La semaine dernière, je rentre d'Arles et je décide de m'arrêter sur l'aire d'autoroute qui précède la montée du littoral en direction de Marseille. Il faisait un mistral à décorner tous les taureaux de la Camargue, et donc un froid...Mais bon, on ne se refait pas...
Je navigue un peu dans l'aire en bordure du parking, personne d'intéressant. Je fais le tour du parking, quelques camionneurs ventripotents, rien pour m'exciter. Un mec me suit en voiture, mais il ne me plaît pas. J'ai beau avoir les couilles pleines, je ne vais pas baiser avec quelqu'un qui ne m'intéresse pas. Il faut un minimum de feeling.
J'allais repartir quand une voiture s'arrête devant moi. Je regarde vers le rétroviseur et je vois un visage jeune, 25/28 ans environ. Un jeune beur qui, lui aussi, regarde dans son rétroviseur. Nous nous observons quelques instants et il se décide à sortir de sa voiture. Uhm, plutôt beau mec, grand, les épaules larges, la taille étroite, un beau cul moulé dans un jean. Si le reste est aussi bien...
Il se dirige vers la petite route qui monte derrière le grillage. Je le suis. Il ne se retourne pas. Que faire ? J'y vais quand même, on verra bien. Il emprunte un chemin de terre, je le suis toujours. Brusquement, il tourne sur la gauche derrière un bosquet. Là, pas de doute. J'arrive tranquillement. Il avait déjà dégrafé son pantalon et s'astiquait le manche et ...en guise de manche, celui-là, vraiment pas mal du tout.
Je m'approche et je commence à branler ce beau pieu de chair palpitante. Ma main fait à peine le tour de sa bite. Je me penche et commence à le sucer. Manifestement il aime ça. Il met ses mains derrière ma tête, me tourne la tête légèrement sur le côté et imprime son va et vient, à son rythme. Sa longue et large queue me bourre la bouche et va buter dans ma gorge . Je peux vous dire que, malgré le froid, je ne boude pas mon plaisir d'avoir une belle tige longue, dure, large et bien raide entre les lèvres.
Sa main gauche m'appuie sur l'épaule, il me fait mettre à genoux. J'obtempère et je suce toujours avidement, avec application. UN morceau comme ça, ça ne se gâche pas ! . Il ne me laisse pas toucher sa bite. Je peux juste lui caresser les couilles et apparemment il aime. C'est lui qui dirige, alternant d'amples mouvement de bassin avec des moments plus lents où il regarde ma bouche engloutir sa queue lentement et avidement, centimètre par centimètre et j'y mets du mien. Puis, il pilonne à nouveau., il m'attrape derrière la tête ou par les oreilles et me dit "vas y bouffe la bien ma teub" ou encore "elle te plaît ? Tu aime les grosses teubs ? Alors vas-y, régale toi !, avale mon zeub" et il joint le geste à la parole accélérant le mouvement. J'adore être dirigé par un mec comme ça qui sait exactement ce qu'il veut et comment prendre son plaisir.
Il me fait relever, j'ai maintenant le cul en l'air tout en le pompant et je sens ses doigts (froids) venir me caresser la rondelle. je gémis. J'adore qu'on me tripote le cul comme ça avant de me baiser parce que c'est certain, c'est ce qui va se passer et croyez moi, je ne vais pas dire non. Si en plus je suce en même temps, c'est le pied !. Il enfile un doigt dans mon cul, je me tortille. ça se dilate doucement, c'est bon. Il en profite pour m'enfoncer encore un peu plus sa grosse queue bien à fond dans la bouche.
Il me travaille le cul encore un peu et puis il me dit "donne moi ton cul, je vais te baiser à fond tu vas aimer". Que répondre sinon : "OK" ?
Il enfile une capote, me fait me retourner et m'appuie entre les deux omoplates pour que je cambre bien. J'ai un peu peur, parce que l'engin n'est pas de ceux qu'on avale facilement, on joue dans la catégorie gros calibres. C'est vrais que je suis dilaté et que ce n'est pas ma première grosse queue, mais il y a toujours un peu d'appréhension. Il m'enduit le cul de sa salive, me rentre deux doigts,. Il me travaille en connaisseur. Il s'assure que je me dilate bien. Ce mec s'y connaît en cul. Faut dire qu'avec l'engin qu'il a, mieux vaut que les mecs qu'il encule soient bien uvets !
Après s'être assuré que je suis bien ouvert et prêt à accueilli sa queue comme il se doit, il présente son gland qu'il appuie doucement contre mon cul. Je m'attendais à une pénétration un peu à la hussarde, mais non, il y va tout en douceur. Il sait qu'il en a une grosse et fait attention. J'apprécie sa délicatesse. Il pousse, le gland commence à rentrer. Il me caresse les fesses, écarte bien mes globes et rentre doucement, je me détends, je relâche, il pousse, ça se dilate encore au fur et à mesure. Cette queue qui m'envahit, millimètre par millimètre, me fait grimper aux rideaux. je gémis, j'ai envie d'accélérer, mais je laisse faire. Une fois le gland passé, c'est moi qui m'enfonce délicatement sur ce membre bien dur , jusqu'à fond. J'ai quelque chose comme 21 cm de chair dure et vibrante dans le cul, 21 cm de chair chaude et prête à m'en faire voir de toutes les couleurs; 21 cm de promesse d'extase.
Je suis à fond. Sa queue est en moi, son ventre contre mon cul., il commence à faire des va et viens, doucement, puis, il accélère le rythme et je me donne à fond, ses couilles viennent taper contre mon cul à chaque mouvement un peu rapide. Manifestement ça l'excite "vas-y, prend la toute, t'aime ça te faire bourrer par une bonne queue". ça m'excite, je me sens salope, je tortille du cul, j'accompagne ses mouvements. Il m'insulte toujours, on dirait que ça augmente son excitation. La mienne oui, en tout cas : "vas y salope, fais toi bien baiser, tu ferais une bonne pute de quartier, vas y donne le ton cul, mieux que ça !" dit-il en me claquant le cul à chaque mouvement. Malgré le froid, j'ai chaud. Je me fais bourrer dans un parking par fort mistral et j'adore ce qu'il me fait, je suis son jouet sexuel, un cul offert à son plaisir et ça fait le mien. Quel pied ! Je sens qu'il accélère, il tient le rythme et puis soudain, il se retire, enlève prestement la capote et se branle frénétiquement en me regardant. Je me suis relevé et j'en fais autant. Nos jus jaillissent presque au même moment.
Je suis surpris du flot, de l'abondance de son sperme et ça jaillit, et encore. J'ai rarement vu ça. Manifestement ce garçon avait les couilles pleines au sens propres et apparemment, mon cul l'a bien excité.
Nous nous sommes séparés sur la parking, en nous disant au revoir. Il repartait en direction de Marseille, moi aussi. J'espère bien que nos route se croiseront à nouveau, pourquoi pas sur cette même aire...? J'aurais peut être du lui demander son tel ou lui donner le mien, mais en même temps la furtivité et l'anonymat de ces rencontres en font un peu le sel. En tout cas, c'était vraiment bon ! Un mec qui sait baiser et qui sait ce qu'il veut, il n'y a pas mieux ! C'était une baise force 5 !
les beurs ttbm ,actifs et endurants c'est mon trip!!
depuis quatre ans j'ai un certain rachid, 26 ans qui me bourre ainsi,avec ses 24cm
moi je suis un juif passif de 33ans