Mon histoires ce passe en 1965 j'avais alors 14 ans j'habite la ville et ne connaissais rien a l'amour ni avec une fille car nous n'étions que des garçons dans la famille, ni avec les garçons car je ne voyais que mon frère plus que moi donc rien à voir, ni à espérer.
Je serais resté innocent si j'étais resté en ville, bourgeoise de la banlieue ouest de paris.
Mes grands parents ont vendue leur maison en région parisienne pour en acheter une en province, dans un coin retiré de tout il fallait faire 5 Km pour le pain ou le journal et 15 Km pour espérer avoir le reste.
Je fus invité à passer mes vacances scolaires.
Oh je ne fus pas triste car pour moi ma grand-mère était plutôt comme ma mère.
Donc je pris le car à la porte de paris puis après quelques heures de route ennuyeuse.
Je débarquais dans une bourgade de province à la tombée de la nuit, mon grand-père était là pour m'accueillir, me fis la bise puis me dit de prendre mon bagage et de la suivre jusqu'à sa voiture garée plus loin. Oh! La voiture une 2cv grise. Et rebelote un parcours de plus minutes presque une heure. Eh là la nuit était vraiment tombée. Il s'arrêta devant un portail de bois me demanda de l'ouvrir. Et une fois sa voiture passée de le refermer. Il gara sa voiture devant un garage au bout de la maison pris le soin de rentrer, sa précieuse voiture, à cette époque tout le monde ne pouvait pas se permettre d'avoir un véhicule automobile comme on disait dans ce temps là.
Une lumière me montra le chemin de l'entrée de la maison, ma grand-mère sur le pas de la porte m'accueillie en me faisant un câlin comme du temps ou j'était tout petit (elle 1m49 et moi 1m70) cela devais être comique mais je m'en foutais elle était ma grand-mère.
Mon grand-père arriva et dit à table tout le monde. Il s'assit et redit bon appétit a tous. Il mangea sa soupe bu un verre de vin et à la fin du repas nous dit je vais me coucher bonne nuit a vous. Oh les paroles n'étaient pas nombreuses de sa part, il fallait s'en contenter. Ma grand-mère me montra ma chambre, il fallait sortir du bâtiment principal de la maison (une ancienne ferme avec un grand verger derrière) et un petit bâtiment avec de la terre battue au sol en guise de plancher, un poêle à bois le long du mur à coté une porte en bois rustique à coté, un petit couloir une autre porte et une chambre en contre bas il fallait descendre trois marches et là une chambre de dix mètres de long et de quatre mètres de large pour moi tout seul, là aussi un poêle à bois trônait au centre de la chambre, un seau avec des morceau de bois à coté.
Ma grand-mère me dit alors ton royaume, te plait il ? la chambre est pour toi tout seul.
Tu t'en occupe, tu me donne tes draps une fois par semaine et ton linge deux fois, tu nettoie ta chambre et tu t'occupe de la chauffer le bois et juste là au pieds de la fenêtre, pour les cendres il y a un tas derrière la maison à coté des toilettes, pour la nuit il y le seau là avec le couvercle, tu ferme ta porte à clef personne n'y viendra sauf toi.
Là-dessus elle me fit la bise me dit bonne nuit et me laissa seul dans mon nouveau domaine.
Je fit le tour de mon nouveau château, grand en surface mais pas grand-chose une table une chaise, contre le mur une petite table avec une cuvette et un seau d'eau pour la toilette, un grand lit, pour il me paraissait grand il faisait en fin de compte 1m30 de large haut plus haut que les lits que je connaissais. Et une armoire avec une glace sur les portes face au lit. Je pris ma valise la posa sur une chaise l'ouvris et rapidement en tirais un pyjama, me dévêtis et enfilais le dit pyjama et me glissa dans le lit.
Je m'endormis comme un loir, le froid me réveilla dans la nuit vite je compris que j'avais oublié de charger le poêle, quelque morceau de bois et je me rendormis jusqu'au matin.
Vous aller me dire que fait il à écrire une histoire pareil dans un site d'histoire érotique gay
Si vous êtes pressés alors allez voir ailleurs car moi j'ais mis quarante ans à pouvoir écrie cette histoire alors vous avez bien cinq minutes pour vous situer dans le contexte de mon époque.
