Je grimpe quatre à quatre les marches de l?escalier qui mène au quai. Ouf ! Je suis dans mon train, j?ai failli le rater. Après une journée de boulot, j?ai pas trop envie de poireauter trois quart d?heure de plus pour rentrer à la maison.
Je monte à l?étage, la vue y est plus belle en général. C?est le printemps et le soleil couchant donne un relief particulier et une lumière assez irréelle au paysage.
Je trouve un siège libre. Je prends place, la mallette au dessus de moi, une revue pour m?occuper.
Machinalement je regarde autour de moi s?il y a de têtes connues. Personne, par contre je tombe, quasiment en face de moi, sur un beau jeune homme, 20 ans environs, les cheveux très courts, noirs, une belle peau sombre et dorée, des yeux noisettes, un visage régulier et sévère de petit lascard sûr de lui et de sa virilité. Une veste lacoste blanche, un t-shirt tachini, un 501 délavé mais pas trop moulant, des nike rouge et noir et une grosse chaîne argentée autour du cou complètent le tableau. Il est fin et sec comme j?aime.
Je cherche à accrocher son regard? Nos yeux se croisent, il s?arrête un instant et détourne le visage. Par chance, je me suis installé sur le siège coté couloir, je suis donc bien visible. J?ouvre ostensiblement mon magazine? Têtu pour ne pas le citer. S?il ne comprend pas à qui il a à faire, c?est qu?il est bête comme une huître.
Pendant les minutes qui suivent, je le regarde systématiquement avec un sourire lorsqu?il tourne la tête vers moi. Il a vu ma revue : même s?il ne connaît pas, avec le mec en slip sur la couverture il n?y a pas de doute à avoir.
Je le sens troublé, il détourne la tête trop vite, trop nettement. Une douce chaleur envahi mon bas ventre. Quelque chose est en train de débuter.
Il change de position, pour se tourner un peu vers moi, mais toujours en détournant la tête. Le buste face à moi, les jambes écartées, je regarde intensément son entre jambe. Les coutures de son jean dessinent de belles courbes. Il me regarde enfin, je fais un petit signe de la tête, l?invitant à se mettre à côté de moi, puis je glisse contre la fenêtre.
Evidemment, il ne vient pas? pas tout de suite du moins. A l?arrêt suivant, il se lève et vient s?asseoir à coté de moi.
Il ne dit pas un mot et regarde ailleurs. C?est à moi de bosser on dirait.
Je colle ma jambe gauche contre la sienne. Je lui caresse le mollet avec le mien. Il retire sa jambe et se penche vers moi en disant avec un accent de banlieue prononcé « Attends, on descend à la prochaine, on trouvera un coin tranquille. »
Je bande déjà à fond et je me fais déjà des tas de films sur ce qu?on va pouvoir faire une fois à l?arrêt.
Le train ralenti et s?arrête enfin. La gare est assez vieille, je la connais et je sais qu?on peut s?isoler facilement.
Il se lève sans me regarder et se dirige vers la sortie. Je prends ma mallette et le suis. Une fois sur le quai, il se dirige vers la sortie et une fois sur la rue principale il se dirige vers un immeuble en construction.
Il connaît le coin, vue l?heure, il n?y aura personne.
On rentre dans le bâtiment qui sent encore le béton frais. Heureusement il fait déjà bon le soir.
Il monte un escalier et rentre dans une pièce se dirige vers un coin de celle-ci. Je pose ma mallette, ôte mon blouson et me dirige vers lui.
Je dirige mes lèvres vers les siennes mais il détourne son visage?
Il prend ma main et la pose sur sa braguette.
Il bande.
Je me mets à genoux, j?ouvre son pantalon et extrait sa queue circoncise de son caleçon vert. Immédiatement je la prend en bouche. Elle est de taille normale, le gland est plus large que la verge et est bien pointu.
Je bande moi-même comme un taureau. Il a une belle gueule d?ange, son jean largement ouvert me permet d?admirer ses cuisses solides et son ventre musclé.
