Hier soir je suis sorti de chez un client un peu avant vingt heures. Un peu tard, vu la distance, pour rentrer à la maison dîner avec ma femme, un peu tôt pour aller draguer dans mon petit coin de forêt habituel.
Tant pis, je tente le coup. Arrivé sur place, je quitte la nationale, prends l'espèce de voie parallèle qui fait office de parking et me gare. Mes craintes étaient fondées : il est trop tôt. Une seule voiture est garée là, et un couple (homme-femme) est en train de farfouiller dans le coffre. Garé à quelques mètres je les observe. Ils ont la quarantaine tous les deux. Le type est en costard/cravate, l'air soigné, mais l'allure un peu "coincée". La femme m'a l'air plutôt nerveuse, et rit pour un rien. Elle est blonde, plutôt agréable à regarder, cheveux bouclés mi-longs, et porte un robe noire assez décolletée, fendue sur le coté, et à bien y regarder fendue assez haut. Des bas (ou collants) noirs à motif gainent des jambes ma foi assez appétissantes pour le bi que je suis.
Je suis un peu intrigué par leur présence. Ce parking est assez connu dans le coin pour être un lieu de drague, et plus spécialement de drague de mecs.
Leur manège aussi me semble incongru : ils sont toujours en train de fricoter dans leur coffre, sans que l'on comprenne ce qu'ils font. Ils n'ont pas l'air d'être en panne, ni de grignoter ou pique-niquer avant de reprendre la route. Leur tenue aussi, m'intrigue. Si le type a une dégaine de cadre, la tenue de la femme n'est pas de circonstance. Le style des bas, la fente de la robe, à cette heure et à cet endroit.... C'est un peu trop sexy, surtout si l'on se réfère au reste du look de la dame. Le visage, la coiffure, le maquillage ne collent pas avec cette robe et ces bas provocants, et toujours cette agitation, ces mouvements un peu désordonnés, ces petits rires nerveux, pour rien ou presque.
Je commence à me douter des raisons qui les ont amené ici, et décide de m'assurer de la chose.
Je sors de ma voiture et m'approche d'eux.
-Bonsoir monsieur-dame, vous êtes en panne ? vous avez un problème ?
-Non, hi-hi, répond madame, ni l'un ni l'autre.
-Je peux vous aider ?
-Ben c'est à dire, hi-hi... c'est un peu délicat vous savez, continue-t-elle en rosissant.
Là mes doutes commencent à se transformer en certitudes, et j'y vais franco :
-c'est un homme ou un couple que vous cherchez ?
-Oh fait madame, de plus en plus rouge, nous n'avons pas d'à-priori, nous souhaitons simplement (j'ai beaucoup aimé le "simplement"!) passer ... une soirée ...euh ... un peu spéciale.
Je leur fais mon sourire le plus avenant possible et lui réponds que moi aussi, que je suis venu à cet endroit pour çà, que je n'espérais pas tomber sur un couple aussi charmant, et que je suis un garçon très "ouvert", très "large d"esprit", en insistant bien lourdement sur ces mots. Je rajoute même et sans mentir, que je déplore que mon épouse à moi soit si "conventionnelle" et n'a pas l'ouverture d'esprit de madame. Là je marque un point, j'ai fait plaisir tout à la fois au bonhomme, et à la madame.
Le type, jusque là, n'a pas pipé mot, mais du coin de l'oeil j'ai bien vu qu'il m'examinait sous toutes les coutures.
Ma dégaine a dû le rassurer. Mes cinquante balais et mes quelques kilos de trop ne me posent pas en concurrent à redouter, en amant régulier potentiel. Et d'un autre coté mon statut d'homme marié -donc discret-, ma voiture (qui trahit un peu une certaine aisance), mes fringues (qui font le même effet) mon langage et mes manières ... bref je dois convenir. Ils échangent un bref regard, puis le type (enfin) s'adresse à moi :
-vous êtes bi ?
-je le suis.
-vous savez, c'est presque plus pour moi que pour ma femme que nous cherchons quelqu'un..rajoute-t-il,
-vous pouvez être un peu plus précis ?
-ben... comme çà, de but en blanc, c'est un peu gênant... disons que tout le monde participera...
