Un vendredi soir un peu tristounet, je rentrai, par hasard ou par impulsion, dans un bar gay connu du centre ville avec une vague envie de rencontre ou de câlins, je savais pas trop.
Il était encore trop tôt pour qu?il y ait du monde. Je m?installai au bar, les yeux fixés sur le miroir qui me renvoyait l?image de la salle. Quelques jeunes étaient attablés. Ils étaient prêts à partir. A ce que j?en pus déduire ils étaient en couple, pour la soirée ou depuis plus longtemps. De jolies frimousses pour certains mais ils n?étaient pas là pour moi? donc...
Je m?occupai à siroter mon coca (je ne bois pas d?alcool ou très peu). Le barman paraissait plutôt désoeuvré et avait une conversation animée avec son portable. Ses affaires de c?ur ou d?alcôve n?avaient pas l?air d?être idylliques? Mais je n?étais pas là pour lui? bogosse, boQ mais trop efféminé et trop voyant.
Du mouvement dans la salle qui commençait à se remplir et à se vider à la fois.
Un groupe de pédales grand teint déplace deux tables pour se rassembler et se raconter bruyamment les derniers potins... J?évite
Au fond de la salle, près de l?escalier qui descend aux toilettes, un bogars, cheveux bruns courts, la petite quarantaine. En complet bleu clair, le col de chemise défait après, je supposai, une journée de cravatte obligée. Un peu de gris aux tempes, l?air absent, il se fait servir par le barman qui lui joue le grand jeu de la vierge dans le besoin, sans résultat.
Je le regarde, il me plaît bien. Ses yeux croisent les miens dans le miroir, un peu lointains et blasés. A voix basse, un peu pour me tenir compagnie, je me dis :
- « encore un qui se sait beau et qui a déjà tout vu ! »
Pas pour moi.
J?abandonne.
Un mec de mon âge s?installe à côté de moi et engage la conversation, en me regardant, la salive au coin de l??il, si je puis dire:
- « pas beaucoup de monde, ce soir ! »
Il sent le beauf à plein nez. Je réponds pour être poli
- « Il est encore trop tôt pour qu?il y ait foule, tout le monde est à table à cette heure-ci »
Il se rapproche de moi, et pour attraper les cacahuètes sur le bar, me frôle ostensiblement avec sa main et son bras étendu devant moi libérant les effluves d?aisselles pas fraîches et trop parfumées. Je repousse sa cuisse qui s?est collée à la mienne, je prends mon verre et me lève.
J?ai 47a, d?accord, mais je suis pas destroy. De taille normale, brun grisonnant, pas mal fait, je peux encore plaire à autre chose qu?à un bidon sur pattes, plutôt pas net et vicieux qui plus est.
Je choisis une table sur le même côté que le bogars mais à quelque distance, je m?asseois sur la banquette contre le mur. J?allume une cigarette et je regarde un peu autour de moi. Les « grandes dames » rient beaucoup, se pâment et en font un peu trop. D?autres mecs arrivent, manifestement des habitués qui discutent avec le patron qui vient d?arriver. Style costaud, débardeur bien plein aux bras, piercing aux arcades sourcillières et à la lèvre, jean?s bien plein, surtout au dessus de la ceinture.
Je jette un ?il vers le bogars? Il a l?air, comme moi de s?ennuyer ferme. Il tripote son portable et me lance un regard beaucoup plus présent que tout-à-l?heure, presqu?amical. J?esquisse un sourire. Il est vraiment séduisant ce mec? (enfin pour moi !) et semble étranger en ce lieu, un peu comme moi, en fait. Il a encore plein d?expressions de fragilité enfantine comme l?approche de la quarantaine en conserve, un peu comme si l?enfant qui est en nous se refusait à vieillir.
Il sort une cigarette et cherche partout de quoi l?allumer?
Je le vois se lever et se diriger vers moi.
Gagné !