Il me lime la gueule avec un plaisir évident.
« J?aime bien limer les pédés, vous sucez mieux que les meufs. »
C?est un encouragement, j?avale au plus profond sa queue.
Il prend ma tête à deux et imprime un rythme régulier aux va et vient.
Soudainement il plaque mon visage à fond contre son ventre et ne bouge plus.
Je sens quelques contraction dans son ventre, puis viens le goût familier et vaguement amer. Il retire sa queue de ma bouche, un goutte de liquide blanc perle de son gland sombre.
« Avale? C?est de la bonne? »
J?ouvre la bouche pour lui montrer? Je fais tourner le sperme sur ma langue, lentement. Il m?en a mis une bonne dose. Après quelques secondes, j?avale avec plaisir sa sève. Je reprend sa queue et passe ma langue sur son gland, il ne faut pas en perdre.
« Ca fait du bien. Tu suces bien. Demain même heure même endroit. ok ? »
« Pas de problème, avec plaisir. »
Le lendemain, je ne le vois pas dans le train. Ayant prévu le coup, j?ai laissé mes affaires au boulot, je voyage plus léger.
Je descend du train et rejoint l?immeuble. Je retrouve facilement la pièce. Il est déjà là, même tenue qu?hier. Toujours aussi craquant.
« C?est cool d?être venu. »
« Je ne refuse jamais l?invitation d?un beau mâle comme toi. » lui dis-je avec un grand sourire.
« Hier j?ai senti que t?étais encore bien chaud après m?avoir sucé. Je t?ai réservé une petite surprise. »
Mon sang se fige. Je me sens pâlir, ca sent le piège à plein nez.
« Venez les mecs. T?inquiète, tu vas aimer, je suis réglo. »
C?est alors que quatre mecs entrent dans la pièce. Tous bien bronzés, look survêt ou jean/baskets.
« Alors, vous le trouvez comment ? » leur demande-t-il.
« Bah ca va. S?il suce aussi bien que tu le dis, ca va aller. » dit un grand maigre.
Le plus petit, l?air teigneux, dit
« On pourra lui faire le cul aussi ? »
« Non, en tout cas pas s?il n?est pas d?accord. » répond mon beau piégeur.
Finalement, s?ils se contentent de se faire sucer, ca peut être une bonne affaire car ils sont plutôt mignons et bien foutu. Je commence à me détendre.
Histoire de reprendre un minimum d?initiative je lance à la cantonade :
« Qui veut être le premier ? »
Le petit teigneux, sans grande surprise, se dirige vers moi, me repousse dans un coin et, tournant le dos à ses copains, baisse son survet. Je me mets à genoux.
Je comprend pourquoi il a préféré tourner le dos à ses potes : sa queue est d?une taille assez faible. Petit diamètre, courte, il me l?a fourre en bouche rapidement.
« Vas-y suce moi salope. » dit-il plus fort que nécessaire.
Avec force gémissements et insultes, il fini par jouir au bout de quelques secondes.
Ejaculateur précoce avec ça, je me dis et je ne peux réprimer un sourire condescendant.
Il le voit et après avoir remonté son survêt, il me gratifie d?une claque retentissante.
« T?as raison Morad, il suce bien. Je me viderais bien les couilles tous les jours dans sa gueule. »
Sous le regard de ses potes, il quitte la pièce l?air satisfait.
L?un des types que Morad a invité dit tout bas
« C?est sûrement la première fois qu?il jute sans se branler? » et les autres partent d?un rire entendus.
Un deuxième mec s?avance vers moi. Il est un peu plus grand que le précédent, le nez un peu de travers, probablement le souvenir d?un vieille bagarre. Il porte un jean hyper fashion, très délavé avec de nombreuses pièces et un débardeur moulant rouge et des lunettes de soleil gris argenté quasiment transparentes.. Comme un chasseur arrivant sur une proie piégée, il me regarde avec un sourire extrêmement sûr de lui.
Il se penche vers moi et me donne un rapide baiser sur les lèvres. Je suis un peu surpris mais ca me va bien.
