (tout comme moi) apprécier particulièrement le contact d'une peau rendue douce et lisse par l'absence de tout poil.
Je ne résiste pas à l'envie de lui rouler une pelle, et rencontre là encore une petite et brève résistance avant qu'il ne desserre ses lèvres. Sa bouche, d'abord froide et inerte se fait progressivement accueillante, puis sa langue vient à son tour s'enrouler autour de la mienne, et explorer ma bouche avec une détermination de plus en plus évidente. A ce moment précis je suis persuadé que c'est la première fois qu'il embrasse un mec, et j'en bande de plus belle, puis je le pousse pour le mettre à plat dos sur son drap de bain.
Je me baisse à mon tour, lui mordille et lèche un téton, puis descends de plus en plus bas. Sa peau est douce - et salée par l'eau de mer - et je la lèche jusqu'à arriver à son buisson de poils blonds où je m'arrête un instant, puis je sens sa queue toute brûlante battre contre ma joue.
Arnaud a pris ma place plus haut. Manu, qui a l'air de prendre goût à la chose, a déjà saisi sa queue, et la caresse doucement. Pour ma part je commence à déguster celle du "petit", qui prend des proportions tout à fait honorables. Il faut dire que celui que nous traitons de "gamin" va quand même sur ses 30 ans !
On jouit presque ensemble tous les trois. Manu en premier. Il gueule tellement qu'Arnaud le fait taire en lui fourrant sa queue dans la bouche. Il est épatant Manu. Il tète cette bite comme si sa vie en dépendait, et continue bien après qu'il aie lui-même joui. Pas de doute, il aime çà ! Il est des nôtres. Quand les gémissements d'Arnaud l'avertissent d'une prochaine explosion, il continue par voie "manuelle", et s'asperge consciencieusement le visage et le torse avec les giclées qu'il provoque. Il était d'ailleurs temps qu'on aboutisse, vu qu'on commençait à sérieusement rosir sous l'effet du soleil.
On a regagné le bateau pour se mettre à l'ombre du bimini.
Quand notre équipe de plongeurs est revenue, nous étions sagement en train de bouquiner en sirotant le pastis de l'apéritif du soir.
-Vous ne vous êtes pas trop embêtés ? ont-ils demandé...
Tu parles ! Nous on attend l'escale de Bonifacio, où ils feront une autre plongée... pendant laquelle nous nous appliquerons, Arnaud et moi, à compléter "l'éducation" de Manu. Ce bon petit nous a demandé si on voulait bien le "dépuceler". On peut pas lui refuser çà, non ?
j ai souvent fait la traversée cote d azur corse en voilier comme skiper ou equipier malheureusement avec des heteros ce serait mon reve le plus cher de le faire avec des bi tous entiérement nu durant la traversée et se livrer a toutes sortes de jeux sexe pendant que le voilier taille sa route je suis partant a bientot jean
SAlut - Il y a avait une association qui s'appelait Voile et croisères en libertés dont j'ai perdu les cordonnées. Je ne sait meme pas si elle existe encors. Quelqu'un connait ????? Merci
sympa ton histoire, vous ouvrez le groupe à d'autres plaisanciers ? En tout cas bien écrit, agréable à lire et bandante, ça donne envie... d'aller en Corse pour de prochaines vacances, si possible pas seul, bien sûr