Par cette chaleur je ne vais pas rester à Lyon ! Alors je me décide d?aller faire un tour près du lac du Bourget. Au lieu de prendre la route passant par le tunnel du Chat je passe par le col. Bien m?en a pris ! En plus de l?ombrage de la route qui rend le voyage agréable il y a par endroits, en descendant sur Le Bourget, des petits belvédères qui permettent de stationner. A un de ceux-là je vois un cycliste qui semblait fort désemparé. Je m?arrête, descends de voiture et m?approche de lui. Il grommelle et râle après son vélo. Agé de vingt cinq ans environ de taille moyenne, châtain clair et vêtu d?un short cycliste noir et d?un maillot vert clair. Je m?aperçois que sa chaîne est cassée et pends lamentablement ! D?autres personnes semblent indifférentes à son souci. J?engage la conversation avec lui. Il m?explique qu?il vient d?Aix les bains et lors de la montée, juste après ce virage, sa chaîne s?est rompue provoquant sa chute. Fort heureusement il ne passait aucune voiture à ce moment là ! Regardant de plus près l?attache rapide était ouverte et tordue de plus la plaque manquait. Que faire ? Redescendre sur Aix à vélo mais en bas de la route comment pédaler ?
Je lui propose de mettre son vélo dans le coffre de ma voiture et de l?accompagner soit chez lui soit chez un réparateur. Ma proposition lui plait et en deux temps trois mouvements les sièges arrière basculés laissent la place au vélo. En descendant vers Aix il m?explique que c?est son jour de repos et qu?il aime bien aller se balader au col du Chat. Je ne connais pas particulièrement le secteur et lui demande s?il y a de petits sentiers sympas. Effectivement, d?après lui, il y a de petites balades à faire mais à pied. Je lui propose de remonter vers le col pour qu?il me les fasse connaître. Il préfère d?abord résoudre son problème de vélo puis, si je le veux, on remonterait au col en voiture. D?accord avec sa proposition qui me laisse espérer une « suite » !
Tout en conduisant je regarde discrètement ses jambes. Longues et fines, bronzées et imberbes ou rasées de frais. Son short cycliste, bien que rembourré, laisse deviner son sexe. Ce garçon est appétissant ! Je pense que si je me débrouille bien (et qu?il est d?accord) on devrait prendre notre pied !
On arrive dans son quartier, un petit immeuble de cinq étages un peu en dehors du centre près du lac. Il me demande si cela ne m?ennuie pas de l?aider à mettre son vélo dans le local approprié et de l?accompagner chez lui pour prendre un rafraîchissement.
Une telle proposition ne se refuse pas !
Le vélo attaché on prend l?ascenseur pour arriver chez lui. Un petit studio dont la vue sans vis-à-vis donne sur le lac. Superbe ! Il me fait asseoir, me propose des boissons et s?excuse de me laisser seul le temps de prendre une douche.
Ravi de cette proposition je m?installe face à la vue. Pendant ce temps mon esprit vagabonde : Il est sous la douche, que fais-je ? Est-ce que je me lève pour aller le retrouver ?
Quelle sera sa réaction ? Soit il est d?accord et on se fait jouir, soit il ne veut pas et me vire !
J?hésite, je me lève, puis je reviens en arrière, me rassoies. J?hésite encore, c?est une occasion à ne pas manquer ! Je me fais un « film » : S?il prends une douche pendant que je suis là c?est qu?il a peut être une idée derrière la tête lui aussi ? Je continue mes déductions et cherche un stratagème pour sembler naturel. Plongé dans mes déductions (foireuses) je ne m?aperçois pas que le bruit de l?eau a cessé. Je suis debout face à la vue et il arrive derrière moi sans bruit en me disant :
- Jolie vue n?est-ce pas ? Je sursaute !
- Superbe ! Vous êtes bien installé ! Et en plus sans vis-à-vis !
