Claude et Sonia ont une maison dans le midi, dans l'arrière pays varois, pour être précis. Nous y passons souvent nos vacances d'été avec eux, ma femme et moi. Mais cette année boulot-boulot. Claude est entrepreneur, moi architecte, et nous avons tous les deux un carnet de commande surchargé. Nous avons donc envoyé nos femmes en vacances, projetant de les y rejoindre plus tard.
Ce dimanche on a néanmoins décidé de prendre un peu de repos, et Claude a proposé une virée à la campagne. On est partis en milieu de matinée accompagnés d'Alain, un autre ami, dont l'épouse est allé rejoindre sa fille en vacances en Corse.
Le temps est magnifique, et nous nous arrêtons le long du Doubs. A l'endroit choisi la rivière fait un coude, est bordée d'une petite plage de galets suivie d'un pré aux hautes herbes. A deux cent mètres de la route le coin est hyper tranquille. On met nos bouteilles à rafraîchir dans le courant, et on s'installe. La bouteille de pastis de l'apéro en prend un sérieux coup. Un peu plus tard le rosé n'est pas ménagé, lui non plus. Bref, après nos libations, et le soleil aidant, nous sommes un peu gais. Alain râle. Il veut pêcher, trouve que nous rions un peu trop fort, et nous demande de nous écarter un peu pour lui assurer la quiétude nécessaire, alors Claude ramasse une des couvertures, et nous nous éloignons. A cent mètres nous estimons être assez loin, d'ailleurs avoir un peu marché nous a calmés, et nous étendons notre couverture dans les hautes herbes, pour entamer une sieste digestive et réparatrice.
Claude est allongé à coté de moi, sur le dos. Moi je lis. Un moment passe, dans le calme à peine troublé par le bruissement des feuilles et le clapotis de l'eau.
Au bout de quelques pages j'ai un peu de mal à me concentrer -le rosé, sans doute- et je me dis que je ferais aussi bien d'imiter Claude et de dormir. Je pose mon bouquin et me tourne sur le coté.
Claude semble endormi. Je le regarde. Il est plutôt bien conservé pour ses quarante ans. Il a moins de bide que moi, et pas de cheveux gris. La poitrine est bien lisse, dépourvue de poils, comme ses jambes. Même du coté pubis il a peu de poils, son maillot de bain, très petit, a été baissé au maximum pour favoriser la bronzette, et c'est à peine si quelques poils blonds en émergent. C'est curieux, mais j'ai l'impression que depuis que je le regarde son maillot s'est gonflé. Ca se confirme en quelques courts instants : il bande ! La silhouette de sa queue se dessine maintenant de façon très précise à travers le tissu fin et léger. Son maillot a l'air de plus en plus petit, et a du mal à contenir cette érection grandissante. Un rêve érotique sans doute...
-Tu dors ? je lui demande,
-mmhhh.
Devant le peu de réaction j'avance prudemment la main vers son maillot. L'élastique, très détendu, a cédé sous la tension de la queue, et un espace s'est formé entre son corps et le maillot. J'y glisse un doigt, et tire doucement. Le gland jaillit d'un coup, raide et épris de liberté. Un beau gland, de bonne taille, et d'une belle couleur rose.
Moi, la vue d'une belle queue me fait toujours de l'effet, et je sens à mon tour qu'il se passe quelque chose dans mon maillot. J'ai beau être marié, j'ai toujours eu une attirance certaine pour les mecs, et quand l'occasion se présente ma bouche sait se faire experte, et mes mes fesses devenir accueillantes "si affinités". Tout çà pour vous dire que dans ce contexte bucolique, face à ce bel organe, j'en oublie presque qui j'ai en face de moi. De ce vieux pote, qui ne sait rien de mes penchants, je ne vois plus qu'une belle queue, bien raide, et à portée de ma lubricité !
Bien sûr je n'ose pas attaquer de front. Essuyer un refus de la part d'un inconnu est une chose, se prendre un bide de la part d'un vieux pote, ami "de la famille" en est une autre. Alors je cueille derrière moi une des hautes herbes qui nous entourent et nous cachent. C'est avec cette longue brindille terminée par un épi doux et duveteux que je lui caresse d'un air innocent la queue. Au pire cela passera pour une blague de mauvais goût. Au mieux... mais ne rêvons pas.
Chaque fois que la brindille chatouille son gland sa queue tréssaille et se soulève, et j'ai l'impression qu'elle grandit encore. Bon sang! Comme que j'ai envie de la prendre en main, ou mieux encore en bouche, pour lui prodiguer les caresses que je rêve de lui donner... Il faut que je me resaisisse...
- Pourquoi tu t'arrêtes ?
C'est la surprise totale, la douche froide.
- Tu ne dormais pas ?
- Ben si, au début, mais quand tu m'as descendu le maillot ça m'a tiré de mon rêve, répond-t-il, et en même temps il passe un bras autour de ma tête et m'attire vers lui.
- Il va falloir finir ce que tu as commencé mon cochon, rajoute-t-il, en appuyant fermement pour plaquer mon visage sur sa queue.
Je n'en reviens pas ! Ce type que je croyais connaître à fond, que je prenais pour un homme à principes assez rigides, fidèle à sa femme, et plutôt macho, est en train de pousser sa queue dans ma bouche. Je fais mine de résister, je garde les lèvres serrées, mais c'est pour mieux le happer, pour mieux lui donner la sensation de forcer le passage, de me baiser la bouche, de la violer.
