Et bien après de nombreuses aventures et quelques années de plus, j?étais complètement sûr de mon attirance pour les hommes.
Mes premières expériences d?adolescent avec P. mon demi-frère étaient toujours aussi mémorables.
Nos chemins s?étaient séparés. Il faisait sa vie, et père de 2 enfants et habite en Espagne.
Nous ne nous étions pas revus depuis une bonne dizaine d?année.
Il avait décidé de revenir au domicile familiale.
Nous avions passé l?après midi sur la terrasse, à discuter.
« Tu es devenu un vrai mec maintenant, si j?avais pu imaginer. »
Il est vrai qu?1m80 pour 90 kilos ça changeait des 60 kilos à 13 ans.
« Alors tu es toujours homo ? Au moins tu as pas eu le cran de suivre tes choix.
J ?ai eu des attirances des fois avec des mecs, mais je n?y suis jamais allé. »
Je ne voyais pas pourquoi il me disait ça.
Donc la journée s?est passée, discutant de banalités, puis le soir arriva.
Les parents étaient partis se coucher. Mon frère allait partir quand il me lança :
« Tu veux boire un verre dans un café en ville ? Je t?emmène et te ramène si tu veux. »
Ça n?engageait rien et comme je sais que mon demi frère a un penchant pour l?alcool.
Nous voilà donc parti dans un pub.
Plusieurs bière éclusées, j?ai une envie de pisser qui me prend.
Je descends donc aux chiottes pour me soulager et laisse P. au bar. Je ne sais pas quelle heure il est car comme j?avais un peu trop abusé de l?alcool, j?ai un trou? de mémoire.
Je ressors des chiottes trempé car je me suis à moitié cassé la tronche tellement je suis plein.
Je remonte donc à la surface, mon demi-frère et toujours là et le bar va fermer. Nous essayons de rejoindre la voiture moi avec beaucoup de mal, mais P. me transporte.
Montés dans la voiture ; nous voilà sur le chemin du retour. Il fait nuit noir. Arrivés à mi chemin, P. posa sa main sur ma cuisse.
« Tu connais un endroit tranquille dans le coin ? »
Cette parole me fit le coup d?une douche froide qui réveilla mes esprits.
« Euh non, je n?ai pas trop l?habitude des coins à la campagne. »
Et d?un coup de volant brusque, nous voilà embarqués sur les petits chemins de terre.
Il avait déjà pris les opérations en main en prenant ma main et la posant sur sa bite.
Je me retrouvais plongé une 15 aine d?années en arrière.
« J?ai envie, pas toi ? »
il gara la voiture sur le bas côté, à l?abris des regards et des phares de voiture. Mais à 2h30 du matin, il n?y a aucun passage.
Il déboutonna mon jean et de sentir son sexe toujours aussi gros sous cette lourde braguette me redressa au plus haut point.
Enfin je la retrouvais, cette bite qui m?avait si bien écartelé la rondelle et j?allais pouvoir lui rendre la politesse du plaisir qu?elle m?avait procuré.
Putain ce qu?elle était belle et grosse.
Je réalisais pourquoi à cette époque mon cul m?avait fait si mal. Avec le temps, elle avait dû prendre sa taille adulte et j?en avais vu défiler quelques unes ou plutôt je n?avais pas fait que de les voir. Disons que mon côté face avait été bien besogné par des mâles en rut.
Mais je dois dire que mon demi-frère avait été gâté par la nature. Un gros sexe assez large de haut en bas d?au moins 19cm.
P. recula son siège pour que je puisse en profiter et je ne tardais pas à ouvrir ma bouche sur ce gland rond. Il sentait assez fort le mâle après une bonne journée.
Je gobais donc ce pieu de toute ma bouche et failli m?étouffer quand il buta au fond de ma gorge.
Je crois que c?était la première ou deuxième fois que je le suçais. Pourtant nous n?étions pas à notre 3ème partie de baise ensemble, mais il n?avait jamais voulu que je le pompe. Il avait toujours préféré se défouler entre mes fesses.
Donc je commençais à pomper cette colonne et P. avait l?air d?apprécier compte tenu de sa respiration forte.
Peut ?être regrettait-il de ne pas m?avoir laisser m?occuper de son entre-jambe plus souvent.
« Putain tu suces bien, t?aimes ça la queue? Elle te plait hein? Vas-y continues?. »
Il ne croyait tout de même pas que j?allais m?arrêter en si bonne dégustation.
Sa main droite me branlait ou plutôt essayait car il voulait plutôt que je lui fasse du bien plutôt que de m?en procurer. Mais l?avoir sous la langue remplaçait toutes les branlettes qu?il avait pu me faire.
Il commençait à être mûr. Son bassin débutait les vas et vient dans ma bouche.
La bête se réveillait. Il ne voulait plus mes lèvres en guise de bracelet pour ses couilles mais le trou qu?il avait posséder à maintes reprises.
Ses doigts avaient commencé à le sonder et je me dandinais sous la pulsion de ses phalanges.
« Ton cul est bien ouvert?. Il a dû en passer des grosses bites dans ce trou?Lâches mon gland, il faut que je te la mette profond? »
Avec le son de sa voix, je savais qu?il n?allait pas se gêner pour me bourriner les intestins.
D?un coup de poignet sur la poignée, je mis mon siège en position couchette et je retirais mon jean pour lui offrir la vision de ma rosette humide.
J?aurais espéré qu?il y mette la langue mais ça ne doit pas être une de ses habitudes.
Il ne doit pas connaître le plaisir que cela procure.
Il essayait donc de s?extirper de sa place et se plaça au dessus de moi. J?avais les pattes écartées sur le tableau de bord et il présenta son gros gland gonflé à l?entrée de ce cul (qu?il devait aimer je crois) la position n?était pas confortable car peu de place il y a dans une clio.