Je me retourne et le vois presque nu, seulement une petite serviette éponge nouée à la taille formant comme un paréo. Je bande aussitôt ! Il s?approche pour me montrer et me nommer les noms des cimes face à nous. Je sens sa chaleur contre mon épaule, je suis un peu troublé ! Il continue à me décrire le paysage, je fais semblant de ne pas situer et regarde à côté. Alors il me prends par les épaules et m?oriente dans la bonne direction, reste dans cette position en me nomme la montagne. Cette fois je ne reste pas inactif. Il est à ma droite, je passe mon bras droit derrière sa taille et l?approche contre moi, il vient sans résistance ! Son bras gauche quitte mon épaule pour venir à ma taille. Nous nous tenons l?un contre l?autre. Il devient silencieux, j?approche mon visage du sien et nos bouches se collent pour nous embrasser sans retenue. Nos mains caressent nos corps. J?ai la chance de sentir ce garçon presque nu. Pendant nos caresses je me déshabille et me retrouve intégralement nu en quelques secondes. Il se recule pour me regarder et lentement il défait le n?ud de sa serviette, elle glisse pour dévoiler son sexe en érection. Imberbe, sexe rasé une véritable statue grecque ! Je ne peux me retenir de le reprendre dans mes bras. Il se laisse peloter, lascivement, je dirais presque d?une façon féminine ! Nos deux queues semblent jouer ! Il pousse de petits soupirs, presque des murmures de chansonnette. Cela m?excite au plus haut point. Je lui dis que j?ai de la chance de l?avoir rencontré. Il me répond que pour lui c?est pareil, et que sa forte envie de sexe l?avait incitée à draguer dans les sentiers du col. Alors je lui demande de se laisser faire. Il m?avoue qu?il est passif et adore que l?on s?occupe de lui !
On va s?asseoir sur le canapé je le prends sur mes genoux et le pelote sur tout le corps. Il pousse de petits gémissements ! Puis je sens qu?il aime être dirigé. Alors je lui demande de m?apporter mon verre. Il joue le jeu et me dit :
- Oui, maître !
- Dépêche-toi ! J?ai soif !
Il va vers la table basse se penche en offrant à mes yeux ses jolies petites fesses pour prendre le verre et reviens vers moi reste debout comme pour attendre un autre ordre le sexe droit face à mon visage. Je lui dis :
- Approche un peu !
- Oui, maître !
Je ne résiste pas au plaisir d?enfourner sa verge et de le sucer avec douceur. Après quelques va et vient je lui dis :
- A toi maintenant ! Suce-moi avec douceur !
- Oui, maître !
Il pose le verre par terre et me prends en bouche. Quel délice ! Ses lèvres charnues m?enveloppent avec chaleur. Il tourne le visage dans tous les sens pour augmenter mon plaisir. Je le complimente sur la qualité de sa pratique :
- Superbe ! Tu es doué ! Tu dois en faire jouir des mecs ! Mignon comme tu es, tu dois faire des ravages ! Je m?excite également à lui parler. Il se recule, lâche un instant ma verge pour me dire :
- Tu aimes ?
- J?adore !
- Quels sont tes ordres ? Je suis ton esclave !
- Reprends ta pipe ! Puis ensuite je te violerai ! En reprenant ma queue en bouche il me fait comprendre son accord.
Sa pratique est tellement réussie que je sens la sève monter ! Alors je lui prends la tête l?éloigne de mon sexe et le relève pour nous embrasser encore. On bascule par terre, je me tourne pour faire un soixante neuf. Sans rien dire on se suce ave douceur. Mon envie devient de plus en plus forte alors ne voulant pas terminer trop tôt, je lâche à regret sa queue pour lui dire :
- Doucement ! Je vais jouir ! Il se dégage pour dire :
- Si tu veux ! J?adore recevoir en pleine figure le sperme ! C?est comme tu veux !
- Moi aussi mais c?est trop tôt !
- Oui mais c?est tellement bon ! Allez vas-y ne te retiens pas, gicle moi dessus !
- Non ! Je voudrais essayer de te prendre ! Tu veux ?
- J?adore aussi !