Je le regarde approcher. C?est une belle bête. Vu comme ça, la fragilité enfantine était une illusion. A peu près 1m80 1m82 il doit bien faire ses 85 kg, mais tout de muscle, ou presque. Je n?aurais pas imaginé une telle « barraque ». La démarche est celle d?un hétéro tranquille mais sur de lui. C?est sur qu?avec mon mètre 72 pour 66 kg, je fais poids plume à côté.
- « t?as du feu stp ? »
Je présente mon briquet allumé à sa cigarette et il me prend la main entre les deux siennes pour diriger la flamme. Ses mains sont fermes et leur contact très doux, juste assez appuyé pour ouvrir le dialogue mais pas assez pour être « agressif ». Je changerai d?avis plus tard.
- « Tu n?as pas l?air de t?amuser beaucoup » lui dis-je
Il me décroche un sourire complice et me réponds
- « Je pense que je ne suis pas le seul dans ce cas, non ? »
Je souris plus franchement. Son timbre de voix est très doux et très « mâle » à la fois. Vu de plus près c?est un vrai bomec. Les yeux clairs, gris, ou gris-vert je dirais, un menton rond, la peau un peu mate et satinée. Les épaules larges. Son pantalon à pinces met ses fesses rebondies en valeur. Il sent très bon. Un parfum très discret mais qui chatouille mes narines et mes sens, agréablement.
- « Assieds-toi, si tu veux?. » Lui proposai-je
- « Je veux bien. Je commençais à m?ennuyer un peu dans mon coin. Attends je vais chercher mon café »
Il alla récupérer sa tasse et s?installa sur le banc en simili cuir à côté de moi.
Gagné, vous disais-je ! il pouvait s?asseoir en face sur une chaise?.
- « Je suis ici juste pour quelques jours et les soirs sont plutôt sinistres, tout seul. »
- « T?es là pour le boulot ? »
- « Oui un séminaire organisé par ma boîte, je repars demain »
Tout simplement, le dialogue s?instaura. Je lui parlais de ma vie, un peu terne depuis ma séparation d?avec mon ex et lui de sa vie avec sa femme et de son attirance pour les mecs. Tout en parlant, il me touchait l?épaule ou le bras comme pour appuyer ses dires ou me faire partager ses émotions.
Chacun de ses contacts m?électrisait car il me regardait fixement chaque fois qu?il posait la main sur moi, pour évaluer ma réaction à son charme. Il savait très bien ce qu?il faisait. Je crois qu?il en jouissait.
Sa cuillère lui échappa et il entreprit de la ramasser, son oreille collée à ma cuisse. Il s?y attardait un peu trop pour que ce fut innocent; en effet, dans sa recherche, son oreille évoluait dangereusement vers mon paquet.
La tête de ce mec sur ma cuisse !!!! Je ne sais pas comment j?ai fait pour me retenir de la caresser !
Ce n?est pas un gourdin que j?ai dans le pantalon, mais ça commençait quand même à prendre de la place.
Il ne manqua pas de s?en apercevoir et me dit en souriant?
- « J?ai trouvé ma cuillère, mais ?.pas que ça? »
Sur ce, il posa la main sur l?intérieur de ma cuisse et commença un massage en remontant vers ma braguette. Je sentais ma bite durcir à son maximum, elle commençait à être gênante. Il vissait ses yeux aux miens et tout en discutant de choses et d?autres, me paluchait les burnes.
Je n?en pouvais plus. Ca allait un peu vite pour moi, surtout dans une salle de bar, il fallait que je remette de l?ordre dans mes idées et dans mon pantalon.
-« excuse moi, je te laisse un moment, »
Je me levai et descendis l?escalier vers les toilettes d?une démarche un peu raide. Je me posai devant un urinoir et le temps de sortir ma queue, j?entendis la porte faire son bruit de ressort et sentis son souffle à mon oreille
- « Tu veux un coup de main ? »
De main ? Ce n?est pas vraiment ce à quoi je pensais à ce moment là?.
Avant que j?ai eu le temps de répondre, il avait collé son bassin à mes fesses. Un barreau massif et dur me frotta sans retenue, à travers son pantalon. De sa main, il saisit ma queue bandée?.