Et si la littérature homo : il sonne il entre me déshabille m'encule se vide dans mon cul m'embrasse se rhabille et s'en vas vous plait alors allez voir ailleurs.
Je me lève me lave (enfin je me mouille le visage les oreilles pour le reste on verras plus tard), m'habille de vêtement propre pris dans mon bagage et je me dirige vers la maison principale. En sortant je frisonne nous somme au printemps et le matin est encore frais, matin pour moi parisien mais pour les gens de la campagne il est déjà tard. J'entre dans la cuisine sur la table un grand bol et des tartines beurrées m'attendent, ma grand-mère me demande si j'ais bien dormi et me fait la bise du matin.
Je lui réponds que j'ais dormis comme un loir des villes.
Elle sert un bol de lait chaud et y ajoute du chocolat en poudre et me dit bon appétit, quand tu auras fini de prendre ton petit déjeuner tu lave ton bol et tu passe un coup sur la table et tu peux visiter la maison et ses environs jusqu'à midi pile car ton grand-père déteste comme tu le sais de manger en retard malgré qu'il soit à la retraite depuis plus de quinze ans.
Je lui répondis que j'étais d'accord avec son programme. Elle me lorsque je quittais la maison si tu veux tu peux aller à la maison là-bas s'est la ferme on nous nous servons pour le lait et le reste des produits du coin il on un fils de ton age tu pourras t'en faire un copain par contre si tu reste plus longtemps viens nous le dire. (elle voulait me dire que si les gens m'invitaient à manger que je pouvais le faire si je les prévenais avant midi, car ou il était avant souvent je manger chez les voisins qui était nos amis)
Je pris donc la matinée à tourner et à virer dans et autour de la maison, comme n'il était pas loin de midi je suis revenue vers la maison pour être à l'heure pour le déjeuner.
Quand j'entrais dans la cuisine il était midi moins cinq mon grand-père ce lavait les mains, alluma la radio sur Radio Luxembourg (RTL), et s'assit à sa place le repas ce passa comme tout les repas avec eux sans une paroles autres que celles demande de : passer le pain, sel ou autres choses. Le bon appétit avant de manger et le bon après midi ou soir. Ma grand-mère me dit vas je ferait la vaisselle tu n'ais pas en vacances pour travailler. Donc je partis en direction de la ferme pour essayer de voir le garçon de mon age pour voir si nous pouvons devenir copain.
Lorsque j'entrais dans la cour de la ferme je fus accueillis par premièrement le chien qui heureusement était attaché par une grosse chaîne, et deuxièmement par un jeune garçon plus grand que moi presque 1m80 la peau brunie par l'air de la campagne les cheveux blond mi-long et mal peignés. Il était vêtu d'un short en velours côtelé marron, et d'un pull à grosse manche vert et aux pieds des godasses à peine lassées comme les garçons de maintenant.
Il viens vers moi me tendant la main et me dis : " salut moi sait Ludovic appelle moi Ludo comme tout le monde" je lui rendis sa main qui était chaude et vigoureuse et lui je lui dis :" bonjour je m'appelle Jean Frédéric et ma famille m'appelle Fred".
Il me repris la main et me viens nous allons visiter la ferme de mes parents.
Moi je n'étais vêtu que d'un short en toile bleue et un sous pull rouge et au pieds des tennis basse.
En me détaillant des pieds à la tête me dit il vas falloir que tu te change car comme cela tu vas avoir froid, bouge pas je vais voir ma mère lui demander quelque chose. Il partit en courant en me laissant sur place, revint cinq minutes après en disant viens ma mère ma dit de te donner des affaires plus chaudes à moi. Donc nous allons d'abord commencer par visiter ma chambre, je le suivis on entra dans sa chambre par la fenêtre. Il me dit que dans la journée il le faisait tout le temps et me fis voir que si je venais et que je n'était pas dans la cour ou bien chez moi avec mon grand-père qu'il considérait comme le sien, il était dans sa chambre et que je pouvait entrer chez lui de jour comme de nuit par la fenêtre car il ne la fermait jamais à clef.
