Pour continuer mon récit, je vais me permettre de garder pour moi ce qu'a été la fin de notre nuit... Je pense vous en offrir assez, et j'en ai encore beaucoup à vous donner, donc permettez moi de garder jalousement les grands moments de notre première nuit...
Ce qui vous a certainement surpris, c'est le revirement de Jerem', Vous pensez bien qu'au fond de moi cette nuit là, je m' étais dit que le lendemain serait bien différent, et que quand à faire, je devais profiter dans l'instant de ce que le Monsieur me donnait...
Et bien j' étais loin du compte...
Quand tard, très tard dans la nuit, nous n' avions de cesse de nous embrasser et de chercher chez l'autre les faiblesses de plaisirs, nos corps déjà s' étaient donné le maximum de ce qu'un mec peut attendre d'un autre pour une première nuit... J'ai commencé à me poser des questions, quand en plein câlin, nous avons entendu une clef tournée dans la serrure de la porte d' entrée... Nos aînées étaient de retour, et je pensais que notre nuit était déjà à oublier... Au lieu de cela, Jerem', s'il se calma quelque peu, s' allongea tout contre moi, et glissa sa tête dans le creux de mon épaule... Un de ses doigts vint se poser sur mes lèvres l'espace d'une seconde, et il ferma les yeux... Nos corps étaient toujours nus, nos membres phallique n'étaient pas au grand repos, mais le bruit dans l' appartement avait quand même refroidi nos ardeurs....
C'est ce tableau que découvrit Alain, quand après avoir doucement tapé à la porte, il l' ouvrit pour vérifier que tout allait bien... Mème si nous simulions le sommeil, je ne sais toujours pas aujourd'hui s'il fut dupe, mais très nettement je l' entendais dire à ma soeur :
"- Je crois qu'ils se sont découvert..."
Jerem' aussi l' entendit, parce que le gloussement sourd qu'il émit quand la porte se fut refermée, et la façon qu'il eut de me serrer contre lui, n'avait rien de sommeillant...
De plus, le lendemain matin, nous avions eu la surprise de nous réveiller, la couette rejeter sur nos deux corps, Jerem' m' affirmant ne pas l'avoir remise lui mème, le mystère était entier...
En me rhabillant de mon caleçon, j'avais pour tout dire, la crainte des prochaines heures... Comment allait réagir Jerem', Comment son frère allait il voir notre rapprochement de la nuit...
Heureusement très vite, mes craintes furent envolées...
Quand je sortit de la chambre, Jerem' me demanda de voler à son secours ; la veille au soir, il était simplement habillé d'une serviette, et il me demandait d'aller chercher pour lui, son caleçon, et jeans, resté dans la salle de bain....
Bien évidemment, dans ces cas là, il faut toujours que l'on rencontre en chemin, les gens que l'on aimerai voire sur une autre planète...
Non, j' exagère, je vous ai déjà dit que j' adorai ma grande soeur, mais avouons quand même, que d' embrasser sa soeur en caleçon au milieu d'un couloir, et surtout, porteur d'un autre caleçon dans une main et d'un jeans dans l'autre peut prêter à sourire...
Je me dépêchais donc de retrouver la chambre, ou Jerem' était toujours au lit... Soucieux de me rassurer sur la suite de la journée, je m' asseyais sur le bord du lit. Il avait les yeux grands ouverts, me fixant intensément... Je me penchais plein de crainte, je m' attendais à nouveau à être rejeter, mais l'un de ses bras passa dérrière ma nuque, et m' attira à lui...
De nouveaux nos lèvres se soudèrent... Je m' allongeais sur son corp par dessus la couette sans quitter sa bouche, et un nouveau et long baiser vint enflammé mes sens... Quand nos langues se séparèrent, je gardais son visage entre mes mains, je scrutais son regard, et lui posait la question qui me faisait si peur...
"- Et maintenant ?"
"- Quoi maintenant ?"
"- Maintenant, qu'est ce qu'on fait... Ton frère nous a vu hier soir..."
Pour toute réponse, il me reprit la nuque, me fit rouler sur le lit, et me dit :
"- Ben maintenant, il ne reste plus qu'à assumer..."
Je me relevais sur un coude, et heureux de son effet il continua :
"- Tu m' en veux toujours pour la salle de bain, c'est ça ?"
"- Non, bien sur, je ne t'en veux pas, mais j'ai pas tout compris je crois.."
Alors il s' expliqua...
Jerem' quelques temps plus tôt, avaient eu lui aussi une liaison avec un autre mec, puis les sentiments de l'autre s' étaient estompés, laissant mon nouvel ami totalement désemparé, malheureux et certain de ne jamais replonger dans les bras d'un autre garçon...
Pendant ses mots, j'ai posé ma tête contre son torse, tandis que sa main courant dans mes cheveux, il continuait :
"- Moi aussi j'ai flashé hier quand je t' ai vu... j'ai eu envie d'être avec toi hier soir, c'est pour cela que je ne suis pas allé au restau... Puis il y a eu ma douche, tu en avais envie, alors j'ai voulu que tu vois, mais j'ai eu peur.. peur que tout aille trop vite..."
