Picos, je l'avais connu à l'époque lointaine où je faisais un peu l'homme à tout faire dans une colo, homme de ménage, chauffeur de la cuisine, ouvrier d'entretien, bref tous les mille métiers indispensables que les moniteurs n'ont pas vocation à faire.
Picos, c'était son surnom, était un ado de 14-15 ans, beau gaillard pas très grand mais trapu, châtain clair, yeux très bleus, pas très futé voire même un peu simplet, toujours prêt à faire une connerie et à rigoler de tout mais vraiment gentil, incapable d'une vraie méchanceté, bref le type de l'affreux jojo qu'on aime bien quand même.
Sa carrure et ses muscles, ainsi que son sourire à craquer, me faisaient déjà rêver pendant mes branlettes solitaires de la nuit, mais rêver seulement, mineur : zone interdite.
Dix ans plus tard, j'ai enfin pu accéder à un concours de la fonction publique, je ne dirai pas où, ni ce que je fais. Mon premier poste, comme il se doit, à perpète et bien sûr aucune facilité pour trouver un logement. C'est alors que je tombai sur une annonce sur le Net : un gars cherchait un coloc pour un appart' trop grand pour un mec seul. Deux chambres, sinon cuisine-douche-WC plus une autre pièce en commun.
En allant voir cette affaire, j'ai eu un choc en reconnaissant le type qui m'ouvrait : l'affreux Picos lui-même. Après les effusions d'usage, il m'a demandé ce que je faisais, lui était employé dans une boîte de plomberie-chauffage et apparemment il faisait son beurre. On a discuté des conditions, tout à fait honnêtes pour moi, puis on a déconné pas mal en buvant un coup.
C'est alors qu'il m'a proposé de passer la nuit. « Te casse pas, je trouverai bien à te loger pour la nuit, ça me fait plaisir ... »
Plus tard, alors qu'on s'activait pour se faire à manger, il me fait « T'as un beau petit cul ». Ça m'a fait un choc alors que je rêvais de ça. Je réponds « Oui, il est à toi si tu veux ». Il m'a juste répondu par son sourire enchanteur ! J'avais envie de prendre ses lèvres sous les miennes hmmmmmmmm ...
Plus tard, alors qu'on regardait un feuilleton idiot à la télé, je sors une connerie un peu obscène sur une meuf particulièrement conne. Il me sort alors « Tu suces ? » Je réponds « Quand tu veux, fous toi à poil ». Toujours ce sourire qui me rendait fou !
Voulant précipiter les choses, je suis allé prendre ma douche. La salle d'eau était attenante à la cuisine et aucune porte ni aucun rideau. Je me disais « Quand je vais sortir à poil, il sera bien obligé de réagir » et je le laissai à son feuilleton. J'ai fait exprès de laisser durer un peu, je résistais à l'envie de me masturber, pourtant ma queue en feu arrivait à me faire mal. Enfin j'ai coupé la douche. Je n'ai pas tardé à voir une ombre bouger au travers des vitres dépolies. Je suis sorti, il était là, toujours souriant, caressant sa braguette. Je l'ai bien laissé me mater, me tournant sur toutes les faces. Enfin je prends la serviette pour m'essuyer. Il me fait « Attends ».
C'est à ce moment-là qu'il m'a posé sa main sur les fesses. J'ai poussé un gémissement de bonheur. « T'aimes ça » qu'il me fait, « Oui, continue ». Je sentais son majeur insister sur ma rondelle encore trempée, je suis pas mal poilu, puis, d'un coup, il l'a enfoncé dans mon cul.
J'avais été pénétré une fois, tout gamin, par un gars de ma classe. Ça m'avait fait un mal abominable et mon cul s'en souvenait. Picos a senti ma réticence et il y est allé doucement, tournant lentement son doigt dans mon trou, caressant la racine de ma queue. À chaque fois « Tu aimes ? », « Oui, caresse moi encore »
Il enlève alors son doigt, passe son bras autour de mon torse, « Viens » et il m'entraîne vers sa chambre. « Allonge toi ! ». Je me couchai sur le ventre, écartant au max les cuisses pour lui présenter mon cul offert.
- T'es vachement poilu, j'aime ça. Pendant ce temps, il avait pris du gel et m'en enduisait la raie, les poils. « Laisse-toi faire ».
Puis il me rentre son doigt, massant en tournant, j'étais fou tellement c'était bon. Puis deux doigts, puis trois. Je me cambrais pour aller encore plus à la rencontre de sa main.
- T'aimes ça, ça se voit, attends que je t'y mette ma grosse queue. Il s'était assis à côté de moi, encore habillé. Je n'y tenais plus, ma main est allée sur sa braguette. Putain l'engin qu'il y avait là dessous, gros, dur. « Oui, mets moi la ta queue !!!!! »
Il enlève ses doigts de mon cul, se relève, « Tourne-toi, regarde moi ! ». Il se mit alors doucement à se déshabiller. Son pull, sa chemise, me laissant voir son torse trapu couvert de poils blonds. Moi j'étais là, semi-assis, les cuisses écartées à mort pour qu'il voie tout de moi. Il se rassoit à côté de moi, me caresse les couilles, le gland, les poils ... « Tu bandes à mort, mais je veux jouir deux fois avant de m'occuper de ta queue » qu'il me fait. Je me décide enfin à agir, ma bouche part à la rencontre de son torse, je happe son téton entre mes lèvres pendant que ma main s'égarait dans les poils de sa poitrine, il aimait c'était évident.