Il me glisse à l?oreille :
« tu vas bien aimer la mienne? »
Apparemment ils craignent tous plus ou moins la comparaison que je pourrais faire entre eux. C?est bien les hétéros toujours la peur d?avoir une plus petite bite que les autres.
Il se redresse et me regarde à nouveau dans les yeux pendant qu?il ouvre son jean. Il porte un boxer banani. Je ne peux m?empêcher de penser qu?il n?est peut être pas aussi hétéro qu?il ne veut bien le laisser croire.
Il sort alors une bite de bonne dimension avec un gland bien gonflé et doté d?un large méat. Très doucement il attire ma bouche sur son gland. Je commence par passez la langue sur la pointe de son gland et je redescend tout le long de la verge jusqu?à ses couilles. Il relâche sa pression. Il se laisse aller.
Je lèche alors ses couilles tout en massant ses petites fesses fermes. Je remonte ma langue sous sa queue qui repose alors sur mon nez? et j?avale son sexe qui mouille déjà.
De ma main droite j?exerce une pression soutenue sur la base de son membre et je masse avec insistance son frein et son gland avec ma langue. Il pousse un soupir de plaisir, non feint. Je me met alors à le pomper rapidement, de plus en plus vite. Je sais qu?il n?est pas loin du plaisir.
Il retire alors son sexe de ma bouche et se penche vers moi et me demande :
« Je peux jouir dans ta bouche ? »
En guise de réponse, j?attire ses hanches vers moi et avale à nouveau son sexe. Il se penche légèrement en arrière et m?offre son sexe. Je le branle un peu en lui léchant le gland.
J?entends sa respiration qui accélère, je reprends alors la suce à fond. En quatre aller-retour il explose dans ma bouche. Son sperme est doux et sucré. Il déverse une quantité appréciable de jus, un vrai nectar. En sueur il se penche vers moi et dépose un baiser sur mon front. Il retire son sexe de ma bouche et le presse pour en sortir les dernières gouttes qui tombent sur ma langue.
M?adressant un clin d??il, il se tourne vers Morad et dit :
« T?es drôlement bien tombé. T?es cool de partager. »
« C?est normal » répond Morad.
Le suivant s?avance. Survet blanc adidas, requins, foulard sur la tête et casquette, il a le look parfait de la petite racaille. Avec sa démarche particulière, il se présente face à moi. Je suis toujours à genoux. Il est fébrile, ca se voit, pas forcément très à l?aise. Je lui adresse un sourire mais il n?y réagit pas.
Il se contente de se planter face à moi, jambes légèrement écartées sans même me jeter un regard.
Je fais alors glisser doucement son pantalon de survet sur ses cuisses et descend son caleçon. Il ne bande pas.
Apparemment ca ne le branche pas trop de se faire sucer par un mec, à moins que ce ne soit parce que ses potes sont là.
Je me rapproche alors de son entre jambe et prends sa queue en bouche. J?effectue quelques passage au long de sa queue, en l?aspirant pour la faire grandir. Ca ne marche pas très bien. Il est moins mou, mais n?est pas franchement en train de bander. Je prends ses couilles en bouche pour l?exciter. Bof, pas franchement de résultat.
J?essaye un dernier truc. J?avale à nouveau sa queue et fais tourner ma langue dessus. Dans le même temps, je passe mes mains doucement sur ses fesses? je les fais redescendre sur le haut de ses cuisses et délicatement je fais pénétrer mes doigts entre ses fesses. Mon majeur droit viens masser délicatement sa rondelle. Même s?il a un mouvement de surprise, mon petit lascard se met à bander rapidement. Je ne suis pas sûr qu?il se doutait pouvoir être excité par ce genre de manipulation. Pour éviter qu?il se braque, je retire rapidement mes mains et je m?applique à lui pomper la queue. Apparemment soulagé de bander, il devient plus entreprenant et me repousse contre le mur. Il me lime alors consciencieusement en rythme. Il prend ma tête entre ses mains pour la maintenir et enfonce sa queue à présent raide et bien droite dans ma bouche aussi profond qu?il peut.
