Bien que dégouté par l'odeur, je m'exécutai en m'efforcant de me retenir de vomir. Comme cela semblait le calmer et le faire jouir, je le pompais conscientieusement, en espérant que ca en finisse là, mais brusquement, il me tira mon anorak et m'ordonna de quitter mon pull et mon maillot de corps. J'étais à présent tout nu dans mes baskets. Malgré l'angoisse et le froid qui me saisissait, je bandais très fort. Il me glissa alors deux de ses gros doigts dans l'anus et les fit pivoter pendant cinq longues minutes, j'avais très mal, mais il parvint à en insérer un troisième dans mon cul serré.