Sa chambre n'était pas grande mais elle paraissait encore plus petite car il y avait des affaires partout des jeux des choses hétéroclites. Il fouilla dans son antre, me trouva un short comme lui en velours côtelé et un pull en laine chaude marron, pour les chaussures ce fut plus compliqué car il n'en avait qu'une paire, aussi on trouva une solution une paire de boute de caoutchouc noir et crotté. Comme je le regardais pour me changer il me dit prends ton temps je vais chercher à boire. Et pendant qu'il fut partit je me déshabillais rapidement,oh je n'avais pas grand-chose à ôté ni à remettre mais quand même je pris mon temps. Tant et si bien que quand il arriva j'étais en slip devant la glace de sa chambre avec le pull sur les bras la tête enfilé le ventre à l'air. Il me contemplait sur le pas de la porte. Bas dit donc me dit il t'en mets un temps pour enfilé un pull et un short. Je deviens rouge sous le pull car je compris qu'il me voyait presque nu juste mon petit slip. Et lorsque je fis réapparaître ma tête il compris ma honte oh tu sait j'en vu d'autre des garçon tout nu il sont fait comme moi et puis on à le même age alors on est fait pareil. Je, je, bredouillais je s'est là première fois que je suis en slip devant quelqu'un même si tu as le même age que moi je n'ais jamais vu d'autre personne que moi tout nu lui dis je. Oh tu sais tu en verras d'autre ici car nous à la campagne on se promène souvent tout nu dans la foret, avec les copains du coin tu verras on si habitue très vite.
Je vais te faire voir que je ne suis pas plus ridicule que toi tout nu. Et aussitôt dit aussitôt fait le voilà comme moi en slip (plus que douteux) et le voila qui retire aussi son pull pour se retrouver torse nu et rien que le slip. Alors me dit il quand pense tu es ce que je suis plus nul que toi comme cela ? Non lui répondis je car toi tu es bronzé hors que je suis tout blanc comme un poireau. Enlève ton pull me dit il pour voir la différence de couleur de peau. Sans honte j'enlevais le pull qui m'avais si caché. Et me voilà comme lui en slip devant la glace à nous regarder qui serais le plus bronzé de peau. Puis il me dit que malgré que je suis plus petit que lui ont s'étaient mesuré dos à dos. Que j'avais un plus gros paquet que lui ? je fit la moue et comme je ne répondais pas il me montra la bosse de mon slip et la sienne il s'approcha même. Presque à nous toucher slip contre slip lui avançant le ventre pour mettre la poche de son slip au plus près du mien. Regarde me dit il je suis aussi blanc que toi je suis sur sous le slip ? Comme je ne bronchais pas et même que je rougissais il s'empara dès deux élastiques de nos slips et les tira vers le bas. Je vu alors pour la première fois le zizi de quelqu'un d'autre. Rouge non je ne l'étais plus je devais être presque écarlate j'avais les joues qui me brûlais tellement je devais être rouge de honte qu'il voit mon petit zizi.
Alors il pris les devant je comprends me dit il s'est la première fois que tu te trouve tout nu devant quelqu'un d'autre? Oui parvins-je à lui répondre!! Ne t'en fait pas je vais te montrer comme on fait entre copain (pote maintenant).
Il me pris le slip et le descendis jusqu'à mes pieds me fis lever un pieds puis l'autre et le jeta sur le tas de linge dans un coin de sa chambre. Puis il me pris les mains les mis sur le coté de son propre slip et me dit de faire comme pour moi de le retirer de le juter sur le tas de linge.
Je fis descendre le slip long de ses jambes mais je dus me mettre à genoux pour le faire passer par ses pieds et je me retrouvais avec le nez juste à coté de son sexe je ne prêtais pas attention à cela mais lui oui il viens coller le bas de son ventre a ma bouche et à mon nez.
Se fut la première fois que je sentis l'odeur d'une quequette oh elle n'était pas bien grosse mais elle avais déjà ce parfum envoûtant qui me fais craquer maintenant. Un fois nu il se tourna devant moi toujours à genoux devant lui pour bien me montrer tout son attirail comme il disait.
