Pendant longtemps je me suis satisfait (par ignorance ?) de rapports hétéros, puis, la maturité venant, ma curiosité est devenue de plus en plus vive, jusqu'à me faire franchir le pas et enfin goûter aux plaisirs entre hommes. J'ai timidement commencé -comme beaucoup d'autres sans doute- par des jeux de mains et de bouche, puis j'ai découvert la sodomie passive. D'abord sans plaisir, par pure curiosité et vice, puis par goût. Depuis quelque temps, pour "m'assouplir", je me ballade souvent les après-midi avec un gode dans le cul. C'est un engin un peu spécial, rétréci à la base pour ne pas être éjecté involontairement, et doté d'une embase l'empêchant de s'enfoncer totalement. Le port quasi-continu de "l'appareil" a déjà élargi et assoupli mon petit trou. Faut dire que mes fesses n'ont pas encore vu défiler tant que ça de queues, vu comme déjà dit, que je m'y suis mis sur le tard (il y a 7-8 ans, sur la fin de ma quarantaine, pour être un peu plus précis).
En plus les quelques gars qui m'ont baisé ont été très inégaux dans leur "prestation".
Le premier -Yann- était un type dans la quarantaine également, divorcé, dont je me demande maintenant s'il n'était pas devenu bi ou gay que par dépit ou ranc?ur. Il avait une queue sympa, assez grande, parfaitement rasée (comme j'aime), et une hygiène rigoureuse. Mais son studio était triste à mourir, son lit inconfortable, et sa conversation trop limitée et parfaitement insipide.
Le second était un adepte des plans extérieurs. C'est bien quand on est à la bonne saison, et le ciel au beau fixe. Il baisait super-bien, tout en douceur, et dans les coins de forêt que nous fréquentions il n'était pas rare d'avoir des spectateurs. C'est d'ailleurs à cette époque que je me suis découvert un petit penchant pour l'exhibitionnisme, et j'ai souvent espéré que l'un ou l'autre des mateurs vienne me fourrer sa queue dans la bouche, au lieu de se branler à quelques mètres de nous, en égoïste.
Le troisième était un petit jeunot très sympa, qui dès que nous entrions dans son studio, me sautait dessus avec une fougue toute juvénile. Il avait la peau très douce, la bouche accueillante, la langue fouineuse, et nous passions de longs moments en position de 69, à nous sucer avec délectation, à nous rouler des pelles en enroulant longuement nos langues, puis à nous lécher mutuellement la rondelle avant qu'il ne m'encule. J'aimais beaucoup sa peau lisse et douce, sa queue rasée, son petit trou. Bien que n'étant pas "surdimensionné", il lui arrivait de me faire parfois un peu mal, tellement il bandait dur !
Un autre - plus âgé, cherchait davantage (et je crois qu'il cherche encore) un partenaire avec qui former un couple pour aller vivre au soleil du Maroc. Doté d'une queue (circoncise) de TRES belle taille, et d'un savoir-faire qui touche au grand art, il m'a superbement baisé, et j'en reprendrais volontiers... d'autant qu'il y avait aussi tout le reste : une classe certaine, un niveau socio-culturel appréciable, un physique soigné (Erdna, si tu te reconnais : encore bravo !).
Je vous ferai grâce des détails concernant les quelques suivants, comme ces deux vététistes rencontrés au coin d'un bois et avec qui j'ai passé un excellent moment (j'aime beaucoup quand on est trois), mais il faut que je vous raconte l'épisode "hôtel", vécu il n'y a pas très longtemps.
C'était lors d'un déplacement professionnel, dans un de ces impersonnels hôtels d'étape.
Je rejoins ma chambre après une journée de négociations et de tractations épuisantes, prends une douche, et après le traditionnel coup de fil à mon épouse je m'allonge sur le lit avant d'aller dîner. Je suis crevé, mais la douche m'a fait du bien, et dans ce moment de calme je me mets à penser que je prendrais volontiers une belle queue en bouche... pour commencer.