Je comprends leur gêne, et pour ne pas gâter les choses je leur dis qu'en ce qui me concerne j'ai peu de tabous, et que du moment que c'est "protégé" nous arriverions bien à trouver notre plaisir, et puis bon, c'est pas tout, mais comment voyez-vous la chose ? chez moi ce n'est pas possible...
-Mais il n'y a pas de problème renchérit le gars, nous habitons à 5 minutes, et il y a des bulles au frais. Si vous voulez bien nous suivre...
Quelques minutes plus tard, une porte de garage automatique s'ouvre devant la Mégane du couple. Je me gare et leur emboite le pas. C'est un coquet pavillon, assez vaste, meublé avec goût. Dans le salon c'est la totale : du feu dans la cheminée, un seau à champagne sur la table basse. On s'assied. La femme est en face de moi, les jambes croisées assez haut pour que je me rende compte que ce sont des bas et non pas des collants !
Le mari tombe la veste, retrousse ses manches, verse le champ. et s'assied à coté de moi. Très vite il pose une main sur ma cuisse.
-Je m'appelle Robert, ma femme Christine. Nous sommes mariés depuis un paquet d'années, notre vie sexuelle a pris depuis longtemps une vitesse "de croisière" et a perdu beaucoup de son coté émoustillant. Nous en avons parlé ensemble, avons décidé d'y remédier, puis nous nous sommes demandé comment y parvenir. Très vite nous en sommes venus à nous divulguer nos fantasmes respectifs, et après quelque hésitations avons décidé de les mettre en pratique.
-Et c'est quoi les fantasmes en question, leur ai-je demandé d'un air innocent ?
-Moi, dit le mari, j'ai envie de voir ma femme sucer un autre homme, pendant que je la prends,
-Moi dit la femme, je voudrais qu'un autre homme fasse des "trucs" à mon mari, et que lui en fasse à son tour.
-Je dois aussi avouer, ajoute Robert, que j'ai déjà eu des rapports homo, mais c'était il y longtemps, au pensionnat, et de temps en temps l'envie me reprend, mais je n'avais jamais osé...
Pendant qu'il me parle sa main bouge sur ma cuisse, en lents mouvements d'allées et venues, et les yeux de Christine semblent devenir plus brillants.
Nous en sommes à la deuxième flûte de champagne. Après avoir moi aussi caressé les cuisses de Robert j'ai ouvert sa braguette. Sa queue était déjà très "en forme". Tant en forme que Christine a quitté son fauteuil et est venue s'asseoir sur le tapis, devant nous, une main sur moi, l'autre sur son mari.
Pendant que je branlais doucement Robert elle m'a défait le pantalon, et en me soulevant légèrement je lui ai facilité les choses pour me le tirer sur les pieds puis me l'enlever complètement. Robert, entretemps, s'était mis à gémir, à chuchoter à voix tellement basse que je mis un moment avant de saisir :
-ta bouche, ta bouche, je t'en prie...
Le ton était suppliant, mais la formulation imprécise, alors je ne me suis pas exécuté, ou plus exactement je n'ai rien changé par rapport à lui. Par contre, de ma main libre j'ai attiré Christine vers moi, et lui ai roulé un méga-patin, puis, toujours de ma main libre je suis allé lui caresser la chatte déjà bien humide et elle s'est mise très vite à gémir. Trente secondes plus tard elle descend d'un cran, enfourne ma queue d'un seul coup dans sa bouche, et m'administre une pipe magistrale.
Devant tant de bonne volonté de la part de l'épouse je ne pouvais pas laisser le mari continuer à me supplier. Je me penche vers lui, et le prends également en bouche. Comme il n'a rien perdu du spectacle qui vient de se dérouler à coté de lui il est au comble de l'excitation, et sa queue a considérablement grossi et durci. Il a une queue de longueur moyenne, mais très épaisse, et moi j'adore çà. En plus il est rasé (queue et couilles), comme moi, et j'adore sucer des queues épaisses et rasées. Christine, au bout d'un moment arrête de me sucer, s'approche, et me dit:
-laisse-m'en un peu, je veux le sucer aussi.