Il finit par se relever. Commence à défaire sa ceinture. Enfin !
Il baisse son pantalon, me laissant voir des cuisses musclées, elles aussi couvertes de poils blonds. Il en avait jusque dans le dos. Je voyais son slip tendu à craquer par une bosse de superbe augure. Puis il se tourne, baisse son slip, putain ces fesses, sa raie remplie d'un fort duvet. Il tend son cul vers ma figure. « Lèche moi ! »
Je pris à deux mains son bassin pour approcher ma bouche. Les lèvres s'enfoncèrent dans cet océan de poils pendant que ma langue cherchait là-dedans sa rosette délicate. J'avais jamais léché un cul de mec, mais cette odeur enivrante me montait à la tête. Ma langue s'affairait dans cette fourrure, léchant longuement ce trou offert. Il tendait ses fesses vers ma langue en poussant des gémissements.
J'essayais moi aussi d'aller plus loin, essayant de choper ses couilles que je devinais grosses et bien pendantes.
Au bout d'un moment il se retire, puis me fait face. Je voyais maintenant sa queue, au moins 18 cm et large en proportion, son gros gland bien rouge. « Allonge-toi et relève bien les jambes ». Pendant ce temps, il déchirait l'emballage d'une capote et se la mettait sur le bout, lissant bien. Il m'enduit à nouveau le cul de gel. « Décontracte toi, j'ai envie de toi, de ton cul ! »
Il se mit face à moi, mes chevilles sur ses épaules, me pris les hanches. « N'aie pas peur ! ». Je sentis alors son bout s'appuyer sur mon trou, puis s'enfoncer tout doucement. Il y allait délicatement, pour me faire apprécier, ne pas me faire mal. Je pensais que mon cul n'absorberait pas cet engin, mais si !
Quand il fut bien à fond, il s'allongea sur moi, puis il se mit à m'embrasser goulûment, pendant que son bassin allait et venait. Mon cul était rempli de cet énorme dard qui me transperçait, et c'était si bon en même temps.
Je ne sais plus au bout de combien de temps son étreinte se fit plus pressante encore. Il me serrait dans ses bras à m'étouffer pendant que son bassin se bloquait contre mon ventre. Mon cul déjà distendu se tendait encore à craquer pendant que ses gémissements s'amplifiaient. Je sentis qu'il était en train de jouir, jouir dans mon cul.
Puis il se reposa sur moi, cette fois-ci complètement détendu pendant que son désir se calmait.
Il retira alors son engin, me laissant le cul tout désemparé. Alla à la salle de bain enlever le préservatif et se rincer la queue. Il revint enfin s'allonger à côté de moi, me prenant par le cou et m'embrassant.
Je pouvais enfin laisser ma main caresser sa queue magnifique, ses grosses couilles dans tous ces poils.
- C'était bon ? Tu la voudrais encore ma queue ?
- Oui, rien que pour ça je reste, mais tu me la mets souvent
- Tous les jours, et même plusieurs fois si tu veux
Au bout d'un moment, il me prit la nuque, tirant ma tête vers son ventre. Pas besoin de me faire un dessin, moi aussi j'avais envie de prendre sa queue dans ma bouche.
Bon Dieu qu'elle était belle, j'avalai ce gros gland, jamais je n'aurais cru pouvoir avaler son engin aussi profond. Il me remplissait la gorge. Puis je me mis à le sucer lentement, pendant que je sentais se durcir ses muscles sous ma joue.
Je le suçai longuement, ne pouvant lâcher ce si beau morceau si bon.
Enfin il retira sa queue et se mit à se branler au dessus de ma poitrine. Au bout d'un instant, je vis sa queue lâcher deux longs jets d'un sperme crémeux, qui atterrirent au milieu des poils de ma poitrine. Il s'allongea, me caressant, m'étalant bien son sperme comme s'il voulait le faire pénétrer dans mes poils. J'adorais.
Enfin, en dernier, il me prit la queue dans sa main, et se mit à me branler doucement. Je ne fis pas long feu, j'étais tellement surexcité que mon sperme alla bientôt se mêler au sien sur ma poitrine en longs jets brûlants, et moi jouissant comme je n'avais encore jamais joui.
Je passerai sur nos embrassades, nos caresses qui suivirent, jusque sous la douche que nous avons pris à deux malgré l'étroitesse de la cabine. Nous nous sommes étendus ensuite sur le lit et nous avons dormi tous les deux comme des bébés dans les bras l'un de l'autre.
Inutile de vous dire que j'ai pris immédiatement la coloc avec lui et que, tous les soirs, nous faisons l'amour comme des dingues avant de nous endormir. Ne parlons pas des week-ends, le premier que nous avons passé ensemble, ç'a été à poil tout le temps, n'en ayant que pour nos culs et nos bites.
Sans doute nous allons pacser, bientôt si nous pouvons, je n'imagine plus ma vie mainenant qu'avec lui
Quand on lit une telle histoire on ne peut être qu'un peu ému. Ce n'est pas le sexe pour le sexe, mais une véritable histoire d'amour. Tu n'as pas attendu qu'il soit majeur pour rien