Ce week end, j'étais en rut, normal après une grosse semaine de boulot et la chaleur qui revient.
Je suis donc allé à l'entrepôt, une gigantesque back room située à Marseille. Il faut surtout y aller le vendredi et le samedi soir vers 11h ou minuit, ce que j'ai fait, à poil sous le jean. Mon paquet de kpotes en poche et mes petits sacs de gel, j'arpente les lieus. Beaucoup de mecs qui tournent, apparement pas décidés.
Soudain, je vois un mec pas mal, environ 40 ans, mince qui à l'air d'attendre dans une pièce où il y a des glory holes. J'entre, le mec à la bite à l'air et de l'autre côté de la cloison un autre mec accroupi qui attend pour le sucer. Je vois l'engin que j'avais à peine vu de loin dans la pénombre et là, je ne ments pas, une des plus grosse que j'ai jamais vue de ma vie.
Tant pis pour le mec d'à côté (désolé mec si tu lis cette histoire) je ferme la porte et je me mets à genoux pour faire ce que l'autre devait rêver de faire: Je le suce avidement. Le fantasme de sucer une aussi belle queue, large et longue, avec un gros gland turgescent et en plus qui bandait bien me dilate les mâchoires (et pas que ça...) et j'avale la chose autant que je peux (et je peux pas mal). Le pied ! surtout que c'est pas évident de trouver une très grosse queue qui bande bien dure.
Au bout d'un moment, je change de position et le mec me demande d'enlever mon fute, il veut voir mon cul. Pas de problème mec, je suis toujours prêt à faire plaisir et je m'exécute. Là il me prend la tête et me fait me pencher pour recommencer à le sucer et je sens qu'il commence à diriger la manoeuvre. Il impose son rythme et commence à me doigter. Je crois que je vois où il veut en venir, mais je m'inquiète un peu, vu la taille du morceau. Pas farouche d'accord, mais y'a des limites !
Finalement le mec me demande si j'ai envie qu'il me prenne. Je l'ai vachement bien sucé, il m'a travaillé le Q et oui j'en ai envie. 'espère simplement que je ne vais pas le regretter. Il me fait alors mettre en appui sur la banquette, le cul offert et il entreprend de m'enduire la rondelle de gel, puis il explore mes entrailles avec un, puis deux, opuis trois doigts : Je gémis, c'est bon, puis enfin il met quatre doigts et écarte bien et pousse en même temps. Manifestement il a l'expérience, pas étonnant d'ailleurs !
Il enfile une kpote, pas aiséent je dois dire. J'avais peur qu'elle se déchire et il présente son engin, je ne sais pas comment appeler ça, gourdin, matraque, devant mon trou. Il n'entre pas, ne pousse pas, il pose juste le bout de son gland et exerce de très légères pressions, ce qui a pour effet de me dilater un max et surtout de me mettre en rut encore plus, je veux sa queue, tant pis si je dois avoir mal après pendant 3 jours, je ne désire plus que sentir cette énorme queue me défoncer, me labourer, me baiser aussi loin et longtemps que possible. Je lui dit "baise moi !(comme c'est original, mais bon, dans ces moments là on ne pense pas à faire de la poésie).
Il me répond "OK" laconique et efficace et dans le même tempx, il appuie sa queue un peu plus fort, une pression régulière, lente, appuyée mais pas brutale (heureusement, il pourrait déchirer un anus moins bien préparé ou habitué) et il entre en moi. Il pousse encore, sa queue, moi c'est un cri que je pousse, un cri de plaisir, car curieusement, je n'ai aucune douleur, juste la sensation d'être rempli, comblé, dilaté, écartelé par un pieu qui me donne du plaisir, un ENORME PLAISIR !!!
Je n'en peux plus et je m'mpale tout seul, d'un coup, ouvert, offert, livré à son membre et à notre plaisir.
Constatant mon état et ma super dilatation, il décide d'accélérer le mouvement et entame ses va et viens, lentement d'abord, puis de plus en plus vite. Je souffle, je gémis, je m'exclame, je m'exprime, je me donne, encore et encore, enculé et heureux, empalé et en plein délire, baisé et content de l'être, parce que rarement comme ça. Une queue à faire fantasmer les plus enhardis, et un baiseur né, attentif à mon plaisir autant qu'au sien. Je ne suis plus qu'un cul offert et jouissant et lui qu'une queue qui donne et prend du plaisir et c'est dans un ultime susrsaut, dans un ultime râle poussé conjointement que nous jouissons, lui dans mon cul (mais avec kpote) et moi sur la banquette et sur le mur. Il reste encore un moment en moi, débandant à peine, le temps que je reprenne mon souffle et mes esprits, le temps que nos coeur respectifs reviennent à un rythme moins soutenu.
Je me retourne et nous nous embrassons et il me dit doucement à l'oreille "merci c'était super". Je lui répond par un signe de tête et halète un "merci à toi". J'espère qu'il est du coin et lui demande, mais hélas non, il est de passage, dans de la famille et repars le lendemain. Dommage, j'aurais bien remis ça une autre fois ou je lui aurais laissé mes coordonnées sinon, histoire qu'on remette ça régulièrement...
C'est en sortant de la cabine que je vois pas mal demecs agglutinés dans le couloir près de la porte. J'imagine l'attroupement que nous avons du créer, avec nos cris et nos halètements, nos soupirs et nos cris. Après ça, je suis rentré chez moi, seul, mais heureux et...comblé.
timo_dz, je ne doute pas que tu sois bien membré, souvent les maghrébins le sont en effet - et je dois avouer que j'aime cela - mais ils ne sont pas les seuls ! des blancs le sont aussi, des noirs également, plus rarement des asiatiques.
Mais ceci dit, ne rougis pas de ton état, on choisi rarement ses parents et quant à moi, j'aime les beurs bine montés et affamés
salut mon ami, c'est avant la fermeture que souvent y a les meilleurs aventures. J'etais à poil porte ouverte me faisant sucer à souhait comme un pacha, j'étais creuvé par mon retour de vacance à Nice Coco beach et baise toutes les nuit. Bref, donc vers la fermeture c à d vers 3h30 j'entends des cris de douleurs mélangés à de l'envie d'en avoir plus, je n'ai pas pu resister , je suis allé voir. Un mec 19 ans blond collé au mure ,tous les lascars passaient à la chaine dans son cul offert, j'enfile une capotte et j'entre aussi, il etait doux comme un ange, brutalement sous la lumiére apparait ses traits d'une beauté à couper le souffle, un mec de revues gay,une splendeur, j'etais honnoré d'avoir partager l'intimité de ce mec. Je l'embrasse gouluement et pleinement j'etais heureux, il fallait partir. Karim
bof, l'entrepot, je connais, pas térrible et puis l'hygiène pour enlever ses fringues... Et puis je te signale juste qu'il n'y a pas de banquettes à l'entrepôt !!!