Merci à ceux qui ont apprécié ma 1ère histoire (vraie) qui datait de 2001 - pour eux spécialement voilà la suite
Il s?était écoulé deux ans depuis notre contact involontaire mais si excitant, et mon beauf? semblait fort bien avoir assumé ce petit accroc dans sa paisible et un peu monotone vie d?hétéro, nous n?en avions jamais reparlé, le besoin ne s?en étant pas vraiment fait sentir. Il n?avait eu aucunement d?attitude de rejet ou d?agressivité à mon égard comme auraient eu la plupart des mecs « normaux » s?étant « faits avoir » par un sale pédé. Là, non. C?était comme si rien ne s?était passé et je trouvais que cette réaction plutôt saine évitait tout malaise entre nous.
Il me contacta car un de ses copains se mariait et il cherchait quelqu?un pour s?occuper de la musique, ça se passait à 300 km de Paris. Départ le samedi matin, arrivés sur place vers onze heures et une fois terminée la cérémonie ringarde, nous nous éclipsâmes pour déjeuner sur le pouce et partîmes installer le matériel de sonorisation. Les organisateurs nous conduisirent jusqu?à une petite maison, isolée au milieu des champs, au confort plutôt spartiate : la porte d?entrée s?ouvrait sur une seule pièce, où trônait un lit à deux places, entouré de deux lits d?une place calés aux murs opposés. Pas d?eau, encore moins de chauffage, bien sûr ; il y avait seulement l?électricité. Une maison de vacances sans doute, si on pouvait imaginer venir passer des vacances dans ce trou? bref, un « endroit » pour dormir, on ne pouvait pas vraiment parler d?un Relais & Châteaux? En plus, on allait le partager, faute de place, avec un couple (tout aussi ringards que les autres) qui occuperait évidemment le grand lit pendant qu?on se contenterait chacun de notre « paillasse » de 70 cm de large, à l?air aussi confortable qu?une planche de fakir? Je saisis une lueur concupiscente dans l??il de mon acolyte qui me confia une heure ou deux plus tard qu?il se pouvait qu?il y ait une « ouverture » si le couple en question était un peu frivole. Après s?être changés nous abandonnâmes nos sacs dans cet endroit, un peu à contre-c?ur tant il était possible qu?une famille de blaireaux ou de ragondins y aménageât un abri durant notre absence !
La soirée ringardissime se passa bien, non sans quelques bons moments d?édifiants spectacles de liesse familiale plus ou moins débridée? nous vîmes disparaître nos ringards colocataires, un peu plus tard dans la soirée, complètement ivres, surtout elle, et je pensai tout à coup à la sinécure d?une nuit près de ces gens là, à l?endroit où on devait dormir, surtout si elle était malade et vomissait son saumon et sa vinasse alors qu?on essaierait de se reposer?
Heureusement, la soirée ne se termina pas trop tard, il devait être approximativement trois heures du matin quand nous remballâmes les installations et partîmes, résignés, vers notre Relais et Châteaux où nous attendait une nuit sûrement difficile et froide.
Aucune lumière n?éclairait la baraque : en plus il faudrait ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller Monsieur et Madame? à notre grande surprise il n?y avait personne, leurs affaires n?étaient même pas là : ils avaient dû assurément être effrayés par l?endroit, et préféré une chambre d?hôtel chaude et confortable. A la bonne heure ! nous étions ravis, car l?idée de partager l?intimité de ces gens ne fût-ce qu?une nuit m?était insupportable, et les projets concupiscents que mon beau-frère avait nourris s?étaient apparemment plus qu?estompés en ayant observé les zigotos toute la soirée.
Presque en se frottant les mains d?aise il me proposa de ne pas se priver et de dormir dans le grand lit, rajoutant comme bonne raison que le froid de la pièce serait moins pénible si on se tenait chaud. J?avoue que cet argument pesa un poids considérable sur mon acquiescement à la proposition ! c?est moi, du coup, qui commençais à avoir une idée derrière la tête et devenir concupiscent?
