Trois semaines que je n'ai pas "vu" un mec de près. Je n'en peux plus. Quand je n'ai pas au moins une belle bite à sucer dans la semaine je ne suis plus bon à rien. Je deviens irascible, nerveux, et totalement incapable de me concentrer, même au boulot.
Estimant que la chose a assez duré, et contrairement à mes habitudes je décide d'aller draguer, il me faut absolument satisfaire cette envie qui me taraude et m'empoisonne la vie. C'est décidé, ce soir, avant de rentrer chez moi je vais aller faire un tour le long du canal, là où se rencontrent des mecs dans ma situation....
... Plus de vingt minutes que je suis là et pas une touche, alors que la nuit tombe déjà. Il y a bien quelques voitures qui tournent en quête d'une rencontre, mais elles sont toutes conduites par des mecs tout jeunes, trente ans maximum, et moi j'ai largement entamé ma cinquantaine. Donc on se croise, on se toise, et ils s'en vont voir plus loin. A croire que je suis le seul mec dans ma tranche d'âge à être bi ! Ou sont donc les autres? Déjà tous rentrés chez eux, sagement assis à la table familiale en train de dîner ?
Enfin arrive une camionnette, genre "partner". Arrivée à ma hauteur elle fait demi-tour, pour que le coté conducteur soit en face de moi. La frêle lueur du tableau de bord et le peu de clarté subsistant me permettent de discerner le type. Il a la cinquantaine comme moi, et la physionomie avenante (pour ce que j'en vois).
On se dévisage un court moment, puis il sort, franchit les deux mètres qui nous séparent. Je descends ma vitre, et lui dis bonsoir d'une voix rendue un peu hésitante par la crainte de le voir repartir.
-Bonsoir, me répond-t-il, vous cherchez quoi ?
-Je cherche à passer un moment agréable...
Un sourire fait suite à ma réponse, alors à mon tour je sors de la voiture, et nous nous écartons un peu du chemin de halage où nous sommes garés pour nous enfoncer de quelques mètres dans le sous-bois.
Le type est plutôt bien physiquement. Un peu moins grand que moi, un visage qui inspire la sympathie, et un air assez distingué renforcé par une chevelure argentée. Pas du tout le genre à se balader en véhicule utilitaire.
Arrivés "à l'abri" on se fait face, et nos mains se promènent sur nos entrejambes, puis très vite les braguettes sont ouvertes.
J'extrais rapidement sa queue et commence à la caresser, tandis qu'il en fait de même avec la mienne.
Je bande ferme et lui aussi. Très vite il se baisse et me prend en bouche. Il me suce avec douceur, et avec une technique qui en dit long sur ses habitudes. Je continue à le caresser, mais compte tenu de nos positions respectives ce n'est pas très facile, et sa queue bien dure et très chaude attire rapidement ma bouche. Elles sent bon le propre, et je me régale à la sucer.
Pas très imposante sa bite, mais ferme, chaude et parfumée. Au bout de quelques courtes minutes il commence à tressaillir :
-je vais venir, je vais venir.
Je n'en crois pas mes oreilles, on vient à peine de commencer, mais je m'écarte, et c'est tout juste. Il jouit abondamment tout en s'excusant :
-ça fait trop longtemps que je tourne dans le coin et que je bande, excuse-moi, salut.
Et il remonte dans sa fourgonnette et s'en va, me laissant là, la queue à l'air.
Dépité je rejoins ma voiture, en espérant une nouvelle rencontre. A peine installé je distingue la lueur de phares s'orientant dans ma direction.
Une 206 arrive et s'arrête à 10 mètres. Une fine silhouette en sort et s'approche.
-Bonsoir, dit la voix, et le gars attend.
Je sors, réponds à son salut, et sans plus attendre lui mets la main au paquet. Un gémissement répond aussitôt à mon geste, suivi de sa main partant elle aussi en exploration. Il fait maintenant nuit noire, et pas le moindre quartier de lune ne nous éclaire. Je n'ai aucune idée du physique du gars, si ce n'est qu'il est manifestement jeune, d'après sa voix.
Avant que mes "investigations manuelles" n'aient pu lui faire de l'effet il se baisse, me défait le pantalon, sort ma queue, la prend en bouche et commence à la téter goulûment, mais avec une extrême douceur. Chacun de ses mouvements est accompagné d'un gémissement de plaisir. Un doigt fureteur vient s'insinuer entre mes fesses et s'introduit facilement dans mon cul mouillé d'excitation, tandis que de la paume ses mains il me caresse les fesses. Ce garçon me fait passer un moment vraiment agréable. Je lui donne le rythme de mes mains plaquées sur ses joues. Il a les cheveux crépus et très courts, ce que je n'avais pas pu distinguer dans l'obscurité. Je penche pour un jeune beur, ce qui réjouit, vu que je n'en ai pas encore à mon "actif", et ça me fait bander de plus belle. Il s'arrête un court instant pour me demander si je veux jouir dans sa bouche, ce qu'on ne peut pas refuser quand c'est demandé gentiment (et qu'on est sain !). Rien qu'à cette idée j'accélère le rythme, et ne tarde pas à jouir avec une intensité rare, au point que j'ai failli perdre l'équilibre.