Mais je ne me sens plus le courage de sortir, et c'est donc un peu résigné que je descends dîner, un peu plus tard.
Dans la salle à manger peu de monde. Deux-trois couples du troisième âge, et quelques hommes seuls, que leur look et leur teint rubicond me font immédiatement classer dans la catégorie des VRP ploucs et gros buveurs.
Je passe la commande de mon plat principal, puis me dirige vers le buffet de hors d'?uvres.
Devant la "salade des îles" je suis heurté par un type qui manque de peu renverser son assiette sur ma veste. Tiens, je ne l'avais pas vu, celui-là. Dans les quarante ans, brun, plutôt soigné. Sapé Kenzo ou similaire, et une J-Class de chez Herbelin au poignet. Rien à voir avec les Vrp vulgaires, rougeauds et replets. Il se confond en excuses tandis que je minimise l'incident, puis nous regagnons nos tables respectives. Pendant le repas nos regards se croisent de temps en temps. On se sourit poliment avant de remettre le nez dans nos assiettes.
Un peu plus tard il me rattrape dans le couloir, alors que je suis en train d'ouvrir la porte de ma chambre.
-Je vous renouvelle mes excuses, me dit-il, j'ai bien failli massacrer votre costume tout-à-l'heure, alors permettez-moi de me racheter en vous offrant un verre, et il me désigne une porte presque voisine de la mienne.
Un peu surpris, je le suis dans sa chambre. Je m'installe dans le fauteuil face au lit pendant qu'il fouille le minibar.
- Whisky ? Cognac ? Jus de fruit ?
Je fais mon choix, il nous sert et s'assied sur le bord du lit. La télé en sourdine nous fait un fond sonore. La conversation démarre sur des banalités : les motifs du séjour à l'hôtel, nos régions d'origine, le trafic routier, les radars sarkosiens, etc. Bien qu'il entretienne la conversation mon interlocuteur lève fréquemment la tête vers l'écran, que je ne vois pas, étant assis juste en-dessous. Ayant remarqué que j'ai détecté son manège, il s'en excuse :
-Désolé, je vais couper la télé, mais il y a là une scène particulièrement attractive.
Curieux, je me lève, me retourne et regarde également.
C'est très "hot". Deux types témoignent une "affection" très empressée à une jeune femme.
J'aime assez les films X, et ça doit se voir à mon expression intéressée. Mon voisin me questionne :
-Vous avez l'air d'apprécier ?
-Oui, assez, encore que mes goûts en matières de sexe soient un peu ... différents.
Je suis debout près de lui, à coté du lit, il me dévisage sans rien dire, cherchant manifestement à interpréter ma réponse.
Je décide de tenter le coup.
-J'ai beau être marié, j'ai de temps en temps un penchant assez marqué pour une sexualité... euh... autre.
-Et j'ai le sentiment que nous sommes dans une de ces périodes, non ? me dit-il, et le plus naturellement du monde, du dos de la main, il se met à me caresser la cuisse.
D'abord surpris par ce geste inattendu je me tourne légèrement pour être face à lui, ce qui l'incite aussitôt à mieux "centrer" ses caresses.
Il a de la technique, ça commence à sérieusement gonfler dans mon pantalon, et lors de passages un peu plus appuyés je ne peux retenir des tressaillements. Après quelques instants il s'attaque à mon zip. Je sens que ma queue ne demande qu'à être extraite pour bénéficier d'un traitement plus "direct".
Ca ne traîne pas. Mon hôte l'empoigne, lui prodigue de lents mouvements de va-et-vient, puis il se penche légèrement en avant, approche son visage, se le caresse en passant délicatement ma queue sur ses joues. Pour moi l'effet est géant. Son rasage datant du matin, les multiples picotements engendrés par la rugosité de sa barbe naissante et drue de "brun" provoquent sur mon gland décalotté une sensation extraordinaire. Je bande comme rarement et me mets à le supplier:
-ta bouche, ta bouche...