Les vêtements furent vite pliés et posés car la température ne se prêtait pas pour pavoiser à demi-nu pendant des heures? il me dit tout à coup qu?il allait « prendre sa douche » et sortit sur le palier, une bouteille d?eau minérale à la main : je le vis, de dos, faire « prendre sa douche » à son service trois pièces, se sécha avec une serviette, remballa son matériel, tourna les talons et rentra se précipiter dans le lit. Il me tendit sa douche portable et je fis de même. Tout en me nettoyant, je trouvai quand même bizarre l?initiative d?une telle hygiène à trois heures du matin ; une fois séché je rentrai aussi précipitamment que lui sous les draps plutôt glacés?tellement glacés que je me mis à claquer des dents en me recroquevillant. Il commença à me parler en souriant de cette soirée un peu épouvantable, et voyant que j?avais froid il me dit de mettre mes pieds sur ses jambes. Le contact duveteux et la chaleur de sa peau me réchauffèrent un peu, mais eurent pour autre effet de me faire bander comme un âne.
« ça va mieux ? » fit-il. « sinon, on peut se réchauffer autrement, si tu veux? »
-« tu sais, si ça tient qu?à moi, je suis comme les scouts, toujours prêt ! »
Il passa alors son bras gauche autour de moi et me rapprocha de lui, et sa main droite descendit palper mon slip.
« eh, c?est vrai que t?es déjà prêt, toi ! »
Ma main gauche vérifia le contenu de son slip. Oui, tout semblait y être, les deux roustons charnus et mobiles, et une grosse anguille en sommeil. Comme la première fois je plongeai sous les draps, fis glisser le slip qu?il enleva rapidement. Il se rallongea complètement en écartant les cuisses, souleva sa bite encore molle de sa main droite. Je mis l?aspirateur en route et la fis disparaître complètement comme si je voulais l?avaler. Le nez perdu dans la toison épaisse du pubis, le menton massant la paire de couilles rondes, je restai un moment immobile, le gros morceau de chair me remplissant la bouche. Un peu paresseux ? pensais-je? je décidai alors de déglutir deux ou trois fois, histoire de prodiguer un massage « glandulaire » ! La réaction fut immédiate : mes lèvres sentirent la grosse veine envoyer par saccades de quoi faire monter la bête, qui commença à se déployer et s?allonger jusqu?à venir me titiller les amygdales? J?avais avalé une anguille et régurgitai un boa trempé de salive qui dardait impudiquement sa tête vers ma bouche qui l?avala de nouveau, arrachant à son propriétaire un gémissement d?extase. Maintenant, plus de lit qui craque, personne pour nous entendre, on pouvait y aller, et il ne se privait pas pour gémir et aspirer de l?air entre ses dents serrées, alors que je venais de découvrir qu?il était hypersensible du périnée et du cul et dont je ne me privais pas de frôler les poils entre deux malaxages des couilles. Je pompais son dard turgescent, rougi par l?excitation et l?aspiration de ma bouche transformée pour l?occasion en ventouse anthropophage. Pour un hétéro « pur et dur » il avait de bien drôles réactions, en fait il était ouvert au plaisir quel qu?il soit, et honorait ma tête de tendres caresses de remerciement à chaque fois que je faisais à nouveau glisser le gland sur ma langue et qu?il bandait ses fesses pour que j?avale la totalité de sa queue à m?en faire étouffer. Lorsque je la ressortais il s?écrasait sur le lit pour accélérer le mouvement. Presque à chaque va et vient le gland jaillissait de sa prison humide dans un bruit mouillé de succion contrariée et il se dépêchait de replonger dans la vallée des merveilles.