Ses poils pubiens sont assez courts et frisés, ils me chatouillent le nez alors que sa queue percute le fond de gorge. Après quelques secondes, il se retire et se branle rapidement jusqu?à se faire éjaculer. Bouche grande ouverte, je récolte la sève de ce jeune mâle qui vient de découvrir que son anus peut lui procurer bien des plaisirs?
Le dernier invité de Morad est un grand maigre. Au moins 1m90 pour à peine 70 kilos suivant mes estimations. Il porte un pull gris et un diesel noir délavé. Il semble assez intéressé par la séance qui vient de se passer. Pendant que son copain se rhabille, il vient près de moi et s?adosse au mur. Jambes légèrement écartées, il fait face à ses potes. En examinant de plus près, je vois une bosse très prometteuse sous le jean. Je pense qu?il est bien proportionné.
Pendant qu?il me caresse les cheveux, j?entreprends de lui enlever sa ceinture. Puis ce sont les boutons de sont jean que je défais rapidement. Jean sur les chevilles, seul le slip HO1 noir qu?il porte me sépare de sa gigantesque queue. J?ai une certaine habitude des queues et je pense qu?il est doté d?un engin comme j?en ai rarement vu. Je lèche tout d?abord son slip? histoire de me faire une idée. Je lui mordille la verge à plusieurs reprise sur toute sa longueur. C?est alors que je lui abaisse son slip qui tombe sur ses cheville.
Un membre énorme, 23 centimètres au moins, large de 7. Sa section est rectangulaire. Je n?aimerais pas trop me la prendre dans le cul celle là. Je saisi alors la base et l?abaisse vers ma bouche. Elle rentre tout juste, ma bouche est bien pleine. J?avale une bonne dizaine de centimètres mais il en reste autant dehors.
Je kiffe à fond, il est vraiment mon type de mec. Je le branle tout en lui suçant le gland. Ses couilles pendent bien et sont volumineuses. Je les prends en bouche pendant que je le branle. Il a les yeux fermés et semble apprécier mes man?uvres. Après quelques minutes, il se retire et se penche vers moi :
« J?ai pas envie de jouir. Je me garde pour ma moeuf. »
« Tu t?es fais plaqué y?a un mois » lance Morad « tes couilles vont exploser à moins que tu ne te branles tous les jours » et il se met à rigoler accompagner des deux autres.
« Si je jute je vais le noyer. »
« Vas-y te gêne pas, regarde il ne demande que ça ! »
En me regardant à nouveau, je vois dans ses yeux qu?il se décide.
Il baisse à nouveau sa queue et l?enfourne dans ma bouche. Il se branle pendant que je lui suce le gland.
Avec un grognement il se met à déverser dans ma gorge une quantité incroyable de sperme. Il n?a pas du se branler depuis des semaines ! Il crache au moins 10 jets. J?ai la bouche complètement remplie. Je n?ai jamais autant de sperme en bouche avec un seul mec ! J?avale en trois fois tellement il y en a. A ma grande surprise, sa queue reste raide et je le vois en train de continuer à se branler.
« T?y prends goût hein ! »
Les autres sont hilares mais lui ne réagit pas, il continue à s?astiquer le chibre.
Ca prend à peine deux minutes avant qu?il ne se fasse à nouveau juter. La quantité de sperme est moins importante mais serait tout à fait honorable pour un autre mec normal. Je fais de nouveau rouler le sperme dans ma bouche et fini par l?avaler.
Je dépose un bisous sur son gland pendant qu?il se rhabille.
Je me relève, mes genoux me font mal. Mes lèvres sont brûlantes mais j?ai un stick dans mon blouson.
Je me tourne vers Morad et je lui demande :
« On fait quoi maintenant ? »
« Tu vas me sucer à présent mais on va faire ca tous les deux. » Les trois autres comprennent et quitte la pièce en me félicitant pour mes services.
