C?était le 07 juillet dernier, il faisait chaud. C?était la canicule. Et, dans canicule, il y a « cani ».
C?était bien un temps de chien.
Un temps pour les chiens.
Moi, ce soir là, après le boulot, je me sentais plus chienne que chien.
C?est peut-être pour ça que dans canicule, il n?y a pas que « cani ».
Et, en plus on était à 3 / 4 jours de la pleine lune.
Vous avez remarqué le monde et l?excitation qu?il y a sur les lieux de drague les nuits de pleine lune par une forte chaleur ?
Juillet a été un plaisir pour ça.
Les difficiles avaient du rester chez eux ou s?être transformés, tels des Loup-Garous.
L?ambiance était très chaude.
Les difficiles? vous voyez bien qui je veux dire. « Non, pas maintenant, pas ici, pas comme ça, moi je fais pas, je suce pas, je me fais pas prendre, t?es trop gros, t?es trop petit, t?es trop vieux, t?es poilu ????? aaaahhhh ! j?m pas !, etc?.j?en passe » Et tourner, tourner, tourner ?.
Eh bien ces soirs de juillet, et qui plus est par la chaleur et sous la lune, ces quidams (ou ces quimessieurs, car on y va rarement pour rencontrer des dames ? ou alors des fausses), ils avaient disparu.
Je sais, vous n?allez jamais dans des lieux comme ça. « On n?y voit rien, c?est dangereux, on sait pas qui c?est qu?il y a, oh, moi j?aime pas ! je préfère voir la personne » (allumez les néons !). Et pourtant, y a du monde !
« Tu viens souvent ici ? »
« Oh non, jamais ! »
Comme c?est curieux !
Et bien moi, j?aime bien.
Ça change du Net?.
Au moins, tu peux vider un trop plein (de hargne ou d?amour ?) sans que ça prenne des heures en pourparlers.
Quand j?ai envie, c?est maintenant, pas la semaine prochaine de 10 à 12h, avec mon press book, la conférence téléphonique à répétition (à cause du téléphone fermé quand l?autre se demande s?il a bien envie), la video conférence etc? Vous devez connaître.
J?en reviens à mon sujet.
Donc, le 7 juillet, il faisait chaud et je me sentais chaud, et c?était maintenant que j?avais envie, pas plus tard.
Donc, je me connecte sur le Net et BINGO !, je tombe sur une connaissance, pas très loin de chez moi, qui se trouvait dans les mêmes dispositions que moi (enfin inverses, ça va mieux pour s?emboîter).
Ça n?a pas traîné, RDV pris pour 21h, chez lui.
Ce garçon, je le connais un peu, le même âge que moi, entre 45 et 50, grand, mince, et équipé du style d?engin que tu trouves pas de sous-vêtements pour mettre avec. Enfin 20 cm sur une belle épaisseur. 19 ou 21, on va pas chipoter pour un cm !
Le temps passe vite. Je mange, fais quelques préparatifs de nettoyage en profondeur pour ne pas que la partie s?arrête trop tôt dans des effluves désagréables (y en a qui aime, moi pas !). Je prends soin aussi de préparer l?orifice aux mâles assauts de ce pieu conséquent. Un peu de gel, un plug gentillet pendant quelques minutes, histoire d?huiler les gonds de la petite porte afin qu?elle ne grince pas.
Et, c?est l?heure.
Je me pointe chez lui, Il m?ouvre la porte, toujours sympa?
Nous nous rapprochons de son salon?
Je ne me sentais pas l?envie de discuter des heures, alors comme nous étions là pour ça, et que nous nous connaissions déjà. Je m?approche direct.
Je me colle à lui, caresse son torse à travers la chemise, son dos, ses cuisses, ses fesses.
Juste ce qu?il faut pour le faire démarrer.
Plus grand que moi, il bascule ma tête en arrière et me roule une pelle de première.
Ça y est, moi aussi, j?étais parti.
Tout en vérifiant de sa langue que j?avais toutes mes dents, il passe ses mains sous mon t-hirt et passe ses mains dans les poils de mon torse, s?arrête un instant sur la pointe des seins, les pince gentiment.
Là, je sais qu?il va falloir que le mouvement s?accélère.
Je ne suis plus chaud, je bous. Je veux de la bite.