Il me dis de m'asseoir sur le lit et me fis relever les pieds et les poser sur le bord sous les fesses, il se mis à genoux devant moi et m'écarta les cuisses au maximum il avait le nez juste devant mon engin qui était toujours au repos car je n'avais jamais joué avec je ne savais rien absolument rien là-dessus par contre je devait pendant ses vacances en apprendre.
Il me respira tout abord en passant et repassant au dessus de ma bébête. Elle ne bougeais toujours pas aussi il pris l'initiative de la prendre dans sa main cela ma fais tout drôle dans le ventre de sentir cette main sur un sexe il le caressa doucement. La passant et la caressant de haut en bas et de bas en haut. Puis de l'autre main je sentis qu'il me prenait mes petites boules qu'ils les faisaient tourner dans leur sac avec ses doigts. Je ne disais rien me contentant de regarder ce qui m'arrivait. Je voyais cela comme si on le faisait à quelqu'un d'autre que moi sauf que cela me faisait des choses dans le ventre, des ondes agréable montais de mon bas ventre jusque dans ma poitrine. Cela deviens plus fort encore lorsqu'il fit glisser la peau de mon zizi vers le bas et que je sentis pour la première fois le froid sur la tête de mon engin qui était toujours mou mais je pense qu'il n'allait pas le rester longtemps. Oui il fit glisser la peau de mon zizi vers le bas puis vers le haut et cela plusieurs fois et de plus en plus vite.
S'ait bon me demanda t il ? Oui je lui répondis dans un souffle je commençais à sentir que quelque chose se passait dans mon bas ventre ma quequette avais doublée de volume je voyais ses doigts s'agiter dessus et étant au dessus je sentais comme une douce odeur de musque me parvenir. J'étais de mieux en mieux je me sentais flotter des ondes de bien être montais de mon ventre mon zizi commençais à me faire mal et je lui dis il me dis que comme s'était la première fois la pompe n'était pas encore amorcer et que ma queue était trop sèche qu'il fallait qu'il remédie à cela je le vis ce pencher sur mon zizi le prendre en bouche, alors là je deviens fou de plaisir je me ruais dans sa bouche en lui enfonçant mon engin jusque dans le fond de sa gorge. Il me pris par les hanches et me força à ma coucher sur le dos sur le lit. Et il me suça pendant un long moment. S'était tellement agréable que je ne sentis pas venir la fin mes boules se sont rétractées mon ventre ses contracté, et d'un seul coup je sentis quelque chose monter de mon ventre de se ruer dans mon engin et de sortir en saccades une puis une deuxième puis une troisième. Et cela se calma je suis tombé à plat dos sur le lit anéantie comme si j'étais tombé dans les pommes.
Alors Fred me dit il comme trouve tu cette première fois ?
Je ne sais pas ce que tu ma fais mais s'étais si bon que j'ais failli tomber dans les pommes.
Non tu n'est pas tombé dans les pommes tu seulement joui me dit il.
Tu sais s'est la première fois que je vois mon zizi dur et droit comme cela et s'est la première que je vois quelque chose ou plutôt senti quelque chose sortir de mon zizi.
Es ce que tu pourrais me montrer comment faut on cela Ludo Svp ?
Oh mais bien sur mais il ne faut pas allez trop vite on as toutes les vacances pour cela.
Si tu veux tu peux jouer avec le mien de zizi me dit il.
Ok lui dis je comment fait on ?
