cela faisait déjà près d'un mois que je n'y étais pas retourné. C'est vraiment mon sauna préféré. Les réceptionnistes sont mignons, aimables avec les clients. La plupart sont africains et vraiment beaux gosses. Dommage qu'ils sont en service.(snif)
Après m'être déshabillé, je suis parti prendre une première douche ; l'hygiène corporel, il n'y a rien de tel. Comme j'arrive tôt dans l'après-midi, le hammam du sous-sol n'est pas éclairé ; mais je pars à l'aveuglette. Et plus d'une fois, j'ai ainsi rencontré à mon arrivée une bonne bite à sucer. C'était encore le cas hier après-midi. Vous allez dire que je suis maniaque ; mais quand je sors du hammam, même si je n'ai pas eu d'attouchement quelconque, je reprends une douche. Je me suis rendu au jacuzzi, où un type, (dans la trentaine) sembla tout de suite me faire de l'oeil ; quelques instants plus tard, en effet, je senti une main qui venait me tâter le service trois pièces. je me mis à lui caresser la jambe, mais il me repoussa d'un coup de pied assez violent. Je ne restai plus trop longtemps dans le jacuzzi voyant que je n'avais pas grand chose à espérer. Je continuai donc ma ronde et arrivai dans la salle de cinéma, où il y a des nattes installées par terre pour se reposer et éventuellement plus. Comme il semblait ne pas y avoir foule, je me remis debout et tombai presque nez à nez avec un habitué (+- 35 ans) qui ne manque jamais de m'accoster lorsqu'il me rencontre. Tout de suite, il me roula une pelle et dans la foulée me proposa de nous isoler en cabine. arrivé dans la cabine, il ferma soigneusement la porte. Comme je savais ce qui m'attendait, je lui tendis une capote. Nous reprîmes notre pelle où nous l'avions laissée. Le bonhomme était assez surexité, il venait de respirer du poppers (une odeur caractéristique se dégageant de lui lorsque je l'approchai). Il me mit sur le ventre et tenta une pénétration... je ne dirai pas en vain : mais avec difficulté ; il me dit qu'un peu de lubrifiant serait nécessaire. Qu'à cela ne tienne, j'en avais un tube dans mon armoire au vestiaire. J'allai (pour ne pas dire je courus) jusque celui-ci et revins avec le précieux liquide. Y. se mit à m'en tartiner le petit trou ; puis il commença ses va-et-viens, de plus en plus rhythmés et quand il sentait, qu'il faiblissait, il reprenait tout en continuant à me limer une bonne dose de poppers. Je gémissais de plaisir. Ce n'est pas pour rien que je ne fais jamais prier lorsqu'il me propose de nous réfugier dans une cabine. La dernière fois que je l'avais vu, nous étions tombé sur une cabine qui ne fermait pas et quand nous finîmes nos ébats, je vis qu'ils avaient été suivis par une foule d'amateurs-mateurs, alertés par mes petits cris. Hier, rien de tout cela, je me laissais limer en gémissant mes appréciations dans les deux langues nationales (je suis wallon et mon partenaire flamand...que l'on confie aux gays les problèmes linguistiques et ils seront vite résolus en quelques coups de langues ou quelques coups de queues). Un moment, il me dit : "repos". Nous nous relevâmes et après une nouvelle pelle bien baveuse, nous nous sommes séparés