Je pose ma main le long de sa cuisse et je remonte?Je sais où trouver la bête, je la connais. Bandée dans la jambe du pantalon, contre la cuisse. Impressionnante.
Je lui donne des pressions sur toute sa longueur, la fait rouler sous l?étoffe, saisis le gland entre mon pouce et mon index.
Pendant ce temps, il me pompe encore la bouche et me caresse les seins et le ventre.
Je sais que ça ne va pas durer, il a défait ma ceinture et passe une main sur mes fesses dans le short.
Un doigt insistant tâte ma rondelle, y pénètre sans problème.
Il lâche ma bouche, recule un peu son visage et me dit :
« Je vois que tu t?es préparé pour la saillie?. ! »
« Je savais à quoi m?attendre ! »
Tout en parlant, n?en pouvant plus, je défais les boutons de son jean?s et dégage son braquemart pleinement bandé, à en tomber à genoux.
Ce que je fais, sans tarder.
Pas trop vite, je commence à lui lécher les burnes qu?il a assez grosses.
Il me caresse la tête, la fait pencher, à droite, à gauche pour que je lèche et je bouffe mieux, là où il a envie. Puis il saisit ma tete entre ses mains et m?empale la bouche sur sa queue.
Il se branle avec ma bouche. Je lui palpe les couilles, puis je saisis sa bite, la colle à son ventre et m?en délecte comme d?une sucrerie. Je la parcours, de mes lèvres et de ma langue, sur toute sa longueur, des bourses jusqu?au gland, sur lequel je m?arrête longuement pour titiller le frein avec le bout de ma langue.
Puis je la prends dans ma main, engloutis le bout, l?aspire, rabats le prépuce, le décalotte, fais des mouvements tournants, le sillon à la base du gland, le méat.
Il pousse des grognements pour me montrer qu?il apprécie.
Ses ongles, qu?il a courts, griffent mon dos, puis il saisit mes têtons et les fait rouler sous ses doigts, les écrase, les malaxe, les tiraille, pendant que je pompe son n?ud en le branlant.
Puis, soudain, il m?enfonce son dard au fond de la gorge, je réprime un haut le c?ur, puis il me bourre la gueule en me tenant la tête..
Je sens que l?excitation est à son comble.
Il me relève, me caresse le cul de la main, puis le point stratégique du bout du doigt qui ne tarde pas à s?y enfouir, profondément.
Je me débarrasse de mon short que j?ai choisi large pour pas perdre de temps.
Et me voilà à 4 pattes sur son canapé, les bras appuyés au dossier, les cuisses écartées, sa main appuyant sur mes reins pour mieux exposer mon intimité à ses yeux.
Je l?entends cracher sur mon orifice et le pénétrer d?un doigt, puis d?un autre, en alternance, recracher, recommencer, l?un, l?autre, l?un, l?autre, puis les deux « aaahhhh ! »
Il se penche vers la table basse, mets un préservatif, j?entends le flacon de gel faire un « pffffuit » mouillé. Il m?enduit généreusement la raie de gel, tout en me tirant les couilles au passage. Il me donne des coups sur les fesses avec sa bite tendue, c?est bon. Il est contre moi, immobile. Son gland contre mon trou. Je le sens pousser, ça résiste.
Il pousse plus fort, le gland est entré, pause. Une vague et lointaine douleur s?estompe rapidement. Je bouge un peu pour lui signaler que je suis prêt. Il me saisit aux hanches et s?enfonce inéluctablement en moi. Lentement, surement, profondément. Je me cambre plus et me redresse vivement, il est au fond. Il se retire un peu. Reprend sa place, je me redresse à nouveau, le souffle un peu coupé, une brûlure dans le ventre. Je le sens buter au fond de mon antre, y faire sa place. Il recule jusqu?à sortir et recommence, centimètre par centimètre, jusqu?au fond. La douleur est moins vive, mes chairs se relâchent et l?accueillent.
Il me tient toujours aux hanches et fait des mouvements tournant avec son bassin, ses mouvements se répercutent dans mon intérieur. Je me sens envahi, rempli, fouillé, brassé.
Il se retire un peu, puis plus. Je sens mon sphincter éjecter son gland. Le vide.
