Me voici ,lattaché, écartelé, un plug volumineux dans le cul avec du gel chauffant, et les trois mecs que je dois satisfaire tout le week end suivant contrat, à la piscine.
Au bout d'un temps que j'ai du mal à évaluer, les mecs se pointent dans le sous sol. "ça va t'es chaud" me dit Tim" Vu que je bande encore comme un salaud à cause du plug qui me dilate le cul et qui me provoque des sensations dès que je bouge le moindre muscle, oui, je suis chaud.
Tim se pointe derrière moi et retire le plug doucement pour bien me dilater la rondelle au passage du renflement du plug. Puis il commence à me rentrer des doigts au moins deux, puis trois, puis quatre. "Il est prêt" dit-il.
OK dit Maxime, "on se le tire à la courte paille". Les voilà qui tirent à la courte paille avec des morceaux de bois trouvés dans la pièce. C'est Maxime qui "me gagne". Les deux autres remontent.
"J''espère que tu aimes le boudin noir ?" me dit-il. Je lui répond un brin provoc "Tu penses si j'aime, surtout le boudin antillais, bien épicé"? Il rigole et entreprend de me détacher? A peine libéré, il me fait mettre à genoux. "les mains dans le dos" ordonne-t-il. Je m'exécute. Il m'attache les mains derrière le dos. "bouge pas !". Je reste immobile. Il me présente alors sa queue à sucer. J'essaye d'enfourner cet belle tige, d'abord le gland, que je suce avec application, faisant tourner ma langue autours. Il m'attrape derrière la tête et m'enfonce sa queue dans la bouche d'un coup en me disant "va falloir faire mieux que ça, petite pute". Je manque de m'étouffer. Il me lime la bouche d'un va et viens rapide. J'y prends plaisir au bout de quelques instant. IL donne la cadence, je ne suis qu'une bouche offerte. Je peux voir ses abdos se contracter à hauteur de mes yeux.
Il sort de ma bouche au bout d'un moment et me dit "penche toi en avant". Pas facile avec les mains menottées dans le dos. Je m'exécute, je tends mon cul qu'il se met à travailler avec les doigts, trois, puis quatre, il tourne, enfonce me dilate, tourne encore, essaye de me fister mais je suis trop étroit. le gel chauffant a quand même fait de l'effet, je bande à mort, j'ai l'impression que je vais jouir, mais je ne peux pas me toucher. IL me travaille le cul comme ça un moment, puis j'entends le bruit d'un péso qu'on déchire, le latex sur la chair.
Anticipation du plaisir, mais peut être aussi de la douleur, vu qu'il a quand même une queue assez épaisse. Le gland se présente sur ma rondelle, je me détends, je pousse, il pousse aussi, mais avec beaucoup de délicatesse et rentre progressivement en entier. Je ne peux pas m'empêcher de pousser un râle de plaisir. "J'y vais doucement, faut que tu tienne tout le week end et les autres voudront ton petit cul aussi" me dit-il en commençant à me limer doucement, puis de plus en plus vite. Je sens sa queue qui frotte sur les parois de mon cul ouvert, dilaté par sa tige. Sa respiration s'accélère. Et moi, je gémis de plaisir, sa queue me fait grimper au rideaux. Il me fait tellement jouir du cul que c'en est presque douloureux parce que je ne peux pas me toucher, j'ai la tête par terre, le cul offert les mains attachées dans le dos et je subis ses assauts. Position inconfortable, J'en prends plein le cul, mais je jouis quand même. Il accélère, me dit des insanités, me traite de petite pute de garage à bites, ça l'excite, moi aussi et soudain, un ultime coup de reins, un râle, son corps est secoué de spasmes et il abat sa carcasse sur mon dos, m'enfonçant plus encore la tête sur le sol dur.
Il reste comme ça une ou deux minutes. J'ai envie de jouir, j'ai sa queue encore dans le cul, dilaté à mort et endolori par ses coups de boutoir, mais je ne peux rien faire. Puis, il se retire en poussant un grand soupir et disant "putain que c'était bon". Il m'aide à me relever. J'espère qu'il va me détacher, me faire jouir. Mais non, il me détache bien les mains de derrière e dos, mais juste pour me rattacher comme avant, bras et jambes écartés.
C'est douloureux cette jouissance à fleur de peau qui ne peux pas s'exprimer, je bande douloureux, comme un cerf. Une fois rattaché, il me dit "ton cul est bien dilaté, faudrait pas qu'il se referme" et il me replace le plug, je gueule, plus de plaisir que de douleur ? Je n'en sais vraiment rien, les deux à la fois après ce pilonnage en règle.
Il repart, éteint la lumière et remonte, me laissant planté là, hagard, le cul en feu et une jouissance au bord de l'explosion. Il faudrait un rien pour que j'explose, que je jouisse, que je répande mon foutre à longs jets, mais je ne peux pas, même pas me frotter. Rien, je peux rien faire, juste attendre que la vague paroxismique se retire, espérer que ça va se calmer, que je vais débander, ou que l'un d'eux aura pitié de moi, mais je n'y compte pas , je suis leur objet de plaisir, je suis là pour leur plaisir, pas pour le mien et je commence à le comprendre...(A suivre)