Le pantalon et le slip à mi-cuisses, je me paluche les burnes et la queue tout en regardant la télé?
Caresses distraites, objets endormis mais sensibles?.
« portés disparus » que je regarde?
C?est pas très prenant !
Ma main caresse l?intérieur de mes cuisses, aboutit sous les bourses qu?elle soulève et laisse retomber lourdement. Je m?amuse à faire rouler une couille après l?autre dans leur enveloppe.
Je vous rassure, je préfère jouer avec celles des autres, mais là, j?ai que les miennes.
Je les prends dans ma main et je les presse avec le même mouvement chiant que font les gens à un guichet en tapant avec leurs doigts. Le petit, l?annulaire, le majeur ( hummmm !), l?index, et on recommence en pressant plus fort.
Tout en maintenant les bourses relevées, mon majeur descend titiller mon périnée?.
Puis je me laisse reprendre par la télé?
Pas mal cet acteur, il ressemble un peu au mec d?hier soir dans le plan touze improvisé, au bois.
Ma main reprend ses investigations et je vois ma bite se redresser. Elle se rappelle aussi?
C?est pas un redressement massif, mais elle n?est plus endormie.
Je la laisse tranquille, elle est libre.
Quand je suis arrivé « au bois », 4 mecs étaient déjà occupés. Dans la petite cabane, sur la bordure en ciment qui fait banc, un était les cuisses relevées, le jean?s aux chevilles et se faisait bourrer consciencieusement le cul par un mec qui, le pantalon aux cuisses, avait un très beau cul.
Les deux autres étaient, l?un debout et l?autre à genoux devant lui à aspirer sa queue.
Le spectacle était assez surprenant. Le mec debout, 1m 97 (je lui ai demandé ) se faisait lécher à grand renfort de salive et gémissait.
De l?autre côté, j?entendais le bruit des cuisses claquant sur les fesses quand le biton fouillait les entrailles. Il se prenait une bonne pétée? Il n?avait pas l?air de s?en plaindre. Le mouvement était d?ailleurs très joli? Le possesseur de la « tête chercheuse », celui qui avait un beau cul, avait également une très jolie cambrure. Les mouvements de lime faisaient juste mouvoir son bassin.
Je restai un moment à regarder le spectacle. J?aime bien mater les bourrages bien faits. Et celui-là en faisait partie. Je voyais le mouvement pendulaire régulier et fort de ce cul qui reculait, avançait, la bite qui sortait épaisse et longue de ce petit trou offert, les couilles qui venaient frapper les fesses à chaque pénétration. Je ne dirais pas que c?était un morceau d?anthologie, mais c?était pas mal.
J?avais d?ailleurs ouvert mon jean?s et extrait ma queue pour la laisser respirer tout en caressant le cul que je trouvais si beau.
Je me retrouvais devant ma télé, un peu éberlué, je les avais oubliés avec leurs intrigues de bas étage.
La queue raide et le gland découvert.
Je les laissai à leurs recherches, j?avais mieux à faire. Je passai ma main sous mon T-shirt pour me caresser les tétons et je commençai les mouvements de va-et-vient sur mon sexe.
Je retournai quelques heures en arrière, dans l?atmosphère humide et sombre du bois. Les gémissements partagés, les bruits de succion et des chairs qui claquent.
Je me rapprochai de celui qui se faisait limer le fion, lui fit tourner la tête vers moi et lui offris ma bite à sucer, ce qu?il ne refusa pas. Quel bien-être, sa bouche était chaude et il suçait bien. Beaucoup de mouvements de langue très agréables. Me voir me faire sucer donna un regain de désir à celui qui se démenait pour le défoncer car il accéléra le rythme.
Nous étions juste à côté de l?autre couple dont le grand me caressait les fesses et commençait à me doigter.
Je récupérai mon bien, et m?agenouillai pour partager le paquet du grand avec l?autre. Je lui bouffai les couilles pendant que l?autre avalait sa queue.
Mes mains passèrent entre les cuisses pour doigter le géant qui nous dépassait largement? et je tombai sur une ouverture très lâche dans un tout petit cul. « celui-là ne doit pas se contenter de bites » me pensai-je « il doit lui falloir des mains ou des poings ». Qu?à cela ne tienne !
Je me relevai et passai derrière lui?.
Je lui caressai la raie, les couilles, revint sur son trou et y entrai un doigt. Sans problème, non seulement c?était bien ouvert, mais il s?était abondamment chargé en gel.
Je ne suis pas un fana du fist mais je suis curieux.
Je visitai son ouverture de mon index, aussitôt suivi de mon majeur. Ils étaient à l?aise et je n?avais pas eu à forcer. Je refermai ma main en fer de lance ou en cône comme on veut et je pénétrai son anus dilaté. Il se cambrait de plus en plus et s?écartait les fesses?.