- « je ne crois pas que tu vas arriver à faire pipi ! » dit-il avec une pointe d?ironie
Il fixait toujours mes yeux, un demi sourire au coin des lèvres et tirait sur mon prépuce pour découvrir le gland. Il se mit à faire des va-et-vients très lents alors que je sentais son barreau de plus en plus dur contre mes fesses.
J?étais cambré, ma tête appuyée à son épaule. Il lâcha mon membre palpitant et d?un coup, baissa mon pantalon et mon string jusqu?aux chevilles. Je l?entendis dégraffer sa braguette pour sortir son engin. Il le plaça le long de ma raie et reprit son mouvement sur ma queue en frottant la sienne dressée contre mon cul. Sa bite semblait d?un format assez peu courant ? tout au moins pour moi- tant par son épaisseur, sa dureté que sa longueur.
Il me prit par les épaules et me retourna.
Je pus enfin le regarder en face. Il avait du laisser sa veste à la table et avait défait sa chemise. Je confirme, c?était vraiment une belle bête. Un torse large, puissant et poilu assez dru, un ventre quasiment plat, juste un peu souple à la ceinture, des cuisses et des bras faits pour ou par le sport. Foot ? Rugby ? Je ne sais pas, mais ce que je savais c?est que je devais faire vraiment fragile à côté. C?est peut-être ce qui lui plaisait.
Il me poussa pour m?appuyer à l?urinoir et me roula un patin. Sa bouche était fraîche, humide et avide. Je fourrageai dans les poils de son torse, tâtant la puissance de ses pectoraux. Il releva mon t-shirt, lécha mon oreille et mon cou, ma poitrine, gratifiant mes têtons d?un petit coup de dents au passage, aspira mon nombril, le pénétra de sa langue, et sans plus attendre engloutit ma bite, qu?il laissa au fond de sa gorge un long moment, lui donnant des mouvements de langue et d?aspiration, et en massant la base avec ses lèvres. Plus qu?agréable. Puis il avança et recula la tête pour parcourir plusieurs fois la hampe sur toute sa longueur et finir par enserrer le gland entre ses lèvres, titillant le méat de la pointe de sa langue. Sa langue faisait des mouvements tournants sur mon gland. Pendant ce temps ses doigts palpaient mes couilles et s?insinuaient, curieux, entre mes fesses.
Le gourdin de chair rigide et agité de soubresaut au bas de son ventre attirait ma bouche irrésistiblement. Je voulus me baisser pour lui rendre la politesse et m?en occuper mais il me retint.
- « Après ?. » me dit-il « ?.J?en ai pas fini avec toi? »
J?étais un peu frustré, mais je laissai tomber, me contentant de caresser ses testicules durs comme des gros cailloux et d?imprimer des mouvements de va-et-vient à sa matraque. Ce truc devait avoir un effet dévastateur?.Il m?aida à défaire mes baskets et à sortir mon pantalon et mon string. J?avais eu une hésitation, me trouver nu dans un lieu public m?inquiétait, mais nous ne devions pas être les premiers à faire ça ici. Et puis l?excitation était trop forte?.
J?étais à présent, les mains sur l?urinoir, les jambes écartées, lui tournant le dos. Il léchait mon dos et mes reins. Il s?arrêtait de temps en temps pour me masser les épaules, les fesses, les écarter et caresser furtivement ma rondelle, soupesait mes bourses par derrière, puis il reprenait ses léchouilles.
Il descendit, tira ma queue en arriere et reprit ses mouvements de langue sur le gland, sur les burnes et planta d?un coup sa langue dans mon trou. Une langue humide et très rapide. Entrant, sortant, tournant, piquant, léchant? Il appuya sur mes reins pour que mon recoin plissé s?ouvre plus à ses caresses?
Je l?entendais respirer fort et sentais sa salive couler le long de mes cuisses. Ma tête allait de droite à gauche et je poussais de petits gémissements. Il décidait de tout, je n?avais qu?à accueillir le plaisir qui montait en moi. On aurait dit qu?il devinait mes moindres désirs. Je vibrais et vibrais encore sous ses caresses.