Puis il me donne une forte claque sur les fesses et me pénètre d?un seul coup jusqu?au fond. Je sursaute, me cambre, me colle à lui. Il m?attrape les seins, les pince, m?embrasse, me mord le cou?. Puis commence une série de va-et-vients amples et forts, rapides?.
Au fond de moi, je sens le plaisir monter, il ne vient pas de ma tête, uniquement de mon cul. Des vagues de plaisir m?assaillent.
Puis, au moment ou je vais me perdre complètement dans la jouissance passive. Plus rien. Il se retire.
Panne !
Il s?excuse?.
Je lui dit que ça ne fait rien, qu?il m?a déjà donné beaucoup de plaisir.
J?ai un peu l?espoir que ça va reprendre, mais non.
Nous buvons un coup, parlons, mais je ne m?éternise pas.
Nous nous embrassons et je repars avec ses excuses renouvelées.
Cette partie m?avait juste rappelé ce qu?est le plaisir, comment dit-on ? ah oui ! sans prise de tête !!!. Je ne pouvais pas en rester là. Il m?avait ouvert, pénétré, enflammé, il fallait trouver une solution. Une simple branlette en rentrant à la maison n?aurait pas suffi à mes sens éveillés.
Je suis rarement dans cet état-là, mais, en sortant de chez lui, il faisait encore un peu jour, je ne me serais pas vu abandonner l?espoir de compléter mon plaisir, de le multiplier et de le faire éclater. Il avait réussi à mettre un feu en moi, qui devait être éteint par une lance, à créer un vide qui devait être comblé sans attendre.
Je pris la route vers le lieu de drague connu « la braconne » et je ne traînai pas.
Etait-ce trop tôt ??.Personne.
Je repartis dépité avec toujours la même faim au creux des entrailles.
Je m?arrêtais voir si un bison fûté ne m?aurait pas attendu sur l?aire de repos sur le chemin du retour.
Je m?arrêtais devant le bâtiment des WC et attendis un moment.
Je descendis et errai entre les arbres éclairés par la lune ? Je perçus un mouvement dans un coin sombre.
Je m?y dirigeai?.et y vis un mec dans la petite trentaine. Costaud, 1m75/78 les muscles développés, les cheveux ras, une belle tête blonde, menton carré, aux jolis traits et au caractère affirmé.
Je n?avais rien à perdre, tout en me disant que j?allais me prendre un rateau, j?avançais vers lui.
« Salut ! »
« Salut ! »
Il ne partait pas mais pesait le pour et le contre, mon âge, mon physique, son désir, le mien. Alors j?avançai la main vers son torse en m?approchant de lui au plus près. Sa décision n?était pas encore prise, je le sentais à sa retenue. Puis je caressai son ventre en direction de son paquet, qui était déjà bien palpitant.
Je le regardai dans les yeux, je vis que c?était bon.
Je compris qu?il n?était pas là pour faire des câlins, alors, je relevai son T-shirt et lui léchai le ventre et le torse. Un superbe torse large avec de beaux pecs et un ventre confortable mais plat.
Je le caresse de ma bouche dans tous les sens, les aisselles, les côtés, le ventre, les pectoraux. Rien que ces caresses sur ce bomec réveillent en moi le feu endormi. Je défais le bouton de son short, puis celui du mien qui tombe directement par terre. J?en profite pour poser mes genoux dessus et masser les cuisses de mon appollon. Sa queue est dressée, collée contre son ventre, dure, très dure, pleine à éclater d?un jeune sang qui, seul, peut faire durcir ainsi cet outil.
« Eh bien, c?est ma soirée ! » me dis-je en commençant à caresser ce pieu de chair bandé. De très belles proportions, exactement comme je les aime. Plus court que celui avec lequel j?ai commencé la soirée, mais plus épais, et ô combien plus dur !
à genoux, je commence à humer le parfum de son entre-jambes. Délicieux. Un mélange de gel douche, de lessive du slip, un très discrète touche de parfum. Un outil fier et propre. Je passe ma langue entre la cuisse et les couilles. Comme la peau y est douce malgré les poils. Le goût en est un peu plus fade mais très agréable. Ça sent l?homme propre. L?imaginer à 4 pattes devant moi, bien cambré, son fruit d?amour brun et plissé palpitant sous mes yeux au creux de ses deux fesses superbes, y plonger ma langue et mes lèvres, puis mon sexe?.un rêve?qui n?était pas pour ce soir.