On se relève, me dit :
- Je vais chercher ce qu?il faut !
- Je voudrais te baiser sur la terrasse !
- C?est d?accord, mon voisin est absent !
Il revient avec le tube de gel et quelques capotes. Il se met à genoux pour me passer une capote. Je vois que c?est une spéciale ! Le bout est tout en tortillons ! Me voyant amusé il me dit :
- Tu vas voir ! C?est terrible ! Pour toi comme pour moi !
- Ca ramone ?
- Oui et tu ne pourras plus t?en passer !
Il se passe du gel entre ses petites fesses puis se dirige sur la terrasse, se penche en avant en prenant appui sur le dossier d?un fauteuil. Il m?offre son corps :
- Suis-je à ton goût ?
- Parfait ! Tu es exactement le serviteur qu?il me faut ! Passons au premier test !
- Oui, maître !
Je présente mon dard bandé à mort entre ses fesses. Je glisse lentement et passe doucement le premier passage. Je m?arrête pour lui laisser le temps de s?ouvrir. Il pousse encore quelques soupirs puis il me dit :
- Suis-je apte, maître ?
- Pas encore !
Et là je m?enfonce en lui plus rapidement. C?est bon, son corps me serre la queue. J?arrive à fond, je reste immobile. Là il se mets à se dandiner en me disant :
- Voilà ce que je sais faire maître !
- C?est bien ! Continue !
Je reprends mes va et vinent et de plus en plus rapides. Il est vrai que cette capote particulière augmente le plaisir ! L?excitation monte, monte ! Lui également approche de la jouissance, alors comme nous avons envie de nous jouir sur le visage je lui dis :
- Je vais me retirer pour gicler sur ton joli petit minois !
- Oui, maître !
- Allez ! Couche-toi sur le dos !
Je me retire, enlève rapidement la capote, il s?allonge les bras écartés, les cuisses à demi pliées, le sexe fier et droit comme une obélisque. Je me tiens au-dessus de lui, je m?accroupis sur son ventre la queue face à son visage souriant, la bouche entr?ouverte. Son visage d?ange m?invite à l?arroser. Je prends ma verge à pleine main et l?oriente sur ses joues. Un premier jet de sperme arrive sur sa joue, il tourne le visage pour en recevoir devant, le deuxième jet décore ses lèvres, son menton, un troisième vers le front ! Il continue de sourire me dit :
- Encore ! Vas-y ! Arrose-moi !
Je m?achève en me vidant sur ce superbe visage. Mais, bien que je sois vidé, je lui propose de venir m?en faire autant.
Je prends sa place et sans attendre il s?asseoit sur ma queue la glissant entre ses fesses et à pleines mains se masturbe pour venir me décorer ! Ses giclées vives et rapides viennent s?écraser sur mon front, les joues, le menton. Il s?achève en poussant un cri à demi étouffé.
- Oh ! Putain que c?est bon ! De jouir en sentant ta queue dans mon cul !
- Tu es formidable ! Que ton nectar est chaud et épais ! Une sacrée bonne crème de soins ! Quelques instants passent à nous regarder et calmé il dit :
- Allons nous regarder dans le miroir !
On se lève et dans le living, face au miroir on rie de nous voir la figure maculée de sperme ! Il me dit en prenant son appareil photo numérique :
- Prends-moi en photo ! La figure décorée !
Sur mon visage ses traînées de sperme me gênent la vue, alors j?en enlève un peu avec la main pour m?essuyer sur le torse.
Quelques prises de vue de son visage, puis de son corps, son sexe dégonflé, ses fesses, tout !
Puis nous allons nous doucher ensemble. Chacun savonne l?autre, le rince et enfin le sèche ! Nous avons vidé nos réserves. Il me faut retourner à Lyon. C?est un peu à regret que nous nous séparons. En partant je lui demande si je peux revenir le voir. Hélas ! Il est en location ici pour le travail et sa mutation l?envoie à ?. Lille ! Cette semaine est la dernière à Aix. On échange nos adresses e-mail pour nous raconter nos aventures ?.