Je l?entendis me dire
- « tiens-toi bien ! »
Je m?accrochai aux rebord de l?urinoir, il enroula ses bras puissants autour mes cuisses et éleva mon cul vers sa bouche. Il était vraiment très fort. Vous dire l?effet, de se retrouver à moitié en l?air tenu par des bras puissants et une langue vissée dans le trou, serait impossible. Le plaisir à l?état brut.
Je sentais mon intimité palpiter et s?ouvrir de plus en plus. Il me reposa et passa son ongle le long de ma colonne vertébrale, ce qui me fit cambrer et resserrer mon trou qu?il viola à nouveau de sa langue. Ah il en connaissait des subtilités. Si vraiment il était marié comme son alliance semblait le dire, il s?était certainement trompé de voie ?.
Depuis que nous étions là, des mecs passaient pour éliminer leurs boissons, certains s?attardaient et regardaient puis repartaient. Leurs regards m?étaient indifférent, j?étais comme prisonnier de mon plaisir, dans un autre monde.
Il se releva et se remit à me lécher l?oreille et entre deux coups de langue inquisiteurs me souffla :
- « Je veux te prendre, là, comme ça »
Je ne demandais pas mieux. Je n?avais pas peur de sa queue pourtant belle, j?étais suffisamment lubrifié pour la recevoir d?autant que j?en avais plus qu?envie, je la désirais? profondément? ce qui n?allait pas manquer de se produire?. Je tâtai discrètement son membre. Je ne sais pas comment il avait fait, mais il avait réussi à mettre une capote sans que je m?en aperçoive..
Il reposa mes mains sur l?urinoir, reprit mes cuisses, un peu comme une brouette, m?éleva un peu, pour présenter mon orifice à son gland et il poussa pour me pénétrer. Je me sentais écartelé par ses bras, incapable de la moindre initiative et sa queue commençait à ouvrir mon cul. Elle était hyper raide et très épaisse. Bien que bien préparé, je ressentis une vive douleur au passage du gland. Il s?en aperçut, permit à mes pieds de reprendre contact avec le sol, s?immobilisa et me serra très fort dans ses bras.
Puis, la douleur s?évanouissant, il reprit son avancée par paliers, ressortant, re rentrant. Une fois entrée à peu près à moitié, il ne bougea plus?. Ses doigts caressaient mon dos?.mes têtons ?.puis restaient immobiles, malaxant mes fesses, jusqu?à ce que je m?impatiente et vienne m?empaler moi même complètement sur son pieu.
Il poussa un soupir de contentement
- « voilà ce que j?attendais, je voulais que tu me donnes ton cul toi-même »
Il me fit reculer, toujours écartelé par son membre. Et me fit pencher les mains posées au sol..
- « Il me plaît beaucoup et je m?y sens très bien » compléta-t-il
- « il est à toi?. » Lui répondis-je me cambrant pour l?accueillir plus profondément.
Il commença alors un savant travail de lime. Entrant, sortant, à moitié, à fond, juste au bord?.et d?un coup jusqu?au fond?.J?avais beau être ouvert, ça me secouait pas mal les entrailles vu comment il était monté.
Tout à l?heure, il s?était occupé exclusivement de moi et de mon plaisir et là, il s?occupait uniquement du sien, utilisant mon cul comme un fourreau à jouir, à sa vitesse, à son désir, à sa puissance. Je bougeais dans tous les sens et n?avais plus aucune sensation normale du lieu où nous nous trouvions. J?étais pris par ce mec et par des vagues de plaisir et de bonheur.
Il appuyait sur mes reins pour mieux me pénétrer à fond et donnait quelques coups violents pour aussitôt la ressortir et la renfourner. Il reculait, me donnait une claque sur les fesses, regardait la réaction et rentrait jusqu?à la garde, cela de nombreuses fois, s?amusant surement à me regarder me cambrer à chaque pénétration et me détendre à chaque sortie. Puis il se retira, s?assit sur le bord de l?urinoir, passa mes mains autour de son cou, me saisit aux fesses, me leva et me laissa glisser sur sa bite turgescente collée à son ventre.