Il se plaça sur le bord du lit comme moi tout a leur sauf qu'il s'allongea directement sur le coté
Me dit de mettre ma tête sur sa cuisse et de prendre en main son engin qui n'était plus du tout mou il était raide et dur j'avais du mal à en faire le tour avec ma main sa peau était douce et chaude il s'en dégageais une douce odeur comme tout à l'heure la mienne, hum!! Comme s'est doux et agréable lui dis je. Je sentis sa prendre la mienne par dessus et de me montrer le geste convenable. Je descendais la main le long de son engin je voyais sa tête énorme avec sa fente en son milieu, une collerette qui fait le tour de cette tête, et comme j'avais compris le mouvement il repris l'autre main pour me la poser sur ses boules velues et douces que c'était bon aussi de sentir entre mes doigts ces balles chaudes et duveteuses. Il me dit de lui faire des bisous sur le dessus quand la peau était en bas et de lécher quand elles remontaient pour ne pas que je fasse trop chauffer. J'eus envie de faire comme lui de la mettre dans ma bouche aussi je m'approchais de la tête et quand je lui faisais un petit bisous dessus il donna un coup de rein qui fit entrer la moitié de son engin dans ma bouche. Il fit lui même les mouvement de vas et viens j'eus la totalité de son énorme engin dans la bouche jusque dans le font de la gorge. Mum! Que c'était bon de sucer un bel engin comme cela. Il arriva ce que devait arriver et comme je ne savais rien je ne pris pas garde je reçu tout dans la bouche, de longue saccade j'avais la bouche pleine de son jus il se retira j'allais cracher dans ma main non me dit il ne faut pas la première fois il faut faire une v?ux. Il m'embrassa à pleine bouche il me fit pénétrer sa langue dans la bouche il visita ma bouche comme il avait visiter mon zizi.
Puis me lécha la figure en me disant que s'était bien même très bien pour une première fois.
Je le pris dans mes bras et le serrais comme si j'avais envie d'entrer en lui.
Il me dit il faudrait peu être se lever et aller ce promener un peu? Ok lui dis je. Ou vas t on ?
J'enfile mon slip son pull et son short puis les bottes. On est vraiment pareil à part la taille de 5 cm de plus sinon tout les manches un peu longues, le short aussi les jambes du short son un peu larges et j'ais comme des courant d'air sur le coté. Je lui dit il ce penche pour voir et glisse sa main pour vérifier et touche alors ma quequette à travers mon slip.
Et nous voilà parti nous avons fait le tour de son domaine une grande ferme pleine d'animaux et de terrains de granges on nous allons bien jouer à cache-cache ma t'il dit.
Il me dit aussi que le bas derrière il y avait un étang qui servait l'été de piscine et que comme dans le coin nous n'étions pas nombreux à pouvoir y aller, la plus par du temps avec les amis et les amies qui viennent chez lui on ce baigne tout nu tous ensemble garçon et filles.
Puis nous avons été jusqu'à chez moi, en passant je dis bonjour à ma grand-mère lu aussi elle nous demande si cela vas comme on veux? Pour le mieux nous lui répondons d'un commun accord. Je vais lui montrer ma chambre dis je à ma grand-mère pas de problème répondit celle-ci profite en pour faire aérer. Ok je lui réponds.
Nous entrons dans le bâtiment, il es impressionné par le fait que je puisse avoir la clef et que personne n'y entre. Je lui dit que ma grand-mère ma dit que si je faisais pas le rangement ni le ménage ce n'est elle qui le ferait car c'était mon chez moi. Nous entrons et je referme la porte
Pourquoi me demande t il? Parce que nous allons sortir par la fenêtre comme chez toi.
Et comme je ne la fermerais pas tant que je serais en vacances si tu voilais venir dormir avec moi tu n'aurais qu'à cogner et entrer. Ok pas de problème tu me verras venir. J'aimerais bien passer une nuit entière avec quelqu'un.
Je lui demande tu as déjà fait l'amour avec quelqu'un ?
Oh!! Non me dit il juste comme aujourd'hui avec toi et si une fois avec une fille on s'est toucher le zizi ensemble mais elle à crié que je lui faisait mal alors elle est partie et je ne l'ais jamais revue par ici.
Ce soir je me couche et puis je viens te rejoindre un peu plus tard par contre il faut que je rentre avant 6 h 00 demain matin car je vais avec mon père traire les vaches.
Ok donc quand tu viendras on mettra mon réveil pour 5h30.
L'après midi ce poursuivis comme il avait commencé on à joué par ci par là. Il ma fait découvrir des choses que lui seul connaissait par ici. Il me montra tous ses secrets de garçons. Ses amis animaux.