Je m'écarte, remonte vers le visage de Robert, et l'embrasse à pleine bouche. Là il devient comme fou. Je le sens -plus que je ne l'entends- pousser des râles qui montent en grondant du fond de sa gorge. Entre sa femme qui engloutit son sexe à fond, jusqu'en butée dans sa gorge, et moi qui lui roule une pelle d'enfer, il est en train de vivre ce qu'il attendait depuis des années.
Ca dure comme çà un bon petit moment. Moi aussi je suis raide à en avoir mal, parce que moi aussi je concrétise enfin un vieux fantasme, mais là personne ne s'occupe plus de mon sexe à moi. Je prends donc une main de Robert, et la pose sur ma queue. Tout de suite il comprend le message, et entreprend une douce mais experte masturbation. Je suis rapidement au bord de l'éjaculation et lui bloque le poignet, puis je me mets derrière Christine, sous elle plus exactement. Elle est à genoux devant le canapé, en train de sucer son homme. Je me couche sur le dos, rampe entre ses jambes, lui écarte les cuisses un peu plus, ce qui amène sa chatte à portée de ma bouche, et déguste son sexe trempé d'un liquide doux et sirupeux, que j'avale avec plaisir.
Robert recommence à râler. Je pressens qu'il ne va pas tarder à exploser, et je veux être là quand ça se passera. Je m'extrais donc de ma position, et me rapproche du visage de Christine. Nous nous partageons la queue de son mari, 2 allées et venues pour moi, deux pour elle, puis chacun un coté. Nos langues se touchent, nous arrêtons de temps en temps pour nous embrasser et remplaçons pendant ce temps nos bouches par nos mains. Robert à le regard complètement allumé, on dirait que les yeux vont jaillir hors de leurs orbites. Ca y est ! Il pousse un rugissement dingue, et crache un jet de sperme qui part à 2 mètres ! Je continue de l'astiquer, et Christine le prend en bouche pour ne pas perdre le reste. Robert continue à beugler de façon ininterrompue. Heureusement que nous sommes dans un pavillon! En appartement je pense que les voisins auraient déjà appelé des secours. Puis la tornade s'arrête. Il s'effondre sur le canapé en essayant de reprendre sa respiration. Ca prend un moment. Faut dire qu'à l'entendre et à le voir il a pris un pied géant!
On le laisse récupérer. Christine est encore toute émoustillée, et elle offre sa bouche à ma queue tout en me caressant les couilles. Apparemment elle aime sucer des mecs au moins autant que moi. Couché à plat dos sur le tapis, les yeux fermés, je savoure ce moment rare : se faire sucer par une femme (douée) pendant que son mec regarde ! Puis Christine bouge, je sens ses seins caresser à tour de rôle ma queue, mes couilles. Puis elle remonte, et présente ses seins à ma bouche. Je les suce avec plaisir et conviction. Ils sont beaux, juste assez lourds et volumineux pour bouger avec sensualité au moindre de ses mouvements. Je suce successivement l'un et l'autre, mais au bout d'un moment les mouvements deviennent désordonnés. J'ouvre les yeux, et vois Robert, à quatre pattes derrière sa femme, la prendre en levrette pendant qu'elle continue de me sucer. Encore un de mes fantasmes qui se réalise...Un des siens aussi.
Puis Robert quitte sa position, vient vers moi et me met sa queue dans la bouche. Toute trempée d'être tout juste sortie de la chatte de Christine, je savoure cette friandise enrobée de miel féminin. Il a complètement récupéré, et sa queue est à nouveau très dure et très épaisse. J'ai très envie qu'il la mette ailleurs que dans ma bouche, et le lui dis. Il ne demandait apparemment pas mieux, parce qu'il se dépêche de se lever et s'éloigne un court instant, le temps sans doute de chercher un préservatif. Ca va être ma fête dans pas longtemps. J'imagine déjà ce gros engin s'introduire entre mes fesses.