Le gars recrache et s'essuie, mais je ne veux pas en rester là. Ma bouche est toujours en manque, alors je lui demande si je peux le sucer à mon tour. Il me répond, gêné, qu'il a une petite queue, mais je n'en ai que faire, j'ai trop envie de sucer une bite, et je m'accroupis devant lui. Il descend son pantalon de jogging (ce qui me conforte dans mon idée quant à ses origines) et j'empoigne sa queue. Malheur, elle est toute molle, et manifestement massacrée par une circoncision ratée. Pas moyen de le faire bander. Par reconnaissance pour l'excellent traitement qu'il vient de me prodiguer je fais semblant d'y prendre plaisir, d'autant qu'il sent bon le savon, mais prends congé assez rapidement.
Si mes sens sont apaisés ma bouche réclame toujours quelque chose, mais il n'y a plus personne dans le coin, maintenant complètement déserté.
Je décide de changer d'endroit. De l'autre coté de la ville, à une vingtaine de kilomètres de là, un coin de forêt constitue un autre point de rencontre.
Je me gare sur l'accotement, derrière deux voitures déjà en stationnement, et emprunte le sentier qui pénètre dans la forêt. La lune s'est enfin levée et on y voit suffisamment clair. A une dizaine de mètres de la route je vois rougeoyer des cigarettes. Deux mecs sont là à discuter. A mon approche l'un s'en va, l'autre reste. Il est jeune, autour de trente ans, avec une gueule sympa, et me demande si l'endroit est fréquenté. Je lui demande ce qu'il entend par "fréquenté".
-Par des salopes, me répond-t-il, je suis une salope, et j'en cherche d'autres...
-Eh bien tu en as trouvé une, lui ai-je dit en lui mettant la main au paquet.
Les choses n'ont pas trainé. D'une main il me prend par le cou et me roule une pelle savante, avec une langue envahissante et très mobile autour de la mienne, de l'autre il me défait la braguette de façon experte. Il embrasse vraiment de manière excitante, et me caresse la queue qui reprend vite une consistance virile. Puis il se baisse et entreprend de me sucer. Chaque fois qu'il "pompe", il recule la tête, et sa langue fait des moulinets autour de mon gland. Puis il revient en avant et m'engloutit complètement. Comme je me rase couilles et queue, je sens parfaitement ses lèvres qui viennent buter jusque contre mon pubis. Finalement cette soirée évolue très agréablement.
Mon partenaire se redresse, et je comprends que c'est à mon tour de le sucer, ce pourquoi je suis d'ailleurs venu. Sa queue est de belle taille, légèrement arquée, et au parfum qui s'en dégage lui aussi doit tout juste sortir de la douche. Déjà bien en forme lors de mes caresses manuelles, il lui restait un bon potentiel car il grossit encore considérablement dans ma bouche, jusqu'à atteindre les dimensions que j'aime (et que j'aimerais bien avoir moi aussi !) Son gland est nettement plus gros que la tige (déjà appréciable) qui le porte, et je me régale. J'alterne la suce et les pelles, je trouve très excitant de me faire rouler une pelle par une bouche qui vient tout juste de quitter ma queue, et à voir et entendre ses réactions il en va de même pour lui.
Il commence à râler, et je sens qu'il n'en a plus pour longtemps avant d'exploser. Il est de plus en plus dur, et c'est d'une voix entrecoupée par des soubresauts qu'il me demande :
-tu veux la garder en bouche ?
Ca fait trop longtemps que j'ai envie de goûter à du sperme, de sentir des jets de foutre inonder ma bouche, de découvrir cette saveur que certains qualifient d'âcre, d'autres de douce, d'autres encore de salée. Jusqu'ici je n'ai goûté qu'à mon propre sperme, après avoir joui sur la queue d'un gars, puis l'avoir sucé jusqu'à être complètement nettoyé, mais ce n'était jamais que mon sperme, et après éjaculation, après que la fièvre soit retombée, donc jamais pendant qu'on est dans cet état second que procure l'excitation d'une bonne fellation, alors, d'un hochement de tête j'ai donné mon assentiment, et pour la première fois de ma vie j'ai enfin senti une queue se répandre dans ma bouche ! Quelle sensation inouïe que ce sirop doux et suave qui vous remplit. Il m'est impossible de décrire ce que j'ai ressenti à ce moment-là, si ce n'est une plénitude absolue, et un apaisement total, infini.
Bien sûr, tout de suite après on reprend ses esprits et le "réveil" est brutal. On se dit qu'on a fait une connerie, on crache et recrache, on s'essuie et se ré-essuie, on se rince la bouche (j'ai toujours une bouteille d'eau dans la voiture) puis on se désinfecte (j'ai toujours un petit flacon d'alcool dans la voiture même s'il n'a jamais été prévu pour ça), et on se traite de tous les noms pendant le trajet de retour.
Mais que c'était bon ! Que cela m'a donné envie de recommencer ! Mais promis-juré, la prochaine fois ce sera avec quelqu'un de confiance. Maintenant que j'y ai goûté je sais que je pourrai attendre, rien ne presse. Je patienterai jusqu'à être dans la situation que je préfère, c'esst à dire dans le cadre d'une relation suivie, discrète et sécurisante.