Une véritable bête de sexe, ce mec. J?avais bien fait de passer par là, ce soir.
Je le sentis me descendre sur son pieu? Je ne sais pas si ça vous est arrivé, moi c?était la première et surement la dernière fois, mais c?est magique comme sensation? Ce n?est pas la bite qui vous prend?c?est vous qui la prenez, au désir et au choix de l?autre. Vous devenez son couvercle, son bonnet, sa niche, sa capote, son trou. Raconté cela peut paraître avilissant, mais vécu?.Oh que non ! Je n?étais pour rien dans mon plaisir, il faisait tout. Nous étions dans les bras l?un de l?autre, mes jambes serrées autour de ses fesses, assis sur le haut de ses cuisses, à bouger d?avant en arrière pour sentir son dard fouiller mon ventre.
Je me doutais que, même costaud, il ne me tiendrait pas comme ça longtemps.
Je ne m?étais pas rendu compte que deux mecs nous observaient depuis quelques temps, se branlant devant le spectacle. L?un d?entre eux caressait mon anneau et la base de la queue qui l?emplissait et caressait tour à tour mes fesses et les couilles de mon étalon?.
Regardant les mecs se branler, il me demanda :
- « Tu aimes ça, à plusieurs !!? »
- « J?aime bien, oui ! » lui répondis dans un souffle, excité par l?idée
- « Ca tombe bien, moi aussi ! » me dit-il en pliant ses genoux pour me permettre de me dégager.
Le premier mec, voyant que la place était libre s?approcha, la queue à la main, pour m?enfiler. Il le repoussa gentiment mais fermement..
- « Son cul est à moi, si tu veux bien? Je te laisse la bouche?»
Il me retourna face au mec, agrippa mes fesses et m?enfila d?un coup. L?ouverture avait beau être faite, je sursautai. Puis il resta immobile pour regarder l?autre avancer vers moi.
Je l?admirais? Il avait vraiment sa manière à lui de prendre du plaisir et d?en donner. Aucune comparaison avec les saillies furtives, rapides, égoïstes et malhabiles auxquelles chacun de nous a droit couramment.
Tout d?abord un peu dépité, le mec à qui la situation donnait une trique d?enfer se reprit très vite. Il me saisit par la nuque, et me roula un patin. Puis il me mit ses doigts dans la bouche pendant qu?il me branlait, puis il me tirailla les seins m?obligeant à me cambrer sous la caresse. Je sentais, à la dureté accrue du pal qui m?écartelait que le spectacle faisait son effet. J?ondulais de la croupe, donnant ainsi, malgré moi, le signal de la reprise des hostilités arrières qui ne se firent pas attendre. Des grands mouvements de va-et-vient profonds reprirent ?
L?autre tira ma tête en avant, m?invitant à me pencher pour avaler sa queue.
Le troisième s?agenouilla et commença à me lécher les cuisses et les couilles pour finir par téter ma queue.
Vagues de frissons à répétitions?.
Mes deux preneurs échangèrent un regard comme pour accorder leurs rythmes et je sentis comme une machine infernale se mettre en branle. Le premier me tenait aux hanches, m?attirait à lui m?empalant sur sa queue puis me relachait, le deuxieme tirait sur ma nuque, m?enfournait son gland dans la gorge puis relachait, ça de plus en plus vite, j?avais l?impression de coulisser sur une barre bien huilée. Ils me renvoyaient l?un vers l?autre, l?autre vers l?un. J?aurais voulu crier mon plaisir mais la queue que j?avais en bouche m?en empêchait.