Il fait une pose, me regarde armé d'un magnifique sourire, et continue :
"- Maintenant, le ciel ne va pas s' effondrer, ta soeur te connaît, mon frère me connaît, et j'ai faim..."
A ce moment précis, la porte de la chambre s' ouvre sur Alain... j'ai un sursaut de panique, et tous les deux éclatent de rire devant ma confusion...
Alain vient nous annoncer que ma soeur et lui partent en course... Il seront absent pour le déjeuner, et nous indique que l' appartement est quasi rangé, que nous pouvons profiter de notre matinée...
J'ai cru discerné chez lui un petit sourire avec ses derniers mots... Il nous fait un petit signe de la main, et referme la porte...
Aussitôt le battant refermé, Jerem se jette sur moi et il n'est pas long à se retrouver assis complètement nu sur mon torse ...
"- Jerem', tu m' as pas dit que tu avais faim ?"
"- Si, faim de toi"...
Comme pour donner un signe à sa dernière phrase, sa verge commence à prendre vie ; je ne peux résister longtemps à tendre la langue vers cet objet qui à quelques centimètres de mes lèvres semblent maintenant me narguer...
Les deux bras tendue de chaque côté de mon torse, il fait mine de vouloir forcer ma bouche, ce que par jeux je lui refuse... Loin de s' avouer vaincu, il quitte mon torse, pour s' allonger tête bêche à mes côtés... A mon tour, j 'immagine son visage à quelques centimètres de mon dard, qui se sent maintenant bien à l' étroit dans le caleçon que je porte toujours...
Répondant à ma provocation, à son tour Jerem' s' amuse de la barre tendue qui déforme mon sous vêtement... A plusieurs reprise, je lève les reins, espérant qu'il me déferait de mon ultime vêtement, mais à chaque fois ses bras sur mes hanches jouait à me repousser contre le matelas... Sa langue vint même me mordiller le gland a travers le tissus, j' étais fou, la chaleur de sa bouche plus la sensation du tissus sur mon extrémité rendue si sensible, me faisait râler...
Heureusement que nous étions alors seuls, car nos aînés n' auraient pas manquer de s' inquiéter de nos rires bruyants..
De mon côté, je ne perdais rien pour lui rendre la pareille... Sa verge tressautait toujours à l'attente de ma bouche, et pour encore plus le narguer, ma langue venait par moment caresser sa hampe qui à chaque fois se tendait dans un spasme...
Le supplice que je vivais n'avait plus de nom, ma hampe était prisonnière de mon tissus, et sa main maintenant m' infligeait une caresse qui, bien que divine, n'était certainement pas ce que je demandais ce matin là...
Profitant d'un moment de relâche de mon amant, je le désarçonnais, et vint m' installer à genoux entre ses jambes... Comme si désormais il ne faisait qu'un, nos regarde se soudèrent à nouveau, et Jerem abandonna la partie... ses deux bras tombèrent le long de son corps, ses yeux se fermèrent encore et il se donna à mes caresses...
J'avais devant les yeux le tableau magnifique d'un garçon qui était pour moi de loin le plus beau, totalement à ma merci, et qui semblait ne vouloir réagir à rien...
Je me couchais sur ce torse, bien décider à l' aimer, bien décider à en profiter à fond, puisque c'était là ce qu'il attendait !
Ma langue repartit à la recherche de la moindre parcelle de peau que j'avais tant et tant déjà inspectée, mais dont je savais que je ne me lasserai pas... Ses mains emprisonnèrent ma tête, essayant de me guider plus bas, encore plus bas ; mais je lui résistais. Ses jambes se nouèrent autour de mes reins, et je sentais contre mon ventre battre sa lance qui cette fois, elle aussi, vivait un véritable supplice... Quand enfin l'objet fut contre mes lèvres, je m' amusais encore à garder la bouche fermée, attendant qu'il force le passage... Enfin je le délivrais, ma bouche autorisa l' intrusion, et mis à mal, il ne fut pas long à ressentir les premiers soubressauts, les premiers vertiges annonciateur de son plaisir...
Comme il l'a fait la veille, je ne veux rien perdre de sa liqueur, aussi, à mon tour j' aspire tant que je peux sur cette barre chaude et tremblante... Il est arc bouté dans le lit, son corps semble lui être incontrôlable, et c'est par fortes giclées que je reçois ce que j'ai tant désiré...
L'instant d'après, il semble ailleurs tentant de retrouver ses esprits, mais je n'ai pas terminer mon exploration... Dans un regard malicieux, il le comprend quand je viens m' allonger contre son flanc, après avoir quand même retirer mon caleçon... Quand ma main glisse sur son dos, tandis que nos yeux ne se lâchent pas, sa jambe s'est repliée, et mon doigt peut continuer son exploration...
Repliant son avant bras, il pose la tête sur son coude, glissant sur le ventre... Je profite quelques secondes de la beauté de son corp. Ma main caresse maintenant ses deux globes charnus, d'elles même, sans sollicitation, ses jambes s' ouvrent en un compas géant, ou ses pieds semblent vouloir accroché les bords extrême du matelas...
