Si vous avez lu ma précédente histoire (vraie), vous savez que je suis resté "en manque" après mon escapade forestière.
Je suis donc retourné dans mon coin de bois favori, espérant bien trouver cette fois-ci une âme -et de préférence une bouche- accueillante.
Peu de temps après être arrivé, positionné à quelques mètres de la route juste derrière un rideau de végétation, je vois ralentir une Twingo bleue. Je connais la voiture, c'est un gars qui fréquente le coin de manière assidue, et nous nous sommes déjà prodigué à plusieurs reprises caresses et pipes. Je me dis qu'à défaut de "nouveauté" je pourrais toujours profiter de cette "valeur sûre", mais alors que je marche dans sa direction, je le vois s'arrêter à la hauteur d'un bosquet assez touffu, puis y pénétrer. M'approchant, je vois un gars en train de se mettre en condition à coups de poignet vigoureux. Sans hésitation "Twingo" se courbe devant lui et le prend en bouche. L'autre se penche pour saisir la queue du suceur, et le branle consciencieusement. Connaissant déjà l'un, et pas particulièrement attiré par l'autre je ne me mêle pas à la "conversation", et vais voir un peu plus loin s'il y a quelqu'un d'autre. Effectivement, à l'intersection de deux sentiers, un type d'âge mûr, dont la corpulence un peu trapue laissait augurer (à tort ou à raison) une queue épaisse, semblait comme moi attendre et chercher un contact. Me voyant approcher il s'enfonce dans les taillis. Je le suis -c'est en général comme çà que les choses démarrent. Mais il ne s'arrête pas et revient à son point de départ. Soit je ne lui conviens pas, soit il attend quelqu'un de précis.
Je me poste donc un peu plus loin, au croisement de deux sentiers, là où j'ai un max de chances de repérer les allées et venues. Il est un peu plus de midi. Les gens rentrent du boulot, et la circulation augmente, là-bas, sur la route. Je me dis qu'avec tout ce trafic il finira bien par venir du monde. Arrive en effet un gars dans les 35 ans, blond, petit bouc soigné. J'entreprends ce manège un peu ridicule qui consiste à s'enfoncer dans les bois, se retourner pour vérifier que "l'autre" suit, se ré-enfoncer, se re-retourner, et ceci jusqu'à avoir atteint l'endroit jugé propice et s'y laisser rejoindre.
Le manège fonctionne, le type suit. Je m'arrête donc et il vient tout près. Là je constate qu'il ne m'est pas tout à fait inconnu. Nous nous sommes déjà sucés il y a assez longtemps, et à l'époque il m'avait proposé de me sodomiser, mais j'étais encore "puceau". Lui, manifestement ne se rappelle pas de moi, ce qui ne l'empêche pas de prendre l'initiative. Il ouvre mon pantalon, extrait ma queue en cours d'érection, commence à me branler tout en me titillant les tétons de son autre main. Devant un tel empressement je ne peux pas rester inactif, et lui rends la pareille.
Au bout de quelques minutes il entreprend de me déshabiller, et jette mes vêtements sur son blouson déjà à terre. Les caresses reprennent de plus belle, et nous nous mettons à nous sucer en alternance. Puis il se place derrière moi, et frotte sa queue contre mes fesses. Je sens le contact de tout son corps, et sa poitrine un peu velue me caresse très agréablement le dos. De ma main droite je vais chercher sa queue derrière moi, et la promène sur mes fesses, puis dans ma raie. Quelle sensation extraordinaire que de promener ainsi cette queue bien raide entre mes fesses, de les sentir s'écarter quand je déplace du bas vers le haut ce pilon de chair bien chaude et encore humide de ma salive, que je le place devant ma petite entrée qui ne demande qu'à s'ouvrir et à l'accueillir. Je sens -que dis-je, mon corps entier- sent, guette, espère, attend la petite poussée qui fera entrer cette bite dans mon petit trou encore si peu exploré. Mon excitation est à son comble, et bien que je n'étais pas venu pour ça, il me vient une envie folle de la faire pénétrer dans mon cul. Comme je m'en caresse ostensiblement l'entrée, mon partenaire, d'une petite pression me fait me pencher en avant, puis commence à forcer l'ouverture pour entrer là où un seul autre avant lui était allé.
Je suis dans un état indescriptible : j'ai complètement perdu le sens des réalités. Je ne sais plus où je suis, si c'est le matin ou le soir, s'il fait froid ou chaud. Mon esprit est totalement envahi par une seule et unique image : un cul aux contours indéfinis, avec un tout petit trou, et devant ce trou une grosse queue bien raide qui maintenant y pénètre avec une lenteur et une douceur extrêmes, m'occasionnant une espèce de jouissance cérébrale d'une intensité tout à fait inédite dans laquelle je rêve de me complaire jusqu'à la fin des temps...
En une fraction de seconde me vient un sursaut de lucidité : ce type va me sodomiser sans capote ! Un énorme effort de volonté me fait émerger de mon délire onirico-sexuel, et c'est à moitié assommé que je repousse mon partenaire. Il semble être dans le même état que moi, et avoir du mal à reprendre contact avec la réalité.
La sensation de vertige passe néanmoins en quelques secondes, et nous reprenons nos esprits en même temps que nos caresses manuelles et buccales.
L'autre type, le trapu que j'avais suivi sans succès, n'a sans doute rien raté du spectacle. Il nous mate à une dizaine de mètres, en se branlant. Comme je suis très friand de séances à plusieurs je lui fais signe d'approcher, mais j'ai beau insister il ne vient pas, continue de se branler, puis éjacule, s'essuie, remballe et disparaît. C'est le moment que choisit Twingo pour venir assister à la fin de nos ébats. Il a du prendre son pied avec l'autre, et vient voir chez nous comment les choses se passent. Il assiste "en direct-live" à nos éjaculations quasi simultanées. Là aussi je suis surpris, tout comme mon partenaire qui m'en fait d'ailleurs la remarque : la quantité de sperme que j'expédie dans le sous-bois est tout à fait extraordinaire !
Quel pied !
On se rhabille, et on reprend le chemin de nos voitures. Je me jure de ne jamais revenir sans préservatifs, et malgré une énorme frustration à l'idée de ce à quoi j'ai dû renoncer, je suis quand même dans un état de quasi-béatitude en retournant au boulot.
J'ai pour ma part toujours fantasmé à une rencontre sur une aire de repos mais jamais tenté, tu me donne l'eau à la bouche et mon anneau se décontracte rien qu'à y penser