La journée me parue longue je dînais avec ma famille puis j'ais été me coucher il était 20 h 30 quand me retrouvais dans ma chambre, je chargeais le poêle a fond pour avoir bien chaud. Je me mis tout nu pour me laver entièrement des pieds à la tête, je fis plus attention a mon zizi et à mes fesses, pour éviter qu'il y ais des odeurs car je me suis aperçu cet après midi que ses endroits là avait une odeur assez forte. J'en profitais pour ouvrir mon lit en grand et vérifier que le drap d'en dessous. J'enfile mon pyjama et me glisse sous les draps. Je regarde la pendule il est maintenant plus de 21 h 00 et toujours rien. Je me calle dans mon oreiller et rêve les yeux fermés à ma journée forte en nouveaux jeux et plus très forte en actions nouvelles pour moi. Et je m'endors. Combien de temps il s'est passé je ne peu le dire, comme je ne peux dire si je rêve ou bien si cela est réel mais je sens une main contre moi et même plus maintenant je sens un corps contre moi. La main frotte mon ventre et se glisse sous l'élastique de mon pyjama. Elle touche mon zizi qui dort encore, il est tout flasque et repose sur mes petites boules dans leurs sacs tout fripés. Je me demande si je rêve ou si il y a bien une main dans mon pantalon. Je me retourne en me mettant sur le dos et là j'attends. Rien ne ce passe je referme les yeux pour me rendormir dans un demi-sommeil je sens quelque chose d'humide ce posée sur mon zizi. Et me le gober entièrement. Oh!! Que s'est bon, mon zizi ne reste pas indifférent. Il se réveille, il prend du volume dans ce conduit chaud et humide. Et je ne peux rien faire une boule dans mon ventre monta vers mes boules presque à faire mal puis je sentis cette boules monter vers ma petite tige dans le conduite humide. Et là une explosion dans la tête de mon zizi, et me mis a expulser mon jus dans le conduit.
Je me suis réveillé complètement quand j'entendis quelqu'un tousser sous la couverture. S'était mon ami Ludo, qui sorti la tête de dessous les couvertures tout rouge et il passa sa main sur sa bouche en me disant: " ben dit donc tu ma lâché le paquet."
Pardon lui dis je dormais et rêvais de toi enfin de nous cet après midi!! Je ne savais même si tu allais venir. Aussi je me suis couché. Comment es tu rentrer sans que je t'entende?
Oh! J'ais attendu que mes parents se couche puis mes frères, se couchent eux aussi. J'ais choisi ce pull et ce pantalon avec rien dessous, juste mes tennis. Je me suis caché après dîner pour me laver pour pouvoir être propre pour toi. Et quand je suis arrivé à ta fenêtre j'ais regardé et j'ais vu que dormais alors j'ais hésité, puis je me suis lancé. Tout doucement je poussé la fenêtre et je l'ais refermé doucement en te regardant dormir sur le coté. Je me suis déshabillé devant le poêle, pour me réchauffer. Puis je me suis glissé sous les drap contre toi et comme tu ne bougeais pas je me suis aventuré avec ma main dans ta culotte. Pas de réaction je me suis dis je vais repartir il dort à point fermés il est trop fatigué de cette journée. Et là tu te mets sur le dos une aubaine pour moi. Je me glisse hors du lit. Te laisse te rendormir, puis je me glisse comme un serpent à la hauteur de ton ventre. Et je cherche à l'odeur, ta petite bite de puceau. Avec la langue j'écarte l'ouverture de la braguette et du bout des lèvres j'aspire un petit bout de viande tout mou, au pas longtemps car il se mit à durcir dans ma bouche. Hum!! Que s'était bon de sentir vibrer ta petite chose et surtout le goût extra. Par contre ce ne fut pas long tu as explosé vite fait mais c'était bon.
Il se recoucha contre moi et m'embrassa avec la langue jusqu'au fond de la gorge. Il était nu comme un vers pas contre moi, je portais encore mon pyjama. Il s'en occupa rapidement. Je me retrouvais nu comme lui sous les draps. Une première encore, oui s'était la première fois que j'étais nu dans lit. Que cette sensation était agréable.