Complètement shooté par ce que je suis entrain de vivre, je ne me rends plus vraiment compte de ce qui m'arrive. Je sens qu'on me fait bouger, j'ai vaguement conscience d'être à quatre pattes, j'entrevois comme dans un brouillard le corps nu de Christine se glisser sous moi, enrouler ses jambes autour de mon cou pour tirer ma tête vers le bas, vers sa chatte trempée, dans laquelle je plonge ma langue, mes lèvres, mon menton. C'est à ce moment que je devine aussi que Robert est revenu. Je sens ce que je pense être sa langue me lécher, essayer de s'introduire en moi pour préparer le terrain, faciliter sa pénétration. Je suis quasiment en transes. Ma bouche s'agite, comme folle, sur et dans la chatte de Christine, allant également fouiller plus loin derrière, puis revient lécher et mordiller son clitoris, ce qui lui occasionne chaque fois un soubresaut de plaisir . J'ai de multiples contractions dans mes fesses, comme si elles cherchaient à s'ouvrir avec avidité pour accueillir la queue de Robert , cette queue qu'il vient rapidement passer dans la bouche de sa femme avant d'enfiler un superbe préso. Dix secondes après je le sens entrer en moi. Je suis tellement "prêt" que ça rentre sans peine et sans douleur, au contraire je ressens une sensation de douceur et de plénitude qui me rend une certaine lucidité.
Je sens très bien les allées et venues de la queue de Robert dans mon cul. J'ai l'impression qu'elle est de plus en plus grosse, mais je n'ai toujours pas mal et je crois que je pourrais tenir des heures. A chaque poussée il émet un grognement. A chaque poussée j'en émets un également et comme les coups de boutoir se répercutent sur Christine à qui je dévore toujours la chatte, elle aussi y va d'un soupir, le tout bien synchronisé. Je sens que Robert va re-jouir dans pas longtemps. Je lui demande de gicler sur moi. Mon fantasme absolu serait qu'il me jouisse dans la bouche, puis qu'on se roule une mégapelle et qu'on se partage la chose, mais par les temps qui courent...
Il se dégage, retire le préservatif, je me retourne pour lui faire face, et avec un râle ininterrompu il m'asperge de sperme du visage jusqu'au ventre, comme s'il n'avait pas éjaculé depuis des semaines. J'en ai partout, mais pas pour longtemps. Ils viennent à deux me nettoyer. Robert c'est le visage. Il me lèche pour m'essuyer et m'enlever tout ce sperme, qui retourne à son propriétaire. Christine s'occupe de celui qui a giclé sur mon ventre, et pour finir reprend ma queue en bouche.
Je n'ai pas encore joui, mais je sens que ça va s'arranger. Comme chaque fois après une sodo je bande un peu mou, mais ce n'est pas désagréable et j'aime d'ailleurs sucer des queues dans cet état. Ca n'empêche pas de jouir, surtout après ce que nous venons de faire ensemble. Le bouquet final est fantastique. Au moment où "je viens" elle me sort de sa bouche, mais c'est pour mieux faire aller et venir ses lèvres le long de ma verge. C'est fabuleux !
Moi aussi je m'en mets partout, et ça dure je ne sais combien de temps. C'est tellement bon que je râle et me contorsionne sans pouvoir maîtriser mes mouvements, et je demande grâce au bout d'un moment.
Pendant qu'on reprend notre souffle (surtout moi) Robert reverse une tournée de champagne, puis se rhabille. Sa femme s'en va du coté de la salle de bains, et revient peu après enveloppée d'un chouette déshabillé juste assez transparent pour tout laisser voir sans rien montrer. Je les regarde à tour de rôle. Ils sont maintenant apaisés, et une sensation de sérénité, de plénitude se dégage d'eux. Ils ont des gestes tendres l'un pour l'autre quand ils se frôlent. Ils vont au bout de leurs envies et ça renforce leur couple. Comme je les envie ! Je les remercie tous les deux pour l'excellent moment que nous avons passé, et leur dis que c'est sans problème pour une autre fois.
Grosse déception : ils m'annoncent ensemble qu'il n'y aura pas d'autre fois, qu'ils s'étaient mis d'accord pour s'offrir cette "petite fête", histoire de réalimenter leur libido, et redonner du "tonus" à leur vie de couple. Dommage. Des soirées comme çà on en voudrait de temps en temps, non ?
Seule consolation : se rappelant que mon épouse n'était pas aussi "libérée", ils m'ont promis, si elle changeait d'avis, de nous offrir à tous deux une soirée du même type. C'est sympa, mais je connais ma femme. C'est pas pour demain...
Il est 22h 30, je rentre chez moi. Ces 2h 30-là, je ne suis pas près de les oublier...