Une fois seul, Morad me repousse contre un mur. A ma grande surprise il presse ses lèvres contre le miennes et nos langues se mêlent. Il prends mes fesses à pleine mains et se presse contre moi. A mon tour je l?enlace en n?osant à peine croire à la tournure des événements.
« J?ai envie de te prendre? » me dit-il.
« Moi aussi tu sais j?aimerais te prendre. »
Il me regarde surpris.
« Je? je sais pas. Je suis pas pédé. » dit il d?un ton piteux.
« Tu verras, c?est cool, tu aimeras. »
Je défais le premier bouton de son jean et je fais sauter d?un geste rapide les autres. Je glisse alors mes mains sur son dos et le retourne pour que ses petites fesses protégées uniquement par son boxer DIM noir se retrouvent plaquée contre ma queue raidie. Mes mains sont sur son ventre. Ses abdos sont contractés, il n?a pas un poil de graisse. Il est imberbe aussi.
« Attend? non? Je veux pas? » Dit-il faiblement.
« Pas très convaincant » lui dis-je avec un sourire.
Je fais glisser mon pantalon à terre ainsi que mon slip.
Ma queue s?insère dans la raie de ses fesses. Le tissus de son boxer donne à ce contact un coté très agréable.
« Tu me dois bien ça après tout. »
Il ne dit rien? Il est toujours contracté, mais n?oppose pas de résistance.
Passant mon bras gauche sur son ventre pour l?empêcher de partir, je fais glisser de ma main droite son boxer.
A présent ma queue est dans sa raie. Elle est chaude et humide. Avec un peu de salive, je commence à masser son anus. Celui ci est très contracté comme je pouvais m?y attendre.
« Détends toi, c?est très agréable tu verras. »
Il tente vaguement de se retirer de mon étreinte mais je le retiens.
Adossé au mur, je le maintiens un peu plus fermement. Mes doigts se sont frayés un chemin au travers de son petit trou vierge.
Changeant de bras pour le maintenir, de ma main gauche je présente mon gland à l?entrée de son cul.
Il se contracte à nouveau. Mais la salive fait son office.
Millimètre par millimètre je fais pénétrer mon sexe dans ce corps de rêve. Je sens la chaleur de son corps entourer mon sexe. Il n?oppose plus aucune résistance. Ses fesses finissent par se plaquer sur mes hanches. Je suis à fond en lui.
Je reste quelques secondes ainsi pour lui laisser le temps de s?habituer.
Sa queue s?est un peu ramollie.
Il transpire, moi aussi.
Je le fais se pencher légèrement en avant.
Et je commence doucement à le limer. Doucement et tendrement, je veux qu?il garde un bon souvenir. Ma queue glisse aisément à présent. Avec ces préliminaires je ne suis pas long à sentir le plaisir monter du fond de mes couilles.
« Je vais jouir » lui dis-je.
Son sphincter se contracte involontairement.
« Ne jute pas dedans s?il te plait? » Son ton est implorant.
« Tu ne m?as pas demandé mon avis pour tes potes? »
« Non s?il te plait? »
Je continue mes aller-retour.
« Ca va venir »
Il ne dit plus rien? je palpe sa queue : il bande à fond à présent. Il prends son pied, sa queue dégouline de liquide.
« Je vois que tu aimes? »
« Oui » dit-il faiblement.
Je me mets à le branler doucement.
Je regarde à nouveau ce beau petit mec planté sur mon pieu, son jean sur les chevilles et je me dis que j?ai beaucoup de chance.
Je ne tiens plus.
« Ca va sortir? » dis-je en relâchant mon étreinte sur lui.
Au lieu de s?éloigner, il prend mes fesses à deux mains et les rapprochent des siennes.
J?explose alors de plaisir en lui. Je sens mon sexe se raidir à plusieurs reprises et cracher son jus.
Je m?effondre sur lui, ma queue toujours plongée en lui.
Il se dégage doucement et se retourne vers moi. Je vois que son visage est baigné de larmes.