Il m'appuya sur la tête pour je l'embrasse la poitrine et puis je descendis sur son ventre, je lui léchais le nombril. Poua!! Un goût immonde un mélange de pipi et crasse. Aussi je lui dis : Ludo quand tu viens ici ne prends pas la peine de te laver cher toi moi je te lave et toi en autant pour moi comme cela on se lavera des coins qu'on oubli. Puis je repris ma descente vers son pieu. J'avais moins peur que ce matin mais quand même je craignais encore cette chose surtout que lui était énorme par rapport à moi. Ma langue rencontra ses poils frisés et odorants malgré qu'il soit blond, puis ma langue ce retrouva à la base de sa colonne de chair, déjà en l'air et bien raide. Je la léchais de bas en haut puis fis le tour de ce monstre en me disant que jamais je ne pourrais mettre tout ça dans ma bouche. Je glissais une main pour en évaluer la grosseur et je descendis son prépuce jusqu'en bas le maintien avec la main puis je titillais le gland de ma langue. Puis je lui fis des petits bisous sur le trou en son sommet y glissais ma langue. Déjà il y avait un liquide visqueux. Je mis en bouche son gland en serrant les lèvres. Oh maman !!! Que j'ais mal sur le coté des lèvres. Je glissais ma langue le long de ce morceau de chair chaude et humide. Ma bouche commençait à ce faire à cet engin qui me obstruait la bouche. Ludo mis sa main sur ma tête et appuya doucement mais fermement pour que puisse en avaler plus. Il me fit prendre un rythme, un coup en bas un coup en haut. A chaque fois que je me trouvais en bas, il m'appuyait un peu plus sur ma tête pour enfoncer son pieu plus profondément dans ma bouche.
La position n'était pas inconfortable à genoux sur le lit les fesses en l'air et tourné vers le pieds du lit si il faisait plus claire dans la chambre je pense qu'il verrait mon trou du cul.
Lui une main sur ma tête et de l'autre il me caressait les cuisses, les mollets et il remonta le long des cuisses et me caressa les globes offert de mon cul. Encore une sensation nouvelle, ses doigts passaient et repassait le long de ma raie et le plaisir que cela me procurait, je tendis et ouvrit mon cul vers cette main douce et câline. Moi je tendais toujours les lèvres vers ce pale qui me percutait le fond de la gorge. Elle grossissait de plus en plus et la mienne aussi reprenait de sa vigueur. Je sentis le doigt qui me caressait la raie passer sur mon trou et poussa un peu tout en tournant autour. Je senti un plaisir qui me faisais vibrer tout le bas ventre de devant et de derrière. Il retira son doigt le passa dans bouche en préleva une quantité de salive et me l'appliqua sur la rondelle et le doigt repris son travail de massage. Son doigt poussa un peux plus et fini par entrer une douleur vive me fis contracter les lèvres son engin grossissais à me faire rompre la commissure des lèvres. Le doigt entrait et sortait de mon trou la douleur était passée maintenant je ressentais une douce onde de plaisir, de plus en plus forte, j'étais sur le point de jouir du cul et de mon zizi. Par contre lui il était pas sur le point il me lâcha sa semence par de long trait qui finir au fond de ma gorge que je fus obliger d'avaler car il n'y avait pas de place pour son jus et son engin. Son doigt me finit je joui sur mon ventre il m'attira vers lui et me lécha le ventre et le zizi. Il sortit son doigt de mon cul, une impression de vide, et de manque s'ensuivi. Il porta son doigt à ma bouche et me le fit sucer. Je m'allongeais a coté de lui et m'endormi.
Lorsque je me réveillais il n'y avait plus personne dans le lit. Une douce odeur de male flottait dans l'air. Il faisait chaud dans la chambre, Ludo avait fait le plein de bois dans le poêle. Et était parti sans faire de bruit vers sa famille. Je me levais regardais l'heure il était presque 10 h 00. Rapidement j'ouvris la fenêtre en grand pour aérer ma chambre je m'habillais de propre après avoir fait une toilette rapide de mes fesses et de mon zizi. Je passais dans la cuisine de ma grand-mère bu rapidement un grand bol de chocolat qui m'attendais sur la table, pris les deux tartines de pain avec de la confiture. Et je suis parti rejoindre mon ami Ludo.
Tou à fait ok
utiliser "ZIZI" à 50 ans cela relève du retard mental ou alors d'un phantasme pédophile...
Et c'est pas la peine de venir m'insulter en message privé, dis tes réactions en direct dans les expressions "Papy"...