Je travaille dans une petite ville de province et il m?arrive très souvent de finir tard le soir. Régulièrement et par fainéantise, avant de rentrer chez moi, je vais manger un doner dans une petite boutique de la ville, non pas parce que je suis friand de ce plat mais parce que c?est rapide, que le patron est sympa et pour ne rien gâcher qu? il est mignon. Ceux qui ont déjà lu mes histoires savent que je flashe sur les étrangers. Cet homme a donc tout pour me plaire. J?ai souvent fait la fermeture et discuté longtemps avec lui. Un soir de cet été, était-ce à cause de la chaleur ? Je suis arrivé et j?ai trouvé le gars plutôt tendu et durant tout mon repas il n?arrêtait pas de me mater, fuyant mon regard dès que je levais les yeux. L?heure étant déjà avancée, il est allé fermer la porte d?entrée et baisser les stores comme il en avait l?habitude, me laissant tranquillement finir mon assiette? toutefois en passant à côté de moi, j?ai remarqué une énorme bosse sur son jean?s serré ce qui a eu pour effet de m?exciter, moi qui avait déjà fantasmé sur lui, seul dans mon lit. Il continuait à nettoyer son comptoir et ses fourneaux en parlant très peu, puis a disparu vers le remise et les toilettes sans me regarder. J?ai fini mon plat, il ne revenait pas et je commençais à m?impatienter.
Au bout d?un moment, je me suis levé et me suis dirigé vers la remise en l?appelant. Aucune réaction, j?ai poussé la porte et l?ai trouvé adossé au lavabo entrain de se caresser la queue. Mon sang n?a fait qu?un tour, sans un mot je me retrouvais en face de lui, il m?a regardé dans les yeux et de façon très directive à appuyer sur mes épaules pour que je m?agenouille devant lui. Inutile de faire un dessin pour savoir ce qu?il voulait d?ailleurs, il ne m?a pas laissé une seconde, je me suis retrouvé avec son chibre au fond de la gorge, le nez dans sa touffe de poils. Il allait et venait doucement dans ma bouche en poussant de petits gémissements entrecoupés de soupirs de satisfaction puis me plaquait la tête contre son bas ventre et me maintenait la queue au fond de la gorge pendant quelques instants. Il devait avoir envie de se faire sucer depuis très longtemps car très rapidement, il m?a saisi la tête et à augmenté la cadence, j?étais au comble de l?excitation et me branlait. En quelques secondes, il s?est retiré de ma bouche, et m?a giclé sur la gueule une quantité importante de sa semence. Sa jouissance était telle qu?il tremblait sur ses jambes. Je me suis relevé, essuyé, puis j?ai continué de me branler car je n?avais pas joui. Toujours sans un mot, il me regardait, à la fois gêné et très excité. Il avait déjà remballé sa queue, mais je voyais au volume de son entrejambe, qu?il ne débandait pas. Enhardi par mes gémissements, il s?est décidé à me toucher, il a baissé mon pantalon, puis brutalement mon boxer pour découvrir mes petites fesses qui n?attendaient que de se faire masser. A mes râles, il a très vite compris ce que je voulais et en moins de temps qu?il n?en faut pour le dire, je me suis retrouvé avec un puis deux de ses doigts dans la bouche pour les lubrifier. Ensuite, il m?a totalement retourné et appuyé de face sur le lavabo, m?a légèrement écarté les jambes et sans douceur aucune a écarté ma rondelle avec ses deux doigts, les enfilant jusqu?à la base de la main. Quand un mec est directif avec moi, mon plaisir est à son comble. Ma queue raide sans que je la touche laissait couler une bonne quantité de liquide séminal?
En le regardant dans la glace, je me rendais compte qu?il avait du mal a retenir son excitation. Je l?ai entendu défaire la boucle de son pantalon baisser sa braguette et sortir son chibre pour me l?appuyer sur la rondelle. Très rapidement, je me suis relevé pour lui faire comprendre qu?il n?était pas question qu?il me prenne sans capote. Je l?ai donc à nouveau sucé un peu, lui ai enfilé une capote et mis un peu de gel. J?ai a peine eu le temps de me relever, que déjà il m?avait retourné et poussait sans ménagement son membre dans mon fondement. J?avais un peu mal, mais sa bestialité me poussait au comble de l?extase. Je me retrouvais le torse sur le meuble qui entoure le lavabo, jambes légèrement fléchies et écartées entrain de me faire défoncer l?arrière train par les allées et venues puissantes de ce mec en rut. Il adorait cela. Le fait de pourvoir dominer un mec de cette façon lui procurait une jouissance indescriptible.
Même si sa queue n?était pas énorme, sa façon de me pilonner le cul me donnait envie d?encore plus de bestialité. Il l?a très vite remarqué, écartant au maximum, mes fesses avec ses mains, il a augmenter la cadence d?un cran. Ses couilles, venaient claquer sur mon entre-jambes et m?arrachaient à chaque fais un petit cri de plaisir. Ca l?excitait, mais aussi le gênait je pense, car il s?est penché sur moi, m?a collé une main sur la bouche en me disant de la fermer. Après quelques instants de ce matraquage du cul et sans arrêter de me tringler, il a posé une main sur le creux de mes reins et a exercé une forte pression comme intensifier ma cambrure. De l?autre m?a empoigné les cheveux pour tirer ma tête en arrière. Cette position, m?a obligé à fléchir un peu plus mes jambes et comme si cela était encore possible à tendre et à ouvrir mon cul encore plus. J?ai eu l?impression de me faire mettre par un étalon, plus ça allait et plus ses coups devenaient rapides et brutaux. Je sentais sa jouissance monter par paliers en même temps que la mienne. Tout en me maintenant la tête en arrière par les cheveux, je l?ai senti me donner ses derniers coups avant de libérer dans une poussée indescriptible sa jouissance trop longtemps retenue. De voir son visage ainsi marqué le plaisir, je l?ai suivi de peu, lui arrachant de nouveaux râles en resserrant ma rondelle à chaque giclée. Comme lorsque je l?avais sucé, il tremblait de tout son corps et me donnait l?impression d?être au bord de l?évanouissement. Il est resté quelques instants en moi pour se ressaisir, puis, très rapidement, comme un enfant pris sur le fait, s?est rhabillé et ma demandé de partir.
Je suis rentré chez moi un peu déçu que cela se soit terminé si brutalement, et me demandait ce que j?avais bien pu faire pour lui déplaire ainsi, pour comprendre plus tard (car je le vois régulièrement) que dans le monde de machos où il vivait, qu?il se « lâchait » pour la 1ère fois et qu?il prenait pleinement conscience qu?il préférait les mecs.
J'aime bien ton style, tu dis j'aime les étrangers mais tu ne nous décrit pas ton patron de restaurant? étranger mais de quelle origine? important pour notre fantasme à nous lecteur...Continu bisous