Vendredi dernier en rentrant chez moi après une promenade en centre ville de Lyon je rencontrais un jeune homme, d?origine asiatique, tenant un papier à la main et semblant chercher une adresse. Je l?aborde et lui propose de l?aider dans sa recherche. Il me remercie de bien vouloir l?aider car il ne connaît pas bien ce quartier. Sur ce papier est griffonné l?adresse d?une pizzeria. Il était bien arrivé au bon endroit mais cette pizzeria est en réalité une petite buvette et de plus était fermée pour un ou deux mois.
Contre mauvaise fortune, bon c?ur, je lui propose de faire quelques pas ensemble. Il accepte avec le sourire et en continuant notre promenade nous parlons de nous. Il est étudiant et est en colocation avec un copain. On sympathise. Puis on échange nos adresses e-mail et de téléphone portable. Pendant la ballade il me demande :
- Qu?est-ce que vous voulez que l?on fasse maintenant ? Son visage souriant me laissait croire à une possible aventure. Alors je me lance :
- Ca vous ferait plaisir que l?on se caresse un petit moment ?
- Euh ? oui ! Pourquoi pas ? On peut aller chez vous ?
- Et bien ? non, ma femme est à la maison ! Mais je connais le quartier et j?ai le code d?entrée d?un immeuble où l?on pourrait trouver un coin tranquille. Ca vous irait ?
- Oui ! Mais c?est la première fois et je n?ai pas bien le temps !
- Allez ! Le temps de nous donner du plaisir et après vous pourrez aller rejoindre vos copains.
En chemin il me raconte qu?il a une petite amie. Je lui demande s?il s?est déjà fait sucer par un homme, il me répond que non. Je lui affirme qu?un homme suce mieux qu?une femme. Il paraît surpris car sa petite amie lui fait tout ! « Des deux côtés ? » J?ose lui demander. Il me réponds : « elle est bonne ! ». Je lui raconte ma partie à trois faite à Besançon, cela a l?air de le tenter mais est un peu intimidé. On arrive au pied de l?immeuble, je tape le code et on rentre. Pas de gardien, on prend l?ascenseur et on termine pour aller sur le palier du grenier éclairé par une fenêtre donnant au-dessus des toits. Je savais qu?au dernier étage les deux occupants étaient absents pour la semaine. Sans bruit on se colle l?un à l?autre. J?essaye de l?embrasser mais il détourne son visage alors je lui fais de petits bisous dans le cou.
- Tu me fais des frissons ! Me dit-il.
- Laisse-toi faire ! Je vais m?occuper de toi !
J?enlève mon blouson, ôte mon tee-shirt et je le colle contre moi. Je lui enlève également son blouson, lui ouvre sa chemise et remonte son tee-shirt. Je lui embrasse son torse imberbe, chaud et ambré. Quel plaisir ! Je vais titiller ses petits tétons, cela lui plaît, il rejette la tête en arrière pour mieux s?offrir. Puis sans arrêter mes bisous je lui dégrafe sa ceinture et ouvre son jean. Je le fais glisser à terre et remonte saisir son slip pour le lui descendre. Il reste immobile les jambes un peu écartées pour que je puisse mieux l?admirer. Sa verge raide se dresse au-dessus de ses deux adorables boules imberbes. Juste une petite toison brune au-dessus agrémente son corps. Sans attendre j?ouvre doucement ma bouche et fais entrer lentement sa bite entre mes lèvres. Il ne peut retenir un petit cri de bonheur. Ses mains se posent sur mes cheveux, il me caresse en me disant : « Comme tu suces bien ! C?est bon !». Encouragé je mettais toute ma tendresse dans ma pipe. J?arrêtais mon va et vient et tenais serré sa queue, puis la relâchais, resserrais et ainsi de suite. Il gémissait de plaisir, puis je reprenais mes va et vient. Je glissais une main entre ses cuisses et remontais entre ses délicieuses petites fesses. Je les trouvais tendres et ouvertes, alors lentement je collais le majeur dans sa raie, il appréciait car son gémissement ressemblait à un « oui » ! Tout en le suçant je mis lentement mon petit doigt à l?entrée de son anus. Il poussât un petit cri de surprise. Ses doigts s?emmêlaient dans mes cheveux, il était au comble de l?excitation. Puis il me prévient : « Je vais jouir ! ». Juste le temps de me retirer avant de recevoir en plein visage (Hmmm !) son nectar chaud. Quelques jets vifs se suivent et s?écrasent sur mon front, les joues, le menton. A mon tour je jouis dans mon slip ! Quel dommage ! Puis, vidé, il reste immobile, légèrement cambré en arrière et tente de retenir son sperme dans une main. Je me relève et lui montre sa décoration ! Il sourit, passe une main sur mon visage comme pour m?essuyer en s?excusant. Je le rassure en lui disant que j?adorais cette « finition » ! Avec mes mouchoirs papiers on se nettoie et puis on réajuste nos vêtements.
La fête est finie ! Quelques dernières caresses et on retourne dans la rue. Je lui propose de prendre un verre. Il accepte. En chemin je lui demande s?il désire que l?on se revoie. Il est d?accord, je lui propose que ce sera à l?hôtel nous y serions mieux. On s?attable à une brasserie et nous ne pouvons pas faire de confidences à cause du voisinage.
Puis nous faisons quelques pas et on se sépare. Le contact restera grâce aux e-mails.
En rentrant chez moi je lui adresse un petit message amical sans laisser supposer nos ébats. J?y joins un petit dessin humoristique.
Le dimanche matin je reçois un e-mail rédigé par sa petite amie me priant de ne plus chercher à le revoir. Il n?est, d?après elle, ni homo, ni bi ! Quelle douche ! Me voilà comme un dindon ! Qu?a-t-il fait ? Lui a-t-il proposé une partie à trois ? S?est-il vanté de son aventure de vendredi ? Je ne le saurais jamais. Ne voulant créer aucun problème j?ai donc détruit ses coordonnées et reste encore un peu amer.
Tant pis pour moi, j?ai peut être trop précipité les évènements !