Ça faisait maintenant un mois que j'avais pris la colocation de l'appart' avec Ludo. À force de l'appeler Picos, j'avais presque oublié son véritable prénom Ludovic, alias Ludo.
Pour moi c'était une sacrée aubaine de pouvoir partager les frais, pour lui aussi, mais ça me faisait un compagnon, et quel compagnon. Je n'ai pas une tonne d'expérience en matière de mecs, mais je n'avais jamais vu, ni même entendu parler d'un mec ayant autant de besoins et d'endurance en matière sexuelle. Au moins trois ou quatre fois dans la journée nous faisions l'amour comme des bêtes. Je suis plutôt passif, mais lui était actif largement pour deux.
Dès le début nous avions fait le test VIH et, depuis, nous ne nous encombrions plus de capotes, c'était tellement bon de le sentir me pénétrer par toutes les ouvertures ...
Ce dimanche matin était un matin comme les autres, à part que nous avions tout notre temps.
Nous dormions l'un contre l'autre. Lui aimait bien, avant de s'endormir, me passer son bras, quelquefois autour du cou, du torse, mais quelquefois aussi me prendre la bite et les couilles dans sa main, et il restait ainsi jusqu'au matin. Une fois même il m'avait enfoncé deux doigts dans l'anus, et je les avais gardés toute la nuit.
Quant à moi, j'aimais bien le caresser partout, j'adorais sa toison laineuse qu'il avait partout, jusque dans le dos.
Souvent je me réveillais avant lui et j'aimais, en évitant de le réveiller, me glisser le long de sa poitrine, de son ventre, pour aller gober d'une bouche avide cette grosse queue que j'adorais. Même flaccide, elle emplissait ma bouche, mais elle ne le restait pas longtemps. Très vite elle prenait des proportions impressionnantes pendant que je le suçais goulûment. Ceci faisait à mon Ludo un réveil en douceur qu'il adorait. Très vite il n'y tenait plus et je recevais dans la gorge de longues giclées de cette semence au goût légèrement amer que j'avalais lentement, savourant le plaisir.
D'autres fois, il était allongé sur le ventre. J'enfonçais alors lentement mon visage dans sa raie poilue et je léchais doucement sa rondelle. Il appréciait bien, poussait de petits gémissements de plaisir, reculait bien son cul pour le plaquer contre ma bouche pendant que je lui roulais doucement une pelle magistrale. Il me tardait pas alors à se retourner, prenant ma nuque pour guider ma bouche vers son sexe que j'avais alors du mal à avaler.
Ce matin-là, pour une fois, il était réveillé avant moi. Sans bruit il se redresse, se met entre mes jambes qu'il relève avant de s'allonger sur moi.
Il y a plus langoureux comme réveil, mais c'est agréable quand même de sentir cette grande carcasse velue s'allonger sur moi, m'embrasser à pleine bouche pendant que sa queue gonflée à bloc cherche ma rondelle.
Je relève encore plus les jambes pour approcher un peu plus mon orifice de ce monstre. Les premières pénétrations avaient été un peu dures mais ma rondelle s'y était faite et c'est avec un plaisir infini que je me sentais pénétrer par ce dard qui y était comme chez lui, s'enfonçant jusqu'aux couilles que je sentis bientôt sur mes fesses.
Un délice, d'un côté cette bouche qui dévore la mienne, avec cette langue qui s'insinue partout, de l'autre ce pilon qui me défonce le cul.
Il n'aimait pas traîner et il lui a fallu peu de temps pour m'inonder les boyaux de ces longs jets de sperme pendant qu'il m'embrassait à la ravageuse. Des fois il me faisait jouir rien qu'avec sa queue dans les boyaux, mais là, il avait une autre idée.
Détendu après avoir bien éjaculé, il se laissa bien retomber sur moi, plaquant bien sa peau contre la miennt, sa langue se faisant plus caressante dans ma bouche. Pendant ce temps, son sexe perdait sa dureté, toujours enfoncé bien profond dans mon cul. On est restés comme ça un bon moment, moi me délectant du contact avec ce mec que j'aimais chaque jour de plus en plus, le caressant, mes doigts jouant avec son orifice.
Enfin, il se retira doucement, se releva et vint s'allonger tête-bêche avec moi. Pas besoin de demander. J'attrapai vite sa queue à peine ramollie dans ma bouche pendant qu'il en faisait autant avec la mienne.
Ce que ça pouvait être bon de sentir la chaleur de sa bouche sur mon membre pendant qu'il me pompait. Moi, de mon côté, j'aspirais sa queue qui n'avait pas tardé à redevenir dure.
Je n'en pouvais plus. J'ai joui comme un dingue dans sa bouche pendant qu'il me rentrait deux, puis trois doigts dans mon cul bien évasé déjà par sa queue. Puis je me suis appliqué à bien le faire jouir une seconde fois.
Là non plus il n'a pas tardé. Ce matin-là je me suis fait inonder de son sperme par les deux extrémités.
Nous avons passé l'heure qui a suivi, moi à le caresser, lui à m'enfoncer ses doigts dans une rondelle de plus en plus dilatée. Deux, puis trois, enfin quatre, en tournant pour bien me dilater.
Il a essayé avec le pouce en plus, mais il n'est pas arrivé au bout.
Un jour, il me dit, il rentrera carrément la main entière dans mes boyaux. Je ne m'inquiète pas. Sous ses airs de grosse brute, il est suffisamment doux, caressant et expert, pour me faire tout ce qu'il veut.