depuis trois jours mes yeux ne cessent d'être envahis de larmes ,malgré notre séparation à la mi -août 2005, quand je lui ai dis au téléphone que je ne supportais plus ses crises de comportements, et que je lui ai annoncé que je ne voulais plus le voir, je ne l'av&ais jamais revu mais j'obtenais de ses nouvelles quand je le voulais.. par le milieu.
Nous nous étions rencontrés par l'intermédaire de son petit ami qui, auparavent ,était un ami à moi, rien ne nous promettait une histoire d'amour aussi forte ,je le voyais simplement comme le petit ami de mon pote, mais les évenements ont faits qu'ils se sont séparés et lui et moi nous nous sommes rapprochés.
Cinq années à vivre ensemble, tout était beau pour moi qui au fil des jours vivais pour lui et rien que piour lui.
Notre différence d'âge( 17 ans )faisait que je me posais des questions sur notre avenir,je refusais de penser qu'un jour nouss erions séparésà jamais- il était diabétique, et moi je prenais de l'âge, j'avais peur en y pensant, mais un jour en 2004 il m' annoncé que notre histoire était finie, il nem'aimait plus- m'a -t il dit simplement )j'étais désemparé le monde s'écroulait autour de nous... de moi et pour cause il avait rencontré un garçon sur le net, avec qui il dialoguait depuis plusieurs mois,et ils ses ont rencontrés chez ce garçon... je vous laisse imaginer ..
La colére m'emportait et je laissais des messages sur la messagerie de ce garçon qui je pense n'a jamais compris à quel point j'aimais mon compagnon ( nous vivions ensemble), je n'ai jamis pu malgré toutes mes demandes à établir un dialogue avc ce gars j'aurai tant aimé comprendre mais impossible.
Puis en 2005 mon ami est revenu vers moi, car son nouvel ami ne lui apportait pas ce dont moi je lui donnais,alors j'ai décidé de me venger, parce que je l'aimais encore et je l'ai toujours aimé, je n'ai jamais accepté la séparation,alors j 'ai décidé qu'à mon tour j'allias le plaquer, pour lui faire comprendre ce qu'est la souffrance lors d'une rupture( pourtant il avait déjà vécu telle situation).
Nous ne vivions plus ensemble, il venait chez moi le week end ou dans la semaine et vice et versa et moi j'allais chez lui inversement , quelques fois il recevait chez lui,le mercredi aprés midi un troisiéme personne.
En août 2005, un probléme de genou m'interdisait de sortir de chez moi, je l'appelais par tél afin qu'il vienne m'aider pour faire destaches quotidiennes et courses il me repondit qu'il était chez son pére et qu'il ne pouvait se déplacer ( je savais qu'il avait son pére pour couverture, et je savais qu'il inventait réguliérement pour ne pas avouer avec qui il était quand on le sollicitait)il devait être Pierre , son amant, alors c'est à ce moment que je me décidais à lui dire que j'&arrêtais toute relation avec lui, je ne souhaitais plus le voir,je le laissais à tous ses amants,afoin qu'il puisse profiter et profiter d'eux au maxi(c 'était un garçon trés attiré par les gens qui ne sont pas dans le besoin financier (une réplique exacte de son pére et de sa mére)
Je l'aimais encore malgré cette décision de ma part et pendant ces deux années écoulées je n'ai jamais cessé de penser à lui, mais sans jamais le faire savoir , je donnais l'impression d'être fort à mon entourage, je me donnais un rôle .
Puis un coup de télephone le deux août 2007, mon ex ami ,son ancien petit ami m'apprend le décés de celui que j'ai aimé plus que tout, et celui que j'aime encore et qui emméne avec lui tous mes souvenirs, tout mon amour, toute mon envie de vivre.
Il est mort emporté par une méningite fulgurante.
Je n'accepte pas que son ami ai pu l'emmener dans des endroits connus être à risques de maladiealors que lui ,Benjamin avait déjà à lutter contre un handicap qu'il l'avait frappé il y avait djà plusieurs années, il avait déjà une sensiblité au virus et bactéries du fait de son diabéte.
Mais aujourd'hui voilà je le pleure je l'aime encore, et ne cesse de penser à lui en attendant d 'aller le rejoindre.. puisque c'est une promesse que nous nous étions faite.
On ne peut que te souhaiter courage, je sais ce que tu peux ressentir pour y être passé aussi. voila moi cela fait presque 20 ans et il ne se passe pas une semaine sans que je pense à lui. Il était jeune, beau, intelligent il avait 20 ans de moins que moi ! nous nous aimions simplement !
Alors courage à toi ! la vie continue et pour lui tu dois être fort.