Je laisse ma langue jouer avec ses boules de belle taille collées à ses aines par l?excitation. Je joue en même temps avec le ressort de sa bite, l?attirant vers le sol pour la sentir revenir se coller à son ventre avec un « Flap ! » audible.
Je passe mes mains entre ses cuises, les pose sur ses globes fessiers musclés et bien dessinés. Des fesses pleines et dures, généreuses. je relève un peu la tête, mets ma bouche en rond et je décalotte son gland à fond. Il soupire fort. Puis je le lui pompe, le caresse de ma langue, le mordille ? il a l?air d?apprécier- puis j?engloutis sa queue, presque jusqu?à la base. J?y arrive presque ?.
Mes caresses lui plaisent et je sens qu?il va prendre la direction des évènements. Il maintient ma nuque et commence des mouvements avec son bassin en pliant légèrement les genoux. De bas en haut, il tape sur mon palais avec son gland. Je penche un peu plus la tête et il fait l?amour à ma bouche. Je me branle tellement j?en peux plus. « Ne pas jouir, ne pas jouir ! »
Il me caresse les épaules et la tête et me relève.
Sa main parcourt rapidement mon corps, mon sexe dressé, mes couilles, mon cul, et il se penche pour me mordiller un sein. Je me branle de plus belle.
Je me penche vers lui et lui demande « tu veux me prendre ? ». Il hésite puis, « oui, je veux bien, t?as un préservatif ? » « Oui, bien sûr ! » « viens, on va plus loin ! » me dit-il.
Je le suivis, un peu plus loin dans un chemin discret. Je n?avais qu?une peur : qu?il se barre ou qu?il ne bande plus à l?arrivée comme ça arrive parfois. Et bien non.
Je me colle à nouveau à lui. Quelle force et quel calme. Il descend son short, je me débarasse du mien. Sa bite est toujours fière, bien qu?un peu moins. De ma bouche et de mes caresses, je m?emploie à lui redonner vie, ce qui ne tarde pas. Tout en le pompant, je déchire l?étui du préservatif ?puis lui déroule sur la queue (pas sans mal !). Je lui présente mon cul. Fermement, il saisit mes fesses, les écarte et tâte avec son doigt pour trouver l?entrée et en juger la résistance.
Ses bras entourent mon torse et d?un coup de rein sans hésitation, il me pénètre. J?ai commencé la soirée, rempli. Là avec la dureté de ce pal, je me sens écartelé, riveté, vissé à son bas-ventre par son pieu. J?ai l?impression de ne pas pouvoir refermer les cuisses? Il se positionne au fond, son ventre collé à mon dos, il me bloque toujours complètement avec ses bras, et son bassin bouge dans tous les sens, de haut en bas, de droite à gauche. Il jouit de mon cul, et moi de sa bite. Ses mains malaxent mes couilles, ma bite et mon ventre, augmentant ma jouissance. Il me pénètre, bouge, ressort, écarte à nouveau mes globes, donne de petits coups de gland sur ma rondelle, puis me re-pénètre, coulisse, avant, arrière, ressort et revient au fond, sans violence. Et ça, longtemps, longtemps, il sait le plaisir qu?il peut me donner et prendre de moi. Il ne me bourre pas, il me comble, entretient l?excitation en se retirant et revient?. Je n?en peux plus, je donne moi même les mouvements qui me procurent du plaisir et vient me coller à son pubis dans des mouvements secs qu?il regarde?.Il jouit des yeux?.je me laisse emporter par mon plaisir? plus de retenue?.je prend son pieu et je prends mon pied?.Il ne me défonce pas?Il m?hypnotise de plaisir par des va-et-vients qui n?en finissent pas? le mouvement perpétuel?. Perpétuellement pareil et toujours différent?..Envie de dire « plus vite, plus fort, plus loin, encore, encore, encore » mais je n?en ai pas besoin?. Il me précède dans mes désirs.
J?aperçois une ombre qui s?approche, un autre mec, dans les 35 ans, brun, mince, presque maigre et sec, que le spectacle attire visiblement. Il nous rejoint et attend une invitation que je lui fais de la main tout en gémissant sous l?emprise du pieu qui m?élargit?