« Pourquoi tu pleures ? »
« J?ai pris trop de plaisir? Je pensais pas que j?étais pédé. »
« Tu es peux être bi simplement. Et puis tu sais, ça fait partie de la nature. » Ces arguments sonnent faux à mes oreilles. Je sais bien que ca ne rassure personne ce genre de discours.
« En tout cas personne n?en saura rien, t?inquiète. »
« Merci » dit-il en venant se blottir dans mes bras.
Sa queue encore raide se glisse contre mon ventre.
« Tu veux me prendre ? »
« Oui »
Je me tourne et lui présente mes fesses.
D?un geste maladroit, il enduit ma rondelle de salive puis enfonce d?un coup sa queue.
Je me contracte de douleur. Il n?est pas très doux et je ne m?attendais pas à ce qu?il rentre si vite, sans préparation.
La douleur pulse un long moment?
Je ne sens pas vraiment ses premiers coups de bite.
Puis mon corps s?habitue et sa queue est douce en moi. Il me baise en rythme, assez rapidement.
Je sens qu?il s?habitue à mon cul. Je pense qu?il a déjà dû prendre des filles de cette manière. Il me tient par les épaules et son étreinte est assurée.
Après quelques minutes il pousse un long râle de plaisir et je sens mes fesses se remplir de liquide.
Il se retire immédiatement.
Avec un grand sourire me caresse le ventre? Et puis il m?embrasse, un vrai baiser long et doux.
Nous sommes là, face à face, enlacés, nos jeans sur les chevilles et nos corps repus de plaisir.
En nous rhabillant, nous avons échangés nos téléphones.
A présent, nous faisons l?amour chez moi, très souvent.
mes récits sont tous REELS mais si j'écris avoir été FECONDER c'est JUSTE POUR EXCITER LES LECTEURS.............Dans la réalité des faits ce fut AVEC CAPOTE que je fus sodomisé, à chaque fois, sauf avec mon premier, René: j'avais alors 14 ans, lui 31 ans, et cela dura 6 années, toujours le mercredi entre 17 h et 21h (j'étais interne à cette époque) Eric , policier à Liège depuis juin 1999 (né en mai 1982, habitant Liège de janvier 1995 à fin juin 2002...........mtnt chez mon fiancé lui aussi est natif de Mons)
supert ton histoire meme ci c'est du fantasme mais en tout les cas cela ma fait bander tout le temp de la lecture encore bravo et ci tu a autre fait moi signe
je ne sais pas si cette hsitoire est réelle mais en tout cas si elle l'est c ke tu est taré de ne pa t'etre protèger.
donc moi avec les risques qui courrent de nos jours le fait que tu te soi pas protégé me fait dire que ton histoire n'est juste que le fruit de ton immagination enfin histoire trés bandante
54 ans et j'ai bien bandé en lisant cette histoire moi qui ai peu de relation homo car c'est pas très facile sur le 24.
J'espère seulement que tu savais qu'il était sain..
Ton histoire est bien bandante. Mais c vrai que l'histoire de la kpote c moyen. Mais bon j'espere que les personnes qui lisent ses lignes savent ce qu'il faut faire pour ne pas jouer avec leur vie. Ecris nous des histoires encore comme celle-là, c tres bien pour allé se coucher apres.
C'EST VRAI QUE TON HISTOIRE EST TRES BANDANTE MAIS C'EST DU MYTO.... POUR AVOIR U BEAUCOUP DE RELATIONS AVEC DES KAILLRA JE PEUX TE DIRE QU'ILS N'UTILISENT PAS CE LANGUAGE OU NE REAGISSENT PAS COMME CA ON SE CROIRAIT DANS "LA PETITE MAISON ...DANS LA CITé" ET LA REACTION DE MORAD A LA FIN QUI NE VEUT PAS KE LE FAIT KIL SOIT "BI"SOIT REVELE ALORS KIL A DIT DEVANT SES POTES KIL VOULAIT TE SUCER.... EN TOUS CAS JE NOUS SOUHAITE A TOUS UNE HISTOIRE PAREILLE MAIS DANS LA REALITE !!!!
NICO