Puis ils changèrent de rythme, la queue bloquée au fond de mon cul restait immobile pendant que l?autre me pilonnait la gorge, puis inversement, immobile contre ma luette pendant que l?autre me pilonnait le cul avec son mandrin diabolique. Je n?allais pas tenir le coup longtemps
Puis je sus que ça allait se terminer quand ils échangèrent à nouveau un regard et inversèrent leurs mouvements comme s?ils voulaient rapprocher leurs queues l?une de l?autre, me défoncer, me tasser comme une voiture à la casse. C?est l?image qui se présenta à mon cerveau, un petit cube de ferraille écrasé et ratatiné sous la pression.
J?étais immobile, ma bite aspirée par celui qui était à terre et les deux autres limant mes orifices dans un dernier galop forcené, chacun des deux accrochés à moi et me donnant des coups de boutoirs convergents parfaitement synchronisés. J?entendis leurs souffles s?accélérer, devenir rauques, sentis leurs membres grossir encore, des mains s?accrochèrent à mes épaules pour une dernière pénétatrion spasmodique profonde, grognante et sifflante et j?imaginai le préservatif se remplissant d?épaisses giclées dans mon cul. A l?autre bout, l?autre n?eut que le temps de sortir de ma bouche pour me cracher tout son sperme sur la figure? Je le remerciai mentalement de ne pas m?avoir nourri de sa semence. Tendu à mort, je fis signe à celui qui me pompait de se pousser, ce qu?il ne voulut pas faire et j?éjaculai à longs traits dans sa bouche pendant qu?il me massait les couilles. Je l?entendis recracher par terre.
J?étais vidé de toutes mes forces mais je ne regrettais pas le fait que je ne pourrai pas remettre de string le lendemain. Nous partîmes tous d?un éclat de rire, comme pour évacuer l?émotion qu?avait été ce moment partagé.
Puis nous nous séparâmes. Il ne restait plus que « mon » bogars et moi.
Il m?aida à me débarasser des traces de sperme sur mon visage. Me roula un dernier patin en me caressant les fesses. Je le regardais soupçonneux, surtout en voyant les pinces de son pantalon s?étirer à nouveau? Non c?était juste un geste affectueux pour me montrer le plaisir qu?il avait pris et le fait qu?il ait à nouveau la gaule ne semblait pas le tracasser?
Tant mieux ! Je ne me sentais pas de remettre ça tout de suite?J?aime bien la baise, mais j?avais été largement servi...
- « Je n?oublierai pas mon séminaire?. » me dit-il en souriant.
- « moi non plus !!! je crois que je vais m?en souvenir quelques jours »
- « J?y ai été trop fort ? Tu sais quand j?ai vraiment envie d?un cul, j?ai du mal à me contrôler »
- « Il n?aurait pas fallu que ça dure beaucoup plus , mais je te rassure j?ai rarement pris mon pied comme ça. »
Nous vérifiâmes mutuellement notre tenue et remontâmes dans la salle. Quelques regards amusés ou envieux nous suivirent, mais pas longtemps. Nous restâmes un moment à discuter autour d?un verre,
- « C?est dommage de se séparer si vite? » me dit-il gentiment, la main amicalement posée sur ma cuisse.
- « Oui mais tu repars demain et là, moi, il faut que j?y aille maintenant » lui répondis-je « alors ???!!!?. »
Nous ne pouvions pas changer le cours des choses. Nous avions partagé un moment riche en émotions. Il resterait un souvenir très agréable mais ne pouvait pas être autre chose.
Après une caresse et un bisou discret au coin des lèvres, je me levai et quittai le bar, y laissant quelques regrets, mais sans me retourner. Je savais bien que lui, marié, d?un côté de la France et moi de l?autre, malgré l?échange de nos numéros de portables, nous n?avions que peu de chance de nous re-croiser?
Très bien rédigé en effet mais pour un gars qui joue le difficile (ou en tout cas le mec qui sait ce qu'il veut et ne veut pas) dans le début de ce récit, il se retrouve bien vite avec des gars qu'il ne connait pas et visiblement ne voit quasiment pas. Je me suis juste plu à imaginer que les deux gars qui les rejoignent dans la fin de ce récit étaient le "bidon sur patte" et je ne sais trop qui d'autre.
Comme quoi une bonne bite fait oublier tous ses principes.