Histoires

un peu de s.... -07/07/2004-

Ca c'est passé avant hier soir. Je me promenais tout à fait innocemment dans un parc près de la porte de St Cloud, je me suis assis sur un banc histoire de fumer une cigarette.

Il est arrivé, cet inconnu, qui m'a demandé une clope, du feu, et qui, je le saurais après, faisait semblant de ne pas voir et comprendre ce qui pouvait se passer la nuit, dans un jardin.

Après quelques nuages de fumées et une conversation qui n'a jamais tourné sur le sexe, il m'a dit :"on va chez Vous"?

Nous y sommes allés et là, sans hésiter il a ouvert son pantalon et m'a présenté un objet à faire rêver, ou plutôt pour moi, à faire saliver.

Comme il le proposait gentiment à mon adoration buccale, je l'engloutis, sous ses gémissements, qui n'avaient rien de douloureux. Après quelques savants coup de langue, il m'a dit d'arrêter et il voulait lui aussi goûter à mon sucre d'orge, qui bien sur avait la raideur requise ! ( pour un sucre d'orge, bien sur !!!)

Sa jeunesse et sa fougue eurent raison de mon sexe qui fut rapidement au bord de l'explosion. Il s'arrêta donc, et je repris sa queue en bouche, je ne m'en lasse jamais.

Nous nous étions déshabillés totalement et ce fut dans un 69 d'enfer que nous avons explosé de jouissance. Un coca nous permit de reprendre nos esprits et nos formes, et nous voilà reparti pour une deuxième séance, où il m'offrit son intimité. Je me couvrait donc du latex requis et après une exploration digitale élargissante, je fis mon entrée dans son antre. Quelle bonheur ! il gémissait doucement. Nous avons essayé plusieurs positions et avons jouis ensemble, lui empalé sur ma queue et m'inondant la poitrine de sa chaude liqueur.

Après une douche malheusement individuelle, il est reparti.

Je ne connais même pas son prénom. Et je regrette, car il est des rencontres d'un soir que l'on voudrait voir durer.

Et comme on peut toujours rêver, s'il se reconnait, reprenons contact !