Il s'exécute, entrouvre légèrement ses lèvres et s'avance vers moi. J'entre lentement dans sa bouche qu'il garde volontairement et fermement mi-close, et me force un passage entre ses lèvres chaudes, souples et humides. Ses mains maintenant libres lui permettent de se déshabiller tout en continuant de me sucer. Sa langue exécute des vrilles rapides autour de mon gland, s'arrêtant de temps en temps pour titiller mon frein, ou pour s'introduire entre le prépuce et la verge. Quelle technique ! Quelle virtuosité ! Il est maintenant complètement nu, et malgré cela ma queue n'a pas un instant quitté sa bouche.
Je le repousse. Il bascule en arrière sur le lit, me découvrant par la même occasion une bite de belle taille. Autant la mienne est rose, autant la sienne est brune. Au contraire de la mienne elle n'est pas rasée, mais je le soupçonne de se couper les poils, tant ils sont courts.
Je me mets à genoux devant lui, et l'engloutis d'un coup. Il se cabre de plaisir en poussant un rugissement. Son gros gland me remplit bien la bouche. J'entreprends mes allées et venues de manière assez brutale, j'ai vite compris qu'il appréciait cela.
Puis je me mets tête-bêche sur lui. J'adore sucer et être sucé en même temps.
Lui aussi.
De temps en temps un grognement de plaisir sort de sa gorge, et par sa bouche les vibrations se transmettent à ma queue qu'il suce avec avidité.
Depuis un moment ses mains appuyées sur mes fesses participent à mes mouvements d'allées et venues, mais maintenant il en écarte les deux globes, et je sens un doigt fureteur venir explorer ma raie, puis la quitter. Quand il revient il est mouillé de salive et s'introduit dans mon petit trou, déjà très disposé à l'accueillir, et dans lequel il pénètre sans difficulté au point qu'il se voit bientôt rejoint par un second.
Je change de position. J'ai envie de l'embrasser.
J'aime beaucoup embrasser mon partenaire après l'avoir bien sucé. A priori il apprécie également, vu ses gémissements de plaisir. Je suis à cheval sur lui, et sens sa queue contre mon cul. Je recule un peu et écarte mes fesses, puis bouge, pour me caresser la raie avec sa queue.
J'ai de plus en plus envie de la sentir envahir mes fesses et je le lui dis.
-Je reviens, me dit-il en se dégageant pour aller vers la salle de bains.
Il réapparaît presque aussitôt en finissant d'enfiler un préservatif.
Il se recouche et je le re-chevauche. Sa queue -plaquée contre son ventre- glisse entre mes fesses sans les pénétrer, au gré de mes allées et venues. Cette caresse nous fait de l'effet à tous les deux. Je le sens de plus en plus raide, et çà me met dans un état de quasi transe. Chaque fois que je me penche en avant pour lui rouler une pelle mes fesses se soulèvent un peu, et sa queue suit, de sorte que chaque fois son gland est en butée à l'entrée de mon petit cul. Je n'ai plus qu'une envie : le sentir forcer le passage. N'y tenant plus je provoque la chose. Au lieu de reprendre la position précédente et de refaire coulisser sa queue entre mes fesses j'écarte bien mes cuisses pour mieux m'ouvrir, et me laisse doucement -très doucement- descendre sur ce gros pilon bien raidi.
L'effet est géant. Je sens cette grosse queue entrer en moi millimètre après millimètre, et je savoure cette pénétration d'autant plus et d'autant mieux qu'elle est archi-lente, et que j'en dirige totalement la progression.
Mon partenaire à l'air d'apprécier, lui aussi. C'est en effet un gémissement ininterrompu qui accompagne l'entrée de sa queue dans mes fesses.