Il baisse son short et me présente une longue queue fine et tendue qu?il m?invite à mettre en bouche. C?était l?élément qui manquait. Je ne voudrais pas voir à quoi je ressemble, embroché des deux côtés, mais qu?est-ce que c?est bon ! Je lui pompe le dard, goulument. Ses mouvements sont plus secs, plus violents que ceux de l?autre, lui me défonce la bouche, les joues, le palais, la gorge?
Derrière moi, mon étalon s?approche de sa jouissance me saisit aux hanches et me donne de très longs coups de boutoir à répétition, puis je le sens s?essouffler, se coller à moi et là, je prends une série de coups de queue, rapides, secs, profonds, nombreux pour accompagner ses jets de foutre dans mon cul.
L?autre a accompagné cette jouissance en me faisant les seins et en me branlant.
Le premier se retire, jette le préservatif, m?embrasse dans le cou et s?en va.
Comme j?aurais aimé m?occuper de lui, après?.
Le deuxième, voyant que je n?avais pas joui, me dit, le souffle court « Tu veux que je prenne sa place ? » « Oui, lui répondis-je » en pensant qu?il n?égalerait en rien le savoir faire du précédent, mais il fallait que je me termine, moi aussi.
Il passa derrière moi, et m?enfila d?un coup de sa longue bite fine. Et là, je subis de violents va-et-vients comme si le but du jeu était de faire mal?. Pour la première fois de la soirée je ressentis quelques douleurs?Cela dura un bon moment, (trop surement). Dans notre association pour la soirée, c?était un « membre actif », certes, mais rien à voir avec le « membre bienfaisant » qui venait de me quitter. Je passai ma main entre mes cuisses, lui caressai les couilles et le périnée pour accélérer sa jouissance et quand je le sentis venir, je me branlai plus vite pour terminer moi aussi. Il explosa en moi pendant que j?éjaculai mon sperme dans la nuit?.
Si je n?avais eu que lui, cette soirée, je m?en serais contenté mais ç?aurait été « ordinaire ». Mais je n?avais pas eu que lui. Son prédécesseur avait été de loin le plus jouissif, le plus puissant, le plus jouisseur.
Je rentrai chez moi?. Près de 2h du mat, enfin apaisé.
Le premier, je le reverrai, bientôt, pour une bonne partie.
Le deuxième, je n?espère même pas le revoir, vraiment dommage !
Le troisième, on en rencontre dans chaque plan drague?
Avec le premier, nous avions partagé le plaisir,
le deuxième m?avait donné du plaisir en se servant de moi pour le sien.
Le troisième ?.
Pour ceux qui douteront de la véracité de cette histoire, je pourrais leur donner le tél du premier mec,
pas du deuxième, malheureusement, mais si quelqu?un le connaît, je suis preneur ?
Quant au troisième, il n?a surement pas le téléphone, d?ailleurs qui le lui demande ?
Ne me traitez pas de dépravé, de salope, je suis comme vous, je me sens seul et j?aime avoir l?illusion d?être désiré?
Ce n?était qu?une nuit de canicule où les sens de chacun étaient exacerbés et où il faisait très chaud dehors et où j?avais très chaud dedans.
C?est le moment folie, juste le corps?.
?Pour oublier qu?on n?a pas ou plus cette tendresse à la maison, cet être qui nous fait rire, pleurer, frissonner, qui nous fait envie, jours après nuits et qui, s?il ne possède pas toujours la clé du 7ème ciel, possède celle de notre c?ur, de notre Amour, de notre bonheur, de notre équilibre et de notre fidélité?. (et oui, ça existe !)
Merci les garçons (et pas seulement les "garçons joyeux", s'pas FIFI ?) pour vos commentaires. Je suis content que ça vous ait plu. Randy, C'est vraiment extrait de MA vie.
Tant qu'à dire que je suis un "bon coup", tout dépend de ce que l'on cherche... Il faut lire mes autres histoires pour se faire une idée.
J'aime le sexe, mais au risque de vous décevoir, le coeur éclipse largement le sexe, en lui donnant une dimension sur-humaine.
En tous cas, merci encore, ça me va droit au .... coeur.
Mon FIFI (adoré), alors une fois encore hyper méga hypra ultra supra BRAVO, rien de vulgaire, pas de descriptions inutiles, non uniquement des images brillantes et luisantes de désir.