Cette histoire m'est arrivée qd j'avais 18ans, je faisais partie d'une équipe de foot entrainée par Jacques, un pote de mon père.
Un jour, lors d'un match d'entrainement, un des joueurs m'a shooter en plein dans les couilles au lieu du ballon, douleur atroce, j'étais plié en quatre tellement j'avais mal.
Jacques et un des joueurs m'emmènent aux vestiaires pour mettre de la glace et voir les dégats. l'autre joueur repars jouer le match.
j'enlève mon short ( je mets rien dessous pour jouer) et Jacques revient avec un sac de glace et me le mets sous les couilles pour calmer la douleur et il appui un peu sur l'aine pour faire redescendre les testicules qui sont remontées.
La douleur s'atténue petit à petit et je réalise que je suis à moitié à poil dans vestiaires (juste maillot, et cho7) , assis sur banc avec l'entraineur qui a la main sous mes couilles pour tenir le sac de glace.
Je me sens de plus en plus excité et c'est dur de retenir début d'érection qui ne tarde pas à arriver. Ma queue devient semi dure et commence à se tendre, ce qui devient impossible à cacher à l'entraineur qui tient toujours le sac de glace sous mes couilles. Son regard se fait complice.
Mon gland commence à se décalotter par l'excitation et ma bite se gonfle petit à petit et le contact d'une main étrangère accélère le phénomène et je ne tarde pas à bander bien fort avec le gland décalotté totalement.
" on dirait qu'y a rien de grave, elle marche toujours" , lâche t-il tout d'un coup en rigolant
" t'inquiètes pas c'est réaction normale, y'a pas de mal"
J'étais un peu gêné de bander devant lui, à cause de sa main sur mes couilles, en plus c'est un pote de mon père. j'avais un peu honte.
mais en même temps ce moment de complicité masculine m'excitait un max.
" Va te finir dans les douches, comme ça , tu sera sûr que tout fonctionne bien"
J'étais encore plus gêné qu'il me parle maintenant de branlette et qu'en plus il me donne la "permission" de le faire dans les douches. mais j'étais grave excité alors j'enleva mes chaussettes et mon maillot et me dirigea vers les douches avec ma bite bien droite et fier de ma queue et de ma virilité devant l'entraineur.
Des douches, on ne voyait qu'un morceau des vestiaires et des bancs par un bout de couloir.
Je pensais que l'entraineur était reparti avec les autres et je commença donc à me branler sans gêne. C'était bon , je faisais durer et je kiffait un max. je me caressais partout en faisant des va et vient avec mon prépuce autour de mon gland qui était bien gonflé et sensible. Je fermais les yeux en m'abandonnant à mon plaisir en me branlant et caressant toutes les parties de mon corps totalement excité avec parfois des petits gémissements de plaisirs que je n'arrivait pas à retenir tellement c'était bon.
Je n'avais pas remarqué que l'entraineur c'était assis au seul endroit des vestaires où on pouvait me voir et il me mattait avec la main sur la bosse de son short qui en disait long sur son excitation lui aussi.
Faisant semblant de ne pas l'avoir remarqué, je continuais à me branler et à m'exciter de façon bien visible pour lui. Mes gémissements de plaisir se faisaient plus nombreux et plus intenses. mon corps était en feu et en ouvrant discrètement les yeux , je vis que l'entraineur avait baissé son short et qu'il se branlait lui aussi ouvertement en prenant lui aussi bien son pied.
Son plaisir se fait lui aussi plus intense et il ne pouvait plus retenir ses gémissements de plaisir à l'approche de l'orgasme.
J'ouvris alors bien les yeux en le mattant et nos regards se croisèrent, partageant ce moment de plaisir intense et de complicité entre mecs. Le jus montait alors dans nos queues et nous avons jouis en même temps en lâchant de longs jets de sperme et en poussant de bons râles bien virils.
Je retourna alors vers les vestiaires où nous avons échangé quelques paroles sur la branlette et pied que ça procurait. La fin du match approchant et donc le retour des autres aux vestiaires aussi, l'entraineur pris une mes chaussettes par terre et essuya le foutre qu'il avait giclé sur le sol pour ne pas que les autres le voit, puis il me redonna la chaussette en souvenir de ce moment de complicité masculine et je ne savais pas alors que ce n'était que le premier d'une longue série.....