C'est un rendez-vous bidon devant la porte d'un sauna qui m'a donné l'envie d'entrer par curiosité dans le sauna. Depuis, je suis devenu un habitué. C'est là que j'ai la plupart de mes aventures (qui sont souvent, hélas, sans lendemain ; mais cela c'est une autre histoire).
Le jour où cela est le plus facile pour moi, c'est le dimanche après-midi. Je suis arrivé comme d'habitude vers 14 h 30. Je ne savais pas s'il y aurait du monde intéressant ou pas, vu le changement de l'heure. j'étais moi-même à moitié endormi ; et cela aurait pu être les mêmes choses pour les autres participants. En arrivant, j'ai l'habitude de faire le tour des installations pour voir s'il y a du monde. De plus l'un des hammam est toujours moins bien éclairé avant 15 h et certains recherchent ce moment plus particulièrement. Tout de suite j'ai trouvé (ou plutôt repéré une présence) j'ai envoyé mes mains en repérage et je suis tombé sur une bite circoncise que j'ai aussitôt sucée. Un moment, le bonhomme s'est levé et j'ai tout de suite compris où il voulait en venir. Je lui ai tendu un préservatif (et oui, il faut sortir couvert par les temps qui courent) ; il s'est tout de suite éloigné (l'imprudent). J'ai continué ma tournée avec quelques regards à ceux qui me croisaient et je suppose qu'ils faisaient de même. J'ai beau avoir 62 ans, j'ai encore quelques beau restes. Je suis allé me relaxer quelques instants dans le jacuzzi, où je suis resté seul quelques instants ; un monsieur m'a rejoint dans le jacuzzi ; mais il n'avait pas l'air plu intéressé par moi que moi par lui. Je suis reparti vers les vestiaires pour aller chercher une pastille de menthe (pour garder l'haleine fraîche). Au moment où je me penchais pour ouvrir mon casier, j'ai senti qu'on soulevait ma serviette par derrière et dans l'oreille j'ai entendu quelqu'un qui me susurait :"ça ne te dérange pas". j'ai tout de suite répondu non ; de plus mon interlocuteur était jeune et beau. Il m'a demandé si je suçais et je lui en ai fait tout de suite la démonstration. Il m'a entraîné dans une cabine "de repos" ; mais dans les circonstances qui ont suivi, j'aurais pu rebaptiser la cabine : cabine d'essayage. Il a m'a demandé de lui enfiler la capote, ce que j'ai fait avec plaisir. Il m'a retourné et sans trop de ménagements, il m'a pénétré en me disant quelques mots pour s'exiter lui-même du style : "ça te plaît connard de te faire mettre". il s'en est excusé tout aussitôt. Il a interrompu ses "va-et-viens" pour ouvrir la porte, en disant : "cela m'exite que d'autres voient ce que je te fais". Et dans la foulée, il a repris ses manoeuvres. Après quelques minutes, jugeant peut-être qu'il n'y avait pas assez de spectateur, il m'emmena dans une pièce où des barreaux séparent les clients du sauna du cinéma porno-gay attenant. Il m'a demandé de me tenir aux barreaux et là il m'a pilonné gaillardement devant tous ceux qui étaient là et je voyais certains particulièrement exités. J'aurais tellement aimé qu'un autre quidam vienne me fourré son engin dans la bouche ; - mais là, nous sommes dans la fiction, mes désirs n'ont pas été des réalités - je me suis contenté (si je puis dire) de bien me faire ramoner et au moment où je vous écris ces choses, mon petit cul est encore tout endolori
Hummm; je vois que Monsieur est un habitué des lieux chauds et humides, moi aussi j'adore cela , c'est trop sensuel à part que l'entrée est souvent exorbitante. Cette histoire se passe dans quel sauna?
Ce sauna célèbre est à Bruxelles près de la gare du Midi, j'y vais souvent, je me suis déjà fait prendre dans le jacuzzi, dans la salle aux barreaux et dans le sauna et dans des cabines ouvertes ou non, si son rdv ne vient pas, au moins, on peut trouver sur place, j'ai 43 ans, mais j'adore qu'un sexagénaire s'occupe de moi comme d'une pute à soumettre , seul ou devant les autres, voire avec les autres. Avis aux amateurs.