Pour ma part, cette lenteur et cette progressivité me permettent de savourer pleinement toutes les phases de la pénétration. Je sens ma rondelle s'ouvrir et s'élargir au fur et à mesure de l'avancée, puis le gland se frayer un chemin dans mon petit cul, puis enfin le corps de la queue suivre, jusqu'à ce que le tout vienne en butée, et c'est là, après un moment d'immobilité totale pour profiter pleinement de l'ampleur toute en douceur de cette pénétration, pour profiter aussi de cette sensation d'être "rempli" sans aucune douleur par cette queue de belle taille, que je commence à onduler du bassin.
En effet, personnellement je préfère garder en moi une belle queue (surtout quand elle est de taille "respectable"), plutôt que de me faire pilonner par des allées et venues incessantes qui me laisseront "à postériori" (!) le cul en feu.
C'est donc par ces ondulations du bassin que je prends le plus volontiers mon plaisir, et que je le procure à mes partenaires.
Pendant ce temps le dit partenaire -dont je ne connais toujours ni nom ni prénom- me plaque d'une main ma queue et mes couilles sur son ventre, pendant que de l'autre il me caresse alternativement les tétons.
Même si on est -comme moi- peu sensible au niveau de la poitrine, le cumul de toutes ces man?uvres ne peut laisser personne indifférent, et je finis par exploser à grandes giclées (je suis assez "gros juteur") sur le ventre de mon partenaire, qui presque en même temps, par ses soubresauts et ses gémissements, me fait comprendre que lui aussi...
Nous restons immobiles un moment, pour reprendre notre souffle. Il est toujours en moi, et s'il n'a plus la raideur de tout-à l'heure il est toujours de belle taille. Juste un peu moins dur, juste un peu moins gros, et je profite de la sensation de bien-être et de plénitude due à la conjonction de tous ces éléments.
Après quelques instants de récupération je me penche vers lui, et entreprends de reprendre -au moins en partie- ce que je lui ai donné. J'ai toujours adoré aller lécher mon foutre sur le torse ou le visage de mes partenaires, alors d'une langue avide alternant avec mes lèvres, je reprends un peu de mon sperme. La tiédeur, le "crémeux", le "glissant" de mon éjaculation ont sur mes lèvres un effet immédiat, et je rebande de suite. Mon partenaire, que la quête de ma langue et de ma bouche sur son ventre ont également émoustillé m'attrape par le cou, me tire vers lui, et me roule une pelle monumentale. Mes lèvres collantes se posent sur les siennes, sa langue s'enroule une nouvelle fois autour de la mienne, cette fois-ci enrobée de mon foutre. C'est magique, c'est intense, c'est presque le meilleur moment, et on fait durer çà un maximum, tellement c'est bon. En même temps nos mains se baladent. Toutes nos terminaisons nerveuses -exacerbées par les instants que nous venons de vivre- nous font tressaillir à chaque effleurement. Puis s'ensuit un long moment de calme, de calme absolu, pendant lequel l'esprit revisite -mais de façon très floue, très nébuleuse- les sensations tout juste vécues.
Le temps passe...
Je regarde l'heure. Je sais, c'est impoli, mais demain une autre rude journée professionnelle m'attend. Notre "petit verre" a duré plus d'une heure.
En regagnant ma chambre je me dis que ce serait bien que nos routes se recroisent un jour...
suis bi marie aussi et maque en meme temps a un mec bi marie dont je suis tres amoureux et c'est reciproque bien qu'amoureux aussi de nos epouses respectives et oui !!. ce recit me rappel mes rencontres tres chaudes avec mon bel ecureuil. Si un de ces quatre tu passe en auvergne fais nous signe. Et merci encore Greg
Bravo ! Tu as un don magnifique pour nous conter "Ton petit verre ", je me suis senti aux pieds du lit, vous regardant faire l'amour, chose rare lorsque je lis ces recits, je me suis caressé et mis a bander, j'aurais aimé te lire encore sur des centaines de lignes ... Merci ami !