Nous n?allions pas y arriver et pourtant combien de fois j?avais espéré ce moment ou mon demi-frère voulait me dominer mais que c?est moi qui lui montrerait qui mène la danse dans un plan.
(Et oui ce ne sont pas toujours les actifs qui prennent mais souvent les passifs qui se donnent.)
Et donc comme je voyais qu?il n?allait pas y arriver, je pris les choses en main.
« Laisses moi faire et mets toi à ma place? »
Je le laissais donc s?installer sur mon siège passager ce qui le mit à son avantage car ça tendit sa bite toute luisante de ma salive.
Je me positionnais donc à califourchon au dessus de lui, écartant mes fesses pour que la pénétration se fasse sans encombre.
Je voyais qu?il mourrait d?impatience de me transpercer mais je laissais jouer mon intimité à la pointe de ce sexe pour qu?il n?en soit que plus dur. (Et oui, faire patienter le mâle l?excite encore plus et une fois qu?il a ce qu?il veut, il ne s?arrête pas pour vous montrer qu?il n?aime pas attendre).
Donc il voulait d?un coup sec me faire gueuler, mais je lui résistais. (très peu car j?avais envie de le recevoir).
Je fléchissais mes jambes pour que le gland commence à écarter la fente mouillée, et par étape, doucement je descendais sur ce pilonne ; serrant le rectum pour qu?il sente bien le muscle lui enserrer toute la tige.
J?arrivais au niveau de ses 2 belles couilles et là il n?en revenait pas.
J?étais empalé de toute la longueur.
« Wwwwouaaa. Ce cul, huuummmmmmm? Putain il est trop bon. »
Il faut toujours qu?il soit vulgaire quand il baise c?est encore son côté de domination qui surgit ; le frustré il est clair qu?il ne peut pas dire ça à sa femme ou plutôt ses ex-femmes.
Enfin je m?en foutais, j?avais plusieurs centimètres dans le fondement et il pouvait bien dire ce qu?il veut à ses dames, elles n?avaient pas dû lui offrir ce côté de leur personne.
Si elles savaient le plaisir que l?on procure aux hommes et qu?ils éprouvent dans un cul, beaucoup se mettraient à la sodomie.
Donc revenons à mon instant, juste le moment où l?on sait que tout l?être est en soi et que l?autre découvre le bien-être d?y être. (ces quelques secondes où il n?y a aucun mouvement ; que les formes d?emboîtement s?épousent.)
« Putain ce cul? hummmmm on dirait une chatte?tu la sens toujours autant ma grosse queue? »
Combien d?années il m?avait posséder sans que je n?ose dire un mot et là je prenais ma revanche ; c?est lui qui avait envie de moi.
« oh ouiiiiii P. elle est toujours aussi épaisse j?adore? vas-y? tu es bien ? ? »
« Oh que oui, c?est trop bon. Je vais te donner tout ce que j?ai? »
Et là complètement assis sur sa grosseur, je commençais à remuer de la croupe et du sphincter pour qu?il ressente le besoin de jouer des reins. Il n?en revenait pas du côté agréable de mon intérieur.
« Tu as dû en prendre dans le cul des bites? il est géant? ça rentre comme dans du beurre? Il est trop bon? ils ont de la chance d?avoir un bon trou à dispo tes potes? je pourrais y rester des heures? »
Je trouvais qu?au fil des années, il avait perdu de la vigueur, mais c?était toujours bon.
Je prenais plus mon pied qu?au par avant où il m?avait arraché mes premières larmes.
Là ce qu?il m?arrachait, c?était des moments de plaisirs et de gémissement.
Nos acrobaties duraient depuis un petit moment, moi à califourchon sur ses cuisses puissantes et j?attendais le moment magique où il allait exploser dans mon cul.
Ce n?est pas faute de l?avoir excité et laissé me dominer en faisant ma salope, mais nous n?arrivions pas à cette extase?
« j?ai trop picolé me lança t?il. Je n?y arriverai pas. »
J?avais vraiment envie de le sentir se perdre en moi, mais déjà je sentais que sa fougue partait et que son sexe nageait un peu plus dans ma dilatation.
Il n?eut pas de mal à se retirer mais j?avais quand même retrouvé des sensations éprouvées avec lui.
Je descendais de la voiture pour qu?il puisse reprendre la place du conducteur.
Après un baiser sur les grosses couilles qu?il n?avait pas vidé, il passa la première en direction de la maison.
Je gardais ma main sur ce sexe si désiré et qui m?avait appartenu pendant qu?il conduisait.
Arrivé à la maison, je descendais de sa voiture, lui faisant la bise sur les joues et une sur son sexe mou adoré.
« Salut, à la prochaine? et pas un mot sur? »
« Ne t?inquiètes pas? »
Qui sait la prochaine fois ce sera un couvert remis ; je le remettrai volontiers. Nous verrons à notre prochaine rencontre.
Par contre, il est dingue de faire le triste constat que les hétéros refoulés se sentent honteux ou orgueilleux d?avoir eu du plaisir avec un mec et croient que l?on va aller voir le reste de leur famille pour leur expliquer ce qu?ils ont fait.
Nous ne sommes pas comme ça. Nous voulons la même chose qu?eux : Du Plaisir.
Alors messieurs, assumez cette part inassouvie et foncez.
moi mes 3 ex je ne fus que leur vide-couilles
mais alain c'est mon mari pour nos 3ans il vient de m'épouser ce fut le 28 Mai (hier) et c'est super !!! à 43ans (j'ai 19) il est différent,lui
Yannick jeune infirmier de nuit passif de Lyon