Je tournai un peu mes doigts, les ressortis et les remis, allant plus loin cette fois?.ça m?impressionne toujours de trouver des trous ouverts comme ça.
Sa main pris la mienne et entrepris de la pousser vers son intérieur. « vas-y, j?aime, mets-moi toute ta main » me dit-il?.
J?avançais doucement, je ne voulais pas le blesser. Ça bloqua aux articulations de la main et des doigts. Il se démenait comme un beau diable pour m?aider à aller encore plus loin.
Mais j?arrêtai. Je pense que cet exercice demande plus de confort que ce que nous avions, bien installés, détendus?.Et, honnêtement, ce n?est pas un truc qui me fait bander.
Je ne l?ai fait qu?une fois avec un mec, dans un sauna. Je lui aurais plutôt mis ma queue car il avait un cul splendide, rebondi et jeune, mais il voulait ma main. Je m?étais laissé guider jusqu?à être pris jusqu?au poignet.
Ceux qui pratiquent ça ne seront pas étonnés, mais moi, j?étais mal-à-l?aise, ça fait vraiment bizarre?.
Je repris donc ma main et me retournai vers le couple qui avait arrêté la lime. Le limeur pompait le limé. Je tendis ma queue et me fis pomper aussi. Il alternait une bite, l?autre et suçait à merveille tout en se branlant?
Pendant ce temps, le grand me rendait ma politesse et, ses doigts pleins de salive, il me doigtait ?
A ce moment le suceur, renversa la tête en arrière et nous demanda de lui gicler sur la figure?
J?étais pas loin de la jouissance mais je ne voulais pas finir encore. Je n?avais pas fait 50 bornes pour finir si vite?. Je remontai mon pantalon et partis m?aérer plus loin.
Quand je revins, le limeur se faisait sucer par le grand. Même si c?est pas mon truc, on était là pour se faire plaisir, je lui remis tous mes doigts dans le cul jusqu?à la butée, ses contorsions et ses soupirs étouffés par la bite qu?il dégustait me montrèrent à quel point il appréciait.
je changeai de position et me fit pomper aussi. Le limeur passa derrière le grand et après avoir enfilé une capote, l?enfila, lui donnant des coups puissants qui l?empalaient encore plus sur ma queue. Je lui tirais sur la pointe des seins pour augmenter sa jouissance?Le limeur abandonna, retira le préservatif et revint lui limer la bouche?. Je pris sa place? Un préso, et je lui limai le cul?Il avait l?air d?apprécier?pourtant entre ma bite et une main, y a de la différence?.J?étais donc à l?aise?et si j?appréciais c?est parce que le mec était vraiment charmant. Mais ça ne serrait pas assez pour m?amener à la jouissance, alors je retirai le préso et me mis à me branler.
Le limeur, se mit à genoux devant moi, la tête renversée en arrière et me demanda de lui éjaculer dessus?. Je ne m?occupai plus que de moi. Je pris son visage, lui tint et lui bourrai la gueule pendant qu?il me serrait les couilles et quand je sentis le jus monter, je repris ma branle, il renversa sa tête, et se prit 4 longues giclées de foutre sur la figure, la bouche ouverte.
Devant ma télé, j?étais en train de me branler furieusement quand j?entendis la sonnette de la porte d?entrée?.
Je me rhabillai rapidement et allai ouvrir.
C?était un jeune pote qui passait comme quelquefois le dimanche soir. Il débauche tard et ne travaille pas le lundi.
« Ça va ? » dit-il en me donnant un baiser sur les lèvres
« Ça va, tu tombes bien, j?étais en train de me branler » dis-je en ressortant mon engin encore fier. « Si ça t?intéresse?. » Je savais bien qu?il venait pour ça.
Il se jeta dessus pour le lécher dans tous les sens.
Je le dirigeai vers la cuisine, lui baissai le pantalon et le tournai vers la table de travail et commençai à lui bouffer le cul. Il écartait les cuisses à mort, j?enfilai un préso rapidement et le pénétrai?.
Il n?eût pas droit à beaucoup de va-et-vients, à peine 6 ou 7 minutes, avant que je jouisse? mais il n?avait qu?à venir plus tôt?.
Je le branlai et le suçai jusqu?à ce qu?il vide ses burnes sur mon carrelage.
Ça ne l?aura pas beaucoup retardé?.
« à dimanche prochain » me dit-il en partant, heureux d?avoir pris une pétée.
c'est parfois ce qui nous exite le plus quand nous nous branlons ; ce sont les souvenirs ; mais la fin de ton histoire...on peut dire que le petit mec est arrivé au bon moment, comme cela tout le monde a été satisfait