Mon corps ne reste pas sans réagir au spectacle qui m' est donné, ma lance crie déjà victoire, sachant le lit de douceur qui l' attend.... Il ne bouge pas quand je m' agenouille entre ses cuisses. Il ne bouge pas plus quand il me sent me coucher sur son dos ; mais quand ma langue s' appuie sur sa nuque et commence a glisser le long de sa colonne vertébrale, j'ai l'impression de lui voler toute sa force, plus je descendais vers ses reins, plus il s' arcboutait... Je le devinais les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, attendant mon corp contre ses reins...
Ses fesses puissantes m' offrent la vue d'une fleur brune que je m' empresse de lécher et de forcer de ma langue... De lui même, son corp se tend pour m' offrir plus d' aisance, plus de bonheur ; aussi, quand mon cèpe d'amour se présente à l'entrée de ses reins, c'est lui qui vint à ma rencontre, s' empalant sur ma barre tendue...
Je n'ai rien à faire d'autre que de le laisser faire... Je ne le prend pas, il se donne ; et le temps qu'il met à s' enfoncer sur mon pieu, me prouve combien il aime cette sensation de ma chair s' enfonçant en lui...
Quand en fin mes deux boules sentent sa peau, quand je n'ai plus un millimètre à lui donner, nous restons longuement figé l'un à l'autre sans bouger...
Chaque vibration de son corp m' est transmise par ma tige serré au plus profond de lui ; nous ne faisons qu'un et quand couché sur lui son bras entoure mon coup, il me dit :
"- Ne bouge pas, Ne bouge pas..."
De longues secondes nous avons savouré ce moment ; et quand j'ai voulu bouger en lui, j'ai compris que nous venions de vivre un moment rare... Quand j'ai explosé au fond de ses entrailles, nous avons hurlé tous les deux au même moment. Je me rendais seulement compte alors, que lui aussi venait de se vider une nouvelle fois...
La première partie de ce texte a fait réagir bon nombre d'entre vous. Merci pour vos réactions sur le site, pour vos mails aussi... Merci aussi pour votre soutien lors de calomnie de plagiat... Devant ces accusations j'ai contacté les lecteurs accusateurs, évidemment sans réponse ; je vous avais promis la suite du texte, la voici... Cette histoire continue encore aujourd'hui, ma vie avec Jeremy n'a jamais cessé d'être mailleure de jours en jours... Comme un clin d'oeil de la vie, nous occupons à notre tour, aujourd'hui cet appartement ou nous nous etions découvert... A trés bientôt
ce n'est pas qu'une histoire érotique, c'est simplement une merveilleuse histoire d'Amour et mon Dieu que c'est beau. On aimerait la vivre aussi. Je vous souhaite tout le bonheur du monde !
j'ai lu avec beaucoup de plaisir ton (ou plutot votre) histoire je ne peux que te souhaité beaucoup de bonheur et un longue vie à votre amour (je suis en couple depuis 9 ans).
je réitère: cess deux textes sont tous deux émouvants, et quand bien même l'histoire serait fausses ou plagiés il m'est impossible de croire que celui qui les a écrit n'as pas vécu ces sentiments d'abandon de soit et d'amour intenses.
Merci
vas voir sur ton precedent recit ma reponse,car j'ai fait une reponse que tout le monde peut lire
alors arretes de dire que tu n'as pas eu de reponse
sois honnete
et c'est vrai je ne t'ai pas repondu en particulier mais devant tout le monde
je pense que c'est plus courageux
j'ai beaucoup apprécié ton texte, c'est chaleureux, plein d'amour vécu, je retrouve de grandes émotions partagées moi aussi avec celui que j'aime; mais quel dommage que ce beau style soit parfois gâché par des confusions entre les participes passés et les infinitifs...! Je sais, c'est accessoire, mais ce serait encore plus agréable sans ces petites lacunes ; cependant rassure-toi on trouve encore bien pire dans ce genre de récit.
Sans rancune et long amour à vous deux
un déménagement d'exception (la suite) du 14/02/2006
Salut FunDom,
J'aime bien tes histoires et je sui surpris des réactions agressives de certains lecteurs. C'est vrai on retrouve FunDom sur gay-eros et sur textesgais, avec les mêmes histoires, c'est pas du plagiat, t'as le droit d'écrire où tu veux.
Bye les grincheux et Joyeux St Valentin plein de fun.
Bises
Il est très rare que je réagisse aux histoires, expressions etc... mais la j'avoue que je suis plutôt émus ! Je n'ais que deux seules choses a dire concernant cette histoire (en 2 parties). Pour les avoir validées et donc lu chacune d'entre elle...
Bravo pour ce récit... Qui m'a fais aussi bien plaisir à lire, sourire et frissonner. Le ton, l'humour et l'amour entre mec sont bien mit en avant ! C'était très délicieux et si joliment raconté !
Continuer à nous épater encore et encore... et surtout bonne continuation à vous 2 et longue vie à votre amour ;-)))