Délicieuse sensation, ce gland que je convoitais tout à l'heure, je suis maintenant en train de le sucer à pleine bouche. Il rentre, il ressort, revient avec des mouvements de plus en plus amples, au point que j'ai des difficultés à lui caresser les couilles. Ses allées et venues se font de plus en plus pressantes, puis il s'arrête.
- Tourne-toi !
- Quoi ?
- Tourne-toi je veux ton cul, rajoute-t-il.
Je me mets à quatre pattes sur la couverture, et tout de suite sens sa langue venir se frayer un chemin entre mes fesses, me répandre de la salive de bas en haut, avant de s'attarder autour de ma rondelle, et d'essayer d'y pénétrer.
Puis il se met à genoux derrière moi, et d'une seule poussée m'envahit de toute sa longueur. Préparé comme j'étais ça passe tout seul, et les allées et venues qu'il entreprend se transforment bientôt en coups de boutoir de plus en plus puissants.
-Eh ben les mecs, on s'embête pas !
C'est la cata. ! ! !
Alain, qu'on avait un peu oublié, est venu voir ce qu'on devenait !
Il rajoute :
- Vous êtes gonflés ! Pendant que moi je me fais ch... à pêcher sans l'ombre d'une touche, vous vous payez du bon temps ! C'est dégueulasse! Vous auriez pu m'appeler !
Je vais de surprise en surprise. Alain, qui a la femme la plus bandante de l'équipe, partage nos penchants !
Il ne tarde d'ailleurs pas à le démontrer. Je suis toujours à quatre pattes, avec la queue de Claude (qui n'a pas débandé) dans les fesses, et voilà qu'Alain se couche devant moi, perpendiculairement, commence à se branler tout près de mon visage, puis tire ma tête vers son sexe, une queue bien épaisse au gland violacé.
En une fraction de seconde je réalise que je vais enfin concrétiser un vieux fantasme, qui m'obsède depuis des années : avoir -en même temps- une queue dans la bouche et une autre dans le cul ! Et en plus ce sont les queues de mes deux meilleurs potes !
Alain est très poilu, pour ne pas dire carrément velu, et moi j'ai une très nette prédilection pour les queues rasées ou épilées, mais là le "bonheur est dans le pré", et je ne vais pas bouder ma chance. D'autant qu'Alain entreprend maintenant un mouvement tournant pour se glisser sous moi. Je croyais avoir atteint le sommet, mais il restait une étape à franchir. J'ai toujours sa queue dans la bouche, mais lui est maintenant tête-bêche sous moi. Il commence par me happer les couilles, l'une après l'autre, les aspire, les suce, les cajole de sa langue, puis s'attaque à ma queue. Celle-ci, toujours mi-figue mi raisin pendant une sodomie, a déjà commencé à se remettre en forme sous l'effet de la bouche experte d'Alain, à qui je malaxe les fesses et à qui je mets un doigt là où c'est bon, tout en continuant de le sucer.
Je suis en train de vivre un moment complètement dingue. J'ai une queue dans les fesses et je la sens enfler en me labourant le cul, j'en ai une autre en bouche, et pour couronner le tout on me suce la mienne ! Je sens que derrière moi la tension monte, et bientôt Claude se retire, se branle au-dessus de mes fesses et m'inonde en gémissant de son sirop chaud et abondant. Alain, qui est juste en dessous ne perd rien du spectacle, et manifestement n'y est pas insensible. Très vite il quitte ma bouche, et d'une main énergique s'amène à une éjaculation dont l'essentiel finit sur mon visage. Ses contractions lui occasionnent des sursauts qui font décoller sa tête du sol, et à chaque fois mon gland va heurter le fond de sa gorge. A mon tour je quitte sa bouche, me retourne vers lui qui me saisit de la main, et me branle jusqu'à ce que je jouisse à mon tour. Vu nos positions respectives il en prend pas mal dans le cou et sur la figure. Ses joues, son menton, sa petite moustache (qu'il teint souvent pour faire plus jeune) sont parsemés de mon sperme. Ca m'excite au plus point. Je me penche vers lui et lui roule une méga-pelle en débordant largement de sa bouche pour lécher un peu de mon foutre. Il y a des moments où j'adore çà, et apparemment je ne suis pas le seul. Claude pendant ce temps me caresse le dos, que j'ai encore plein de son sperme à lui, avant de me mettre deux (ou trois ?) doigts bien lubrifiés dans mon trou considérablement élargi et assoupli par notre petite séance.
Maintenant nous sommes tous les trois "calmés", la tension retombe petit à petit, et nous allons nous laver dans le Doubs rafraîchissant.
Le trajet de retour s'est déroulé dans un étrange silence. Personne ne parlait. Je pense que nous étions tous un peu gênés, et chacun devait aussi se remémorer l'exceptionnel moment que nous venions de passer.
Mais quand ils m'ont déposé devant chez moi, c'est avec un bel ensemble qu'ils ont dit "faudra qu'on remette çà !"
moi aussi j'aimerais me retrouver dans ta situation ; me faire pénétrer par un sucer par un autre, sucer celui qui me suce ou éventuellement même un troisième
ton histoire m'a donné envie, et il est vrai que l'on ose jamais abordé nos potes,.....
ton histoire était très excitante et très bien raconté
a + bises