Il m?interrompit soudain et pivota d?un coup ses épaules vers le pied du lit, et commença lui aussi à sucer goulûment tout en reprenant sa place dans ma bouche. Il fallait que je m?interrompe régulièrement car il me signalait par un gémissement qu?il était prêt à prendre son pied et je voulais faire durer le plaisir. En effet, la température s?était bougrement réchauffée depuis tout à l?heure ! Ses mains larges pétrissaient mes fesses tout en me maintenant à portée de sa bouche qui semblait tout aussi affamée que la mienne. Il accentuait toujours la profondeur des mouvements de ma tête par des coups de reins et s?arrêta un instant de sucer pour me dire d?une voix rauque :
« je vais jouir ! » tout en m?astiquant de sa grosse main. Je m?interrompis aussi et le branlai très lentement, à tel point qu?il recommença à donner des coups de reins pour que j?aille plus vite : plus il se secouait et plus je ralentissais pour faire durer le plaisir qui voilait maintenant son regard. Il savait que nous étions tranquilles et ne se priva pas de gueuler lorsque il englua les poils de mon torse de longs jets épais et blancs, alors que sa main ralentissait ses mouvements sur ma bite agitée par les spasmes de l?extase. La serviette servit à nous sécher et nous passâmes une nuit moins froide que prévue?.
La faim qui me tenaillait l?estomac me réveilla vers huit heures. Il faisait chaud sous les couvertures mais seulement à cet endroit, car on voyait aux fenêtres embuées que la température de la pièce ne devait pas être élevée. Lui, dormait comme un sonneur, émettant même un petit ronflement. Je bougeai un peu pour voir s?il se réveillait, mais rien à faire. J?étais beaucoup plus à l?aise que la première fois car après tout c?est lui qui en avait redemandé et c?est sans complexe que je glissai ma tête sous les draps, histoire de m?amuser avec son gros jouet. Lui aussi était endormi, preuve que son propriétaire était en plein sommeil. Le prépuce était encore tout lubrifié par les folies de la veille, je le pris entre mes lèvres et passai ma langue sur le fruit encore sucré qui se trouvait à l?intérieur. Notre dormeur soupira bruyamment, et pas si léthargique que ça, vint poser une main sur ma tête en signe d?encouragement. Déjà le fruit en question était devenu une banane vibrante et tendue dont je léchai l?extrémité goulûment. Manquant un peu d?air je soulevai un peu les draps qu?il enleva complètement, offrant à ma vue son impudique dureté. Puis il me fit « remonter », allongé à ses côtés, passa le bras gauche autour de mes épaules, reposa une de mes mains sur sa queue pendant qu?il faisait de même avec moi. Notre homme voulait une branlette, allons-y pour une branlette ! je donnai le tempo en astiquant vigoureusement son bâton brûlant, faisant coulisser la peau épaisse sur le gland alors qu?il haletait en écartant spasmodiquement les cuisses. Son souffle devenait aussi court que s?il avait couru 500 mètres, voilà que je lui faisais profiter d?une séance de sport gratis, un peu violent au réveil, mais après tout avait-il l?air mécontent ? pas du tout : le bougre, bien calé sur son oreiller, surveillait l?opération d?un ?il attentif et admiratif, en tous cas il semblait beaucoup apprécier ce massage matinal revigorant. Mon estomac me faisait de plus en plus penser au petit déjeuner, c?est ce qui me décida à ne pas lambiner en accélérant le rythme ; à tel point que c?est sans préavis qu?il souleva le bassin et propulsa ses giclées à l?avenant, non sans lancer un grognement de pithécanthrope.
Bien que la (vraie) douche dût attendre le soir et après tout ce sport nous prîmes ce jour-là un gargantuesque petit déjeuner .
Eh l'indomptable ! En matière de secoué de la pulpe t'en es un bel exemple !
Soit l'histoire est vraie est c'est son problème soit c'est un gentil fantasme mais dans les deux cas elle a le goût de l'interdit.
Mais tes jugements à la con n'apportent aucun intérêt au débat.
Alors va te palucher sur d'autre histoires mais n'en dégoûte pas les autres.
belle histoire, et bien ecrite en plus..:)
je ne sais pas si elle est vraie mais elle est tres divertissante en tout cas:)
moi non plus je ne cracherais pas sur 